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Tag: "rue marietton"
© Photo Lucien REY. Prise de vue: Vendredi 14 octobre 2016, à 10 h 18. Appareil: OLYMPUS STYLUS1,1s. Objectif: Non renseigné ; focale: 4,8 mm (= 22 mm en 24x36). Exposition: Normal programme, 1/400 s, f/4, ISO 100. Flash: non
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Les automobiles Vermorel, majoritaires dans la manifestation, dont certains modèles ont été qualifiés de « Rolls française », n'ont pas été fabriquées en aussi grand nombre (7.500 environ) que les Citroën, Renault ou Peugeot. Leur usine caladoise a fermé en 1930 et il ne devait plus beaucoup en circuler à l'époque de mon enfance. Je ne me souviens pas – mais je n'ai pas très bonne mémoire – en avoir vu passer dans la rue Marietton où j'observais le dimanche soir, depuis le second étage de notre immeuble, le défilé ininterrompu des retours de week-end ou de vacances. Cette rue assez modeste était alors la voie lyonnaise principale entre Paris et la Côte d'Azur.
J'étais, dans ces temps reculés où les voitures avaient du caractère, capable de reconnaitre au premier coup d'œil la plupart des marques et modèles, il est vrai moins nombreux. C'est loin d'être le cas aujourd'hui.
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© Photo Jeff Saby. Prise de vue: Mardi 12 août 2014, à 10 h 41. Appareil: Fijifilm X-E1. Objectif: Fujinon aspherical lens. Super EBC XF 18-55 mm ƒ/2.8-4 ; focale: 33 mm (= 50 mm en 24x36). Exposition: Auto, programme normal, 1/350e de s, ƒ/9, ISO 400. Flash: non
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dans une présentation différente
Hassenforder, le facétieux. L'hôtel-restaurant « Chez Roger Hassenforder » a réveillé en moi de vieux souvenirs de Tour de France, quand j'étais chargé de noter le résultat de l'étape, entendu à la radio, sur une ardoise que l'on posait dans la vitrine du magasin de cycles de mes grands-parents à l'intention des passants qui rentraient de l'usine ou du bureau. Ma première incursion dans le domaine de l'information !
Le coureur alsacien, très populaire en raison de son esprit facétieux, avait remporté huit étapes, entre 1955 et 1959.
Schweitzer, l'humaniste. À noter aussi la maison natale du Dr Albert Schweitzer, autre célébrité du lieu. La maison contiguë abrite un musée dédié au précurseur de l'aide humanitaire, fondateur de l'hôpital de Lambaréné, prix Nobel de la paix en 1952, organiste réputé et théologien protestant. Un portrait de lui est affiché à l'entrée du temple, dans une petite rue voisine.
Un de mes forts souvenirs de cinéma a été « Il est minuit, Docteur Schweitzer » (1952), avec Pierre Fresnay, adapté d'une pièce de Gilbert Cesbron. À sa sortie, je l'avais vu au Vox, tout près de chez moi, rue Marietton à Lyon.
Pour les allergiques aux vieux films, signalons « Le Grand Blanc de Lambaréné » (1994), par Bassek Ba Kobhio. Un portrait plus nuancé et moins hagiographique fait par un Africain.
Une bonne table. Nous cherchons dans les petites rues de traverse un restaurant qui ne soit pas un attrape-touriste, comme on risque d'en trouver dans les voies principales.
Le Caveau semble répondre à cette attente. Nous y entrons à midi pile. Il est déjà presque plein, gage d'une bonne adresse où il ne faut pas arriver tard. Il est vrai que la salle est petite. Mais le décor est authentique et la cuisine du terroir excellente.
Nécropole nationale de Sigolsheim. Crik m'emmène ensuite visiter la nécropole nationale et le cimetière militaire de Sigolsheim.
Sur la colline du « Blutberg » (Montagne du Sang) sont enterrés 1.589 combattants tombés lors des combats pour la libération de l'Alsace en 1945. Parmi les tombes, on dénombre 792 tombes de militaires maghrébins et 15 tombes de militaires juifs.
Devant le cimetière, un monument a été érigé à l'initiative des anciens de la 1re armée française, dite « Rhin et Danube », en hommage aux Américains ayant combattu à leurs côtés, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny et morts en Alsace pour la liberté.
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Retrouvailles
J'ai retrouvé l'agréable camping d'Anse, « Les Portes du Beaujolais ».
