A woman demonstrator offers a rose to a French police officer during a demonstration in Paris on February 9, 2019 as the « Yellow Vests » (Gilets Jaunes) protesters take to the streets for the 13th consecutive Saturday. The Yellow Vests movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against the French President's policies and top-down style of governing.
Prise de vue: Samedi 9 février 2019, à 10 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 1250, Compensation: -2/3. Flash: non
Entre les « gilets jaunes » et les policiers, l’ambiance n’est pas toujours tendue. En témoigne cette photo prise le 9 février 2019 sur les Champs-Élysées, à Paris, lors de la 13e séquence de manifestations des gilets jaunes. Une femme offre une rose rouge à un policier qui lui barre le chemin, et qui conserve la fleur. Une ambiance bon enfant qui tranche avec les scènes de tension vues ou racontées ces derniers jours.
A Sentinelle security operation car burns in front of the Eiffel Tower, on the sidelines of a demonstration in Paris on February 9, 2019, as the "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) protesters take to the streets for the 13th consecutive Saturday. The "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against the French President's policies and top-down style of governing.
Prise de vue: Samedi 9 février 2019, à 16 h 54. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 168 mots. Chaque samedi depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes, des voitures sont régulièrement incendiées un peu partout en France, et plus particulièrement à Paris. Mais cette fois-ci, c’est un véhicule de l’opération Sentinelle qui a été attaqué. L’opération sentinelle est une opération de l’armée française qui a été déclenchée après les attentats de janvier 2015 sur le territoire français. Elle a notamment pour mission de protéger des monuments ou des lieux sensibles. Les vitres de protection installées autour de la tour Eiffel pour prévenir des risques d’attentats ont également été fortement endommagées par les manifestants. Des projectiles ont été jetés sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes. Plus tôt dans la journée, les Gilets jaunes s’étaient rassemblés devant l’Assemblée nationale. Des incidents ont éclaté avec les CRS à l’arrivée du cortège devant le bâtiment, où un manifestant, âgé d’une trentaine d’années selon les pompiers, a eu une main arrachée.
Source : www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
Contrôle des sacs, filtrage des accès aux bureaux de vote… Trois jours après l’attentat sur les Champs-Elysées, un « dispositif dense de sécurisation » des bureaux de vote était déployé ce dimanche 23 avril 2017 à Paris. La préfecture de police avait prévu ce dispositif qui s’appuyait sur les patrouilles des commissariats ou de l’unité de sécurisation opérationnelle de la capitale (Usoc) ainsi que sur les patrouilles militaires de l’opération Sentinelle, dont les missions ont été spécifiquement réorientées pour les quatre dimanches d’élection (présidentielle et législatives). La préfecture de police s’appuyait aussi sur la vidéosurveillance. Mais le préfet de police a également appelé à la vigilance les maires d’arrondissement et présidents de bureau de vote — comme partout en Ile-de-France — pour ce qui concerne la « sûreté interne des bureaux de vote » et leurs accès. Filtrage et contrôle visuel des personnes et du contenu des sacs à l’entrée, condamnation des accès non indispen-
sables pour les opérations électorales, gestion des files d’attente qui devaient être « positionnées à l’intérieur des sites et à l’écart de la voie publique », faisaient partie des consignes émises. À la suite des demandes exprimées par ces élus, la Ville avait d’abord décidé de sécuriser 191 bureaux de vote sur 896. Mais depuis le début de la semaine, alors que les maires de droite ont interpellé la maire de Paris sur le plan de sécurisation qu’ils jugeaient « insuffisant », le dispositif est monté en puissance avant même l’attentat de jeudi soir sur les Champs-Elysées. Il a finalement été étendu à 400 bureaux de vote ce vendredi. « Toutes les demandes exprimées par les maires ont été validées », insiste-t-on à la Ville de Paris. Huit cents agents de sociétés privées assermentées par le ministère de l’Intérieur et cent cinquante agents de la direction de la prévention de la sécurité et de la protection de la ville seront mobilisés à l’entrée des sites désignés par les maires d’arrondissement.