Réflexion en passant sous la torchère de Feyzin
un jour de circulation alternée (jour & nuit)
« Inexorablement, le végétal triomphera de nos conneries, sans coup férir, malgré nos dégueuleries nucléaires, notre ratissage de l’Amazonie et toutime. Dans moins de pas longtemps, le liseron repoussera sur les parkings, les chênes ou les baobabs sur les pistes d’aéroports ; (…) y’a que les déserts qui ne bougeront pas. Eux, ils attendent. Non pas la fin du monde, car ce sera le contraire qui se produira : la renaissance du monde ! »
San-Antonio – « Faites chauffer la colle », 1993
Merci pour les images Michel !
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