People take part in Paris on October 11, 2019 in a demonstration called by the National Association for the Defense of Victims of Asbestos (ANDEVA), few weeks after a massive fire ravaged a chemical factory in Rouen and residents find pieces of fiber ciment with asbestos in their garden.
Prise de vue: Vendredi 11 octobre 2019, à 13 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 320, Compensation: -1. Flash: non
L’association nationale de défense des victimes de l’amiante (Andeva) organisait une manifestation ce vendredi 11 octobre 2019 après-midi à Paris pour sensibiliser les Français et les pouvoirs publics aux dangers de la fibre d’amiante. Une manifestation organisée chaque année, mais qui trouvait cette année une résonance particulière, quelques semaines après l’incendie de l’usine Lubrisol, à Rouen. Un site détruit qui comportait notamment pas moins de 8000 m² de toits en fibrociment, un matériau reconnu pour ses qualités isolantes mais contenant de l’amiante, dont des morceaux ont été retrouvés dans les jardins des habitants.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Vendredi 13 octobre 2017, à 14 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/9, ISO 250, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT Plusieurs centaines de personnes ont manifesté vendredi 13 octobre 2017 à Paris pour dire leur « nausée » que, 21 ans après l’interdiction de cette fibre cancérogène, non seulement aucun procès pénal ne soit à l’ordre du jour mais, pire, qu’une
telle perspective s’éloigne. Rassemblés à l’appel de l’association nationale des victimes de l’amiante (Andeva), les manifestants, venus de toute la France, ont défilé derrière une trentaine de silhouettes blanches figurant les morts de l’amiante…
Protestors from the National Association for the Defense of Victims of Asbestos (ANDEVA) and from others associations carry carboard people to represent asbestos victims and to call to pass judgement on the people responsible for the asbestos victims in France, on October 13, 2017 in Paris.
Près de 250 victimes de l’amiante ont manifesté mercredi 6 novembre 2013 en combinaison blanche devant le pôle judiciaire de santé publique du boulevard des Italiens, dans le 9e arrondissement de Paris, pour protester contre la position du parquet général dans le dossier de Condé-sur-Noireau (Calvados). L’avocat général soutiendra en effet jeudi 7 novembre devant la cour de cassation l’annulation des mises en examen de la maire de Lille, Martine Aubry, et de sept autres personnes qui contestaient les poursuites dans l’enquête sur le drame sanitaire de l’amiante. La cour d’appel de Paris a annulé en mai ces mises en examen mais les parties civiles se sont pourvues en cassation, estimant que les magistrats avaient rendu un jugement « militant » en faveur de l’amiante. Pour montrer leur détermination, les représentants et proches de victimes ont revêtu des combinaisons semblables à celles utilisées pour le désamiantage. D’autres ont pris position autour d’un cercueil noir sur lequel une pancarte proclamait : « Amiante, 10 morts par jour. Ni responsables, ni coupables ? ». D’autres manifestants tenaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « Les empoisonneurs doivent être jugés ». Les avocats des associations ont dans le même temps déposé au pôle santé 1.148 nouveaux dossiers de victimes des chantiers navals de Dunkerque et de la Sollac, entreprise métallurgique.