Armenians, carrying smoke bombs and flags in the colors of Armenia take part in a demonstration of Armenians in front of the Azerbaijan ambassy in Paris, France, on September 29, 2020 against the Azerbayan attacks on Nagorno Karabakh.
Prise de vue: Mardi 29 septembre 2020, à 17 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 163 mots. Alors que des combats meurtriers se poursuivent entre forces arméniennes et azerbaïdjanaises dans le Haut-Karabakh, quelques centaines de manifestants se sont rassemblés ce mardi 29 septembre 2020 au soir devant l’ambassade d’Azerbaïdjan à Paris, répondant à l’appel du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France (CCAF). Au troisième jour de combats meurtriers les opposant dans cette enclave, et malgré des efforts internationaux pour y mettre fin, l’Azerbaïdjan et les séparatistes arméniens du Haut-Karabakh affirment mardi 29 septembre s’être infligé de lourdes pertes, soulignant l’ampleur prise par les combats, qui ont fait officiellement près de cent morts. Plusieurs dirigeants étrangers ont appelé à un cessez-le-feu immédiat, et le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU) se réunit en urgence mardi soir, pour tenter d’éviter une guerre ouverte entre Erevan et Bakou qui risquerait de déstabiliser la région et d’y entraîner les puissances régionales, la Turquie et la Russie. Source
French President Emmanuel Macron touches the coffin after posthumously awarding a soldier with the Legion of Honor during a tribute ceremony on December 2, 2019 at the Invalides monument, in Paris, for the 13 French soldiers killed in Mali. In its biggest military funeral in decades, France is honoring 13 soldiers killed when their helicopters collided over Mali while on a mission fighting extremists affiliated with the Islamic State group.
Prise de vue: Lundi 2 décembre 2019, à 16 h 03. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM +1.4x; focale: 560 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/6.3, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 190 mots. Le président Emmanuel Macron s’est incliné lundi 2 décembre 2019 devant « le sacrifice » des treize soldats morts la semaine dernière au Mali « pour la France » et « les peuples du Sahel », lors d’un hommage national solennel et glacial dans la cour des Invalides à Paris. Dans une atmosphère très lourde, le chef de l’État a salué « treize destins français », devant quelque 2 500 personnes, dont les familles des victimes et de nombreux responsables politiques. Tous ont été élevés au grade supérieur et faits chevalier de la Légion d’honneur à titre posthume. La sonnerie aux morts a ensuite retenti tandis que les cercueils étaient portés hors de la cour, suivis par les membres des familles, dont certains s’étaient enlacés, les yeux rougis. Les militaires doivent être inhumés cette semaine dans des funérailles distinctes. Une cérémonie est notamment prévue à Pau mardi, sur la base qui a perdu dans le drame sept de ses soldats. Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta assistait à la cérémonie, de même que les anciens présidents Nicolas Sarkozy et François Hollande, le Premier ministre Édouard Philippe et les responsables des principaux partis politiques. Source.
Soldiers and flag bearers salute as the funeral convoy passes on Alexandre III Bridge in front of the Invalides monument in Paris on December 2, 2019, ahead of a ceremony to pay tribute to 13 French soldiers who died in a helicopter collision in Mali on November 25, while on a mission fighting extremists affiliated with the Islamic State group.
Prise de vue: Lundi 2 décembre 2019, à 11 h 33. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 259 mots Le pont Alexandre-III est devenu, depuis huit ans, l’un des points majeurs des hommages aux soldats français tombés en opérations. C’est le lieu de l’hommage populaire, ouvert à toutes et à tous, hommage que la Nation peut rendre à ces compatriotes tombés en service ou au combat et dont les corps viennent d’être rapatriés en métropole. Ce lundi 2 décembre 2019, vers 11 h 30, le pont a vu une nouvelle fois le passage d’un long convoi de treize véhicules escortés par les motards de la Garde républicaine en route vers les Invalides. Depuis 2011, chaque fois qu’un soldat meurt en opération extérieure ou en service commandé et qu’un hommage est rendu aux Invalides, le gouverneur militaire invite les Français à s’y rendre. En 2011, l'Ancien gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Dary, a décidé de mettre en place un plan Hommage similaire à ce qui se pratiquait déjà dans des pays anglo-saxons comme le Canada et le Royaume-Uni. Le franchissement du pont par les convois officiels se fait en prélude à la cérémonie aux Invalides qui se tient peu après. Ce pont et l’esplanade devant les Invalides offrent de vastes trottoirs qui peuvent accueillir la foule de tous ceux qui veulent rendre hommage aux morts. Le président Macron a prononcé, à 15 h, un éloge funèbre avant de remettre la Légion d’honneur, à titre posthume, à chacun de ces treize soldats « morts pour la France », devant quelque 2 500 personnes, dignitaires comme anonymes. Source.
Prise de vue: Lun 14 janvier 2019, 15:17:01. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/8, ISO 800. Flash: non
RÉSUMÉ : 138 mots. Située près d’Arras, sur une colline de la commune d’Ablain-Saint-Nazaire, Notre-Dame-de-Lorette est la plus grande nécropole militaire de France. Plus de 40 000 combattants français y reposent. Le monument de forme elliptique inauguré à proximité de la nécropole le 11 novembre 2014 – l’« anneau de la mémoire » – rappelle à notre souvenir les noms et prénoms de près de 600 000 combattants de toutes nationalités tombés dans les Flandres et l’Artois en 1914-1918. Parmi eux 394 000 Britanniques, 194 000 Allemands, 106 000 Français mais aussi deux mille Portugais et quelques centaines de Russes, morts dans les camps de prisonniers. Conçu par l’architecte Philippe Prost, avec le concours de l’historien Yves Le Maner, ce mémorial émouvant témoigne du caractère universel du drame par la litanie des noms gravés.