À part mes visites régulières à mon oncle et ma tante de Chazay et ma virée à Lyon, le jeudi 7, cette semaine dans ma région d'origine a été marquée par mes retrouvailles avec une amie d'enfance. Le mardi 5, Edwige et son mari Lucien m'ont invité à dîner chez eux, à Villefranche-sur-Saône. Au cours de cette excellente soirée nous nous sommes remémorés, elle et moi, notre vie rue Marietton, à Lyon, où « mon » magasin de cycles n'était séparé de « sa » triperie que par une allée d'immeuble.
Au départ du camping d'Anse, ce vendredi matin 8 août, j'ai oublié de débrancher le fil électrique qui reliait la caravane à la borne d'alimentation. Une Hollandaise m'a couru après avec de grands gestes pour me signaler la chose. Le fil en question gisait derrière l'attelage. La première phase des vacances d'été 2014 se termine aussi mal qu'elle a commencé.
Luttenbach. Camping
chez le Baron
Je suis arrivé au Camping Les Amis de la Nature, à Luttenbach, dans la vallée de Munster, vers 16 h. L'établissement occupe en grande partie le parc de l'ancienne propriété du Baron de Coubertin, jadis Papeterie royale.
Tout schuss ches Les Briconautes
Quand un employé vient pour procéder au branchement de l'électricité, je constate que ma rallonge est foutue. Son embout de raccordement a été arraché. Il est resté sur la borne du camping d'Anse. Je fonce chez les Briconautes, à Munster. Il n'y a pas de rallonge toute faite. Je trouve une rallonge ordinaire et deux adaptateurs qui permettent, l'un le branchement à la caravane, l'autre le branchement aux prises européennes.
Et la lumière fut !
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L'incontournable visite de Vaise, le quartier de mon enfance, m'a fait découvrir que l'immeuble rescapé, qui était séparé du nôtre par une petite impasse, a lui aussi disparu. La vieille bâtisse menaçait ruine. On en trouvera des images dans mon article du 28.01.2009. À son rez-de-chaussée se tenait une boucherie, fermée depuis de nombreuses années. Du temps où elle était florissante, j'ai vu chez ses propriétaires, seuls possesseurs d'un téléviseur du secteur, la première Eurovision (le couronnement d'Elisabeth II). Ce mardi 2 juin 1953, les voisins avaient été invités à assister à l'évènement.
Autre incontournable, le centre ville où j'ai commencé par beaucoup tourner, car j'ai eu du mal à trouver l'entrée du parking sous la place Bellecour. L'urbaniste fou a encore frappé.
Je ne sais pas si l'expression « faire la rue d'la Ré » est toujours en vigueur. Cela voulait dire l'arpenter à pied du début à la fin et retour, s'attarder devant ses vitrines de luxe, s'arrêter dans ses bistrots cossus.
« Ils » devraient mettre une plaque au 73 de la rue de la République : j'ai habité là pendant un an ou deux. Ce serait plus justifié que l'inscription « A Saint Louis », gravée au dessus de la porte d'entrée, dont je ne me souvenais pas et dont j'ignore l'origine.
Brève visite à la FNAC, installée dans le bel immeuble où se tenait autrefois le siège du quotidien Le Progrès. En sortant, je tombe sur une démonstration de street dance (danse de rue) par une bande de djeuns et la filme.
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J'apprends lundi, par FR3 Lyon (canal 279 sur Canalsatellite), que la rue Marietton, est en partie fermée à la circulation, un vieil immeuble menaçant de s'effondrer. Je me précipite sur mlyon.fr qui précise que l'immeuble en question est au n° 61. J'ai habité au 57 jusqu'à l'âge de 17 ans ! Je file sur Google Maps et son remarquable service de photos de rues (quand on agrandit la carte au maximum). Et là, je vois que le 61, c'était ma boucherie. Je récapitule : au 55, à l'angle de la rue Tissot, il y avait un café avec jeu de boules, au 57, le magasin de cycles de mes grands-parents, au 59, une triperie, puis une impasse au fond de laquelle se trouvait l'atelier de mon grand-père. Et au 61, la boucherie. L'immeuble qui allait de la rue Tissot à l'impasse (mon immeuble), a été détruit et remplacé par un immeuble neuf qui abrite à son rez-de-chaussée une pharmacie et un commissariat de police. Dernière nouvelle : hier, l’expert n’a pas constaté de péril imminent. La circulation a pu être rétablie. Cinq locataires du 61 ont été relogés par la mairie.
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La photo de la 3e est parue sur La Dernière Heure lyonnaise, le jeune Taravel, porté en triomphe par ses camarades, ayant gagné un concours du quotidien qