► Données techniques de la photo 1
Dans le cadre du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale, une cérémonie en hommage au poète Guillaume Apollinaire a eu lieu le 8 novembre 2018 devant sa tombe, au cimetière du Père Lachaise, à Paris. Lorsqu’il naît à Rome en 1880, le poète ne s’appelle pas encore Apollinaire mais Kostrowitzky. De nationalité polonaise, il débarque à Paris à 18 ans, se consacre vite à sa grande passion, la poésie, et s’impose comme une figure incontournable de la vie littéraire parisienne.
Lorsque la guerre éclate en 1914, Apollinaire veut s’engager, mais il doit s’y prendre à deux fois pour rejoindre l’armée française.
En 1915, sous lieutenant au 96e régiment d’infanterie, il combat en Champagne pendant près de 6 mois.
Malgré l’horreur de la guerre, il continue d’écrire et entretient une abondante correspondance (plus de 200 lettres) avec sa maîtresse de l’époque, Lou. Il y décrit dans le détail la vie des tranchées, un quotidien, au milieu de la boue et des bombardements. En 1916, enfin naturalisé, Guillaume Apollinaire poursuit la guerre dans l’Aisne où il est blessé à la tempe par un éclat d’obus.
Après une longue convalescence, très affaibli par sa blessure. Il finira par contracter la grippe espagnole et mourra le 9 novembre 1918, jour même de l’abdication d’un autre Guillaume, l’empereur allemand Guillaume II.
Lorsque la guerre éclate en 1914, Apollinaire veut s’engager, mais il doit s’y prendre à deux fois pour rejoindre l’armée française.
En 1915, sous lieutenant au 96e régiment d’infanterie, il combat en Champagne pendant près de 6 mois.
Malgré l’horreur de la guerre, il continue d’écrire et entretient une abondante correspondance (plus de 200 lettres) avec sa maîtresse de l’époque, Lou. Il y décrit dans le détail la vie des tranchées, un quotidien, au milieu de la boue et des bombardements. En 1916, enfin naturalisé, Guillaume Apollinaire poursuit la guerre dans l’Aisne où il est blessé à la tempe par un éclat d’obus.
Après une longue convalescence, très affaibli par sa blessure. Il finira par contracter la grippe espagnole et mourra le 9 novembre 1918, jour même de l’abdication d’un autre Guillaume, l’empereur allemand Guillaume II.
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