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A picture taken on October 17, 2018 shows wreaths of flowers laid on the Saint-Michel Bridge in Paris, during a rally to commemorate a demonstration by pro-National Liberation Front (FLN) Algerians, on October 17, 1961 in Paris. French President Francois Hollande said on October 17, 2012 that France recognised the "bloody repression" of Algerian protesters in Paris that historians say left dozens, possibly hundreds, dead on October 17, 1961. On that day in 1961, at the call of Algeria's National Liberation Front (FLN), which was fighting for independence from France, between 20,000 and 30,000 men, women and children from Algeria protested in Paris against a police curfew.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: oui
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées le 17 octobre 2018 sur le Pont Saint-Michel, pour commémorer, 57 ans plus tard, l’exécution de manifestants algériens, le 17 octobre 1961. Ce jour-là, en pleine guerre d’Algérie, des Algériens manifestent pacifiquement à Paris contre le couvre-feu décrété par le préfet de police Maurice Papon. Cette mobilisation, organisée à l’appel du FLN, sera très violemment réprimée : entre des dizaines et des centaines de morts selon les sources, des manifestants emprisonnés dans des centres de détention spécialement mis en place (palais des sports, stade Coubertin, parc des expositions, etc.) où ils ont subi des mauvais traitements. Or ce massacre a été longtemps étouffé. Le lendemain, Maurice Papon publie un communiqué de presse où il minimise la répression (officiellement on parle de trois morts) et accuse les manifestants de violence envers les forces de l’ordre. Si quelques journaux tentent de contester cette version, c’est néanmoins ce communiqué qui va incarner la version « officielle ». À partir des années 80 des historiens vont commencer à produire des travaux de recherche sur la manifestation et sa répression. Mais il faut attendre 1997 et le procès de Maurice Papon (sur ses actes pendant l’Occupation) pour que les événements du 17 octobre refassent surface sur la scène publique. Commence alors un long travail de mémoire et d’écriture de l’histoire encore en cours.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Vendredi 13 octobre 2017, à 14 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/9, ISO 250, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT Plusieurs centaines de personnes ont manifesté vendredi 13 octobre 2017 à Paris pour dire leur « nausée » que, 21 ans après l’interdiction de cette fibre cancérogène, non seulement aucun procès pénal ne soit à l’ordre du jour mais, pire, qu’une
telle perspective s’éloigne. Rassemblés à l’appel de l’association nationale des victimes de l’amiante (Andeva), les manifestants, venus de toute la France, ont défilé derrière une trentaine de silhouettes blanches figurant les morts de l’amiante…
Protestors from the National Association for the Defense of Victims of Asbestos (ANDEVA) and from others associations carry carboard people to represent asbestos victims and to call to pass judgement on the people responsible for the asbestos victims in France, on October 13, 2017 in Paris.
Un an, jour pour jour, après les attentats du 13 novembre qui ont fait 130 morts et des centaines de blessés, un hommage aux victimes a été rendu par les Parisiens le dimanche 13 novembre 2016. Réunis au pied de la statue de la place de la République, ils ont allumé des bougies ou écouté des pianistes inconnus venus jouer en l’honneur des victimes. Le long du Canal Saint-Martin, tout près de plusieurs des terrasses attaquées, la population était invitée à dessiner ou écrire au feutre un message sur chacune des 3 500 lanternes bleues, blanches ou rouges, déposées ensuite sur l’eau.
People set afloat lanterns during a lantern ceremony given by the association ToujoursParis.fr at the Canal Saint-Martin in Paris on November 13, 2016 to mark the first anniversary of the Paris terror attacks. 130 people were killed on November 13, 2015 by gunmen and suicide bombers from the Islamic State (IS) group in a series of coordinated attacks in and around Paris.
Des attaques simultanées, revendiquées par le groupe Etat islamique, ont frappé le centre de Paris et sa périphérie nord vendredi 13 novembre 2015 au soir. 128 morts sont à déplorer tandis que plus de 250 autres personnes ont été blessées dont 80 en « situation d’urgence absolue ». Sept terroristes présumés sont morts. Plusieurs assaillants sont entrés dans la grande salle de spectacle du Bataclan, où se tenait un concert du groupe de rock américain Eagles of Death Metal. Les terroristes ont ouvert le feu avant que cet assaut ne se transforme en prise d’otages. Trois à quatre suspects ont été abattus dans l’assaut des forces de l’ordre. Sur place, le bilan a été terrible : au moins 82 personnes sont mortes selon les premières estimations.
A cafe watched by police is seen closed to the Bataclan concert hall in Paris, on November 14, 2015, the day after the terror attack.
A l’appel du collectif « Justice pour les victimes de la route », des familles et proches de victimes de la délinquance routière se sont rassemblées le 16 mai 2015 à Paris, pour demander une plus grande fermeté de la justice dans les peines infligées aux conducteurs à l’origine de drames de la route. Les familles ont été rejointes devant l’Assemblée nationale par le député Nicolas Dupont-Aignan, président du parti « Debout la France ». Le nombre de morts sur les routes a augmenté de 3,7% en 2014 par rapport à 2013. Au total, 3 388 personnes ont péri dans des accidents de la route, soit 120 de plus que l’année précédente, qui avait marqué un record à la baisse depuis 1948, année des premières statistiques.
Families gathered on May 16th, 2015 in Paris for the recognition of the victims of road accidents. They hold signs with portraits and first names of relatives died on the road. The number of deaths on roads in France climclimbed in 2014 to 3388.