Résumé : 297 mots. Comme dans plus de 45 villes en France, des parents d’enfants handicapés et des adultes handicapés ont manifesté ce mardi 11 février 2020 devant la Maison départementale des personnes handicapées de Nanterre, « pour la défense des droits des personnes en situation de handicap, tous handicaps et tous âges confondus » expliquaient-ils dans un communiqué. Des rassemblements organisés à l’occasion des quinze ans de la Loi Handicap de 2005 mais aussi de la Conférence nationale du handicap, qui se déroulait au même moment au Palais de l’Elysée, à Paris, sous la présidence d’Emmanuel Macron. Votée sous Jacques Chirac, la loi « pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées » avait été un des axes majeurs de son second quinquennat, érigée au rang de grande cause nationale. Comme un clin d’œil, sa fille Claude Chirac était d’ailleurs présente et à pris la parole « pour rappeler dans quel contexte cette loi à vu le jour », faisait-on savoir. « Chaque jour des enfants ne peuvent accéder à une école, des travailleurs doivent quitter leur entreprise, car les logiciels utilisés ne sont pas adaptés, des personnes ne peuvent aller où elles veulent en raison de multiples obstacles », a dénoncé un collectif de 47 associations, dans une tribune parue dans le JDD.
Dès la prochaine rentrée, un module de formation des enseignants sur la prise en charge des élèves en situation de handicap sera mis en place.
« Il (Emmanuel Macron) est toujours contrarié de constater que des parents n’arrivent pas à régler ces problèmes d’inclusion de leurs enfants », explique un collaborateur.
En 2017 déjà, le président avait fait de l’inclusion des personnes handicapées « une des priorités du quinquennat », avec l’ambition affichée de simplifier les démarches administratives dénoncées comme étant « trop complexes ». Source.
Dès la prochaine rentrée, un module de formation des enseignants sur la prise en charge des élèves en situation de handicap sera mis en place.
« Il (Emmanuel Macron) est toujours contrarié de constater que des parents n’arrivent pas à régler ces problèmes d’inclusion de leurs enfants », explique un collaborateur.
En 2017 déjà, le président avait fait de l’inclusion des personnes handicapées « une des priorités du quinquennat », avec l’ambition affichée de simplifier les démarches administratives dénoncées comme étant « trop complexes ». Source.
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