posted on Aoû 12, 2014 par jeff dans Moi, Famille Alsace, Chazay, Alsace, Côte d'Azur, Castel (août, septembre 2014)
© Photo Jeff Saby. Prise de vue: Mardi 12 août 2014, à 10 h 41. Appareil: Fijifilm X-E1. Objectif: Fujinon aspherical lens. Super EBC XF 18-55 mm ƒ/2.8-4 ; focale: 33 mm (= 50 mm en 24x36). Exposition: Auto, programme normal, 1/350e de s, ƒ/9, ISO 400. Flash: non
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dans une présentation différente
La visite de la foire aux vins de Colmar était notre objectif, ce matin. Arrivés sur zone, nous avons découvert qu'elle n'ouvrait ses portes que l'après-midi. Changeant son fusil d'épaule, Crik a visé Kaysersberg. À mon avis, nous n'avons pas perdu au change. Cette cité médiévale est dotée d'un charme certain.
Hassenforder, le facétieux. L'hôtel-restaurant « Chez Roger Hassenforder » a réveillé en moi de vieux souvenirs de Tour de France, quand j'étais chargé de noter le résultat de l'étape, entendu à la radio, sur une ardoise que l'on posait dans la vitrine du magasin de cycles de mes grands-parents à l'intention des passants qui rentraient de l'usine ou du bureau. Ma première incursion dans le domaine de l'information !
Le coureur alsacien, très populaire en raison de son esprit facétieux, avait remporté huit étapes, entre 1955 et 1959.
Schweitzer, l'humaniste. À noter aussi la maison natale du Dr Albert Schweitzer, autre célébrité du lieu. La maison contiguë abrite un musée dédié au précurseur de l'aide humanitaire, fondateur de l'hôpital de Lambaréné, prix Nobel de la paix en 1952, organiste réputé et théologien protestant. Un portrait de lui est affiché à l'entrée du temple, dans une petite rue voisine.
Un de mes forts souvenirs de cinéma a été « Il est minuit, Docteur Schweitzer » (1952), avec Pierre Fresnay, adapté d'une pièce de Gilbert Cesbron. À sa sortie, je l'avais vu au Vox, tout près de chez moi, rue Marietton à Lyon.
Pour les allergiques aux vieux films, signalons « Le Grand Blanc de Lambaréné » (1994), par Bassek Ba Kobhio. Un portrait plus nuancé et moins hagiographique fait par un Africain.
Une bonne table. Nous cherchons dans les petites rues de traverse un restaurant qui ne soit pas un attrape-touriste, comme on risque d'en trouver dans les voies principales.
Le Caveau semble répondre à cette attente. Nous y entrons à midi pile. Il est déjà presque plein, gage d'une bonne adresse où il ne faut pas arriver tard. Il est vrai que la salle est petite. Mais le décor est authentique et la cuisine du terroir excellente.
Nécropole nationale de Sigolsheim. Crik m'emmène ensuite visiter la nécropole nationale et le cimetière militaire de Sigolsheim.
Sur la colline du « Blutberg » (Montagne du Sang) sont enterrés 1.589 combattants tombés lors des combats pour la libération de l'Alsace en 1945. Parmi les tombes, on dénombre 792 tombes de militaires maghrébins et 15 tombes de militaires juifs.
Devant le cimetière, un monument a été érigé à l'initiative des anciens de la 1re armée française, dite « Rhin et Danube », en hommage aux Américains ayant combattu à leurs côtés, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny et morts en Alsace pour la liberté.
Hassenforder, le facétieux. L'hôtel-restaurant « Chez Roger Hassenforder » a réveillé en moi de vieux souvenirs de Tour de France, quand j'étais chargé de noter le résultat de l'étape, entendu à la radio, sur une ardoise que l'on posait dans la vitrine du magasin de cycles de mes grands-parents à l'intention des passants qui rentraient de l'usine ou du bureau. Ma première incursion dans le domaine de l'information !
Le coureur alsacien, très populaire en raison de son esprit facétieux, avait remporté huit étapes, entre 1955 et 1959.
Schweitzer, l'humaniste. À noter aussi la maison natale du Dr Albert Schweitzer, autre célébrité du lieu. La maison contiguë abrite un musée dédié au précurseur de l'aide humanitaire, fondateur de l'hôpital de Lambaréné, prix Nobel de la paix en 1952, organiste réputé et théologien protestant. Un portrait de lui est affiché à l'entrée du temple, dans une petite rue voisine.
Un de mes forts souvenirs de cinéma a été « Il est minuit, Docteur Schweitzer » (1952), avec Pierre Fresnay, adapté d'une pièce de Gilbert Cesbron. À sa sortie, je l'avais vu au Vox, tout près de chez moi, rue Marietton à Lyon.
Pour les allergiques aux vieux films, signalons « Le Grand Blanc de Lambaréné » (1994), par Bassek Ba Kobhio. Un portrait plus nuancé et moins hagiographique fait par un Africain.
Une bonne table. Nous cherchons dans les petites rues de traverse un restaurant qui ne soit pas un attrape-touriste, comme on risque d'en trouver dans les voies principales.
Le Caveau semble répondre à cette attente. Nous y entrons à midi pile. Il est déjà presque plein, gage d'une bonne adresse où il ne faut pas arriver tard. Il est vrai que la salle est petite. Mais le décor est authentique et la cuisine du terroir excellente.
Nécropole nationale de Sigolsheim. Crik m'emmène ensuite visiter la nécropole nationale et le cimetière militaire de Sigolsheim.
Sur la colline du « Blutberg » (Montagne du Sang) sont enterrés 1.589 combattants tombés lors des combats pour la libération de l'Alsace en 1945. Parmi les tombes, on dénombre 792 tombes de militaires maghrébins et 15 tombes de militaires juifs.
Devant le cimetière, un monument a été érigé à l'initiative des anciens de la 1re armée française, dite « Rhin et Danube », en hommage aux Américains ayant combattu à leurs côtés, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny et morts en Alsace pour la liberté.
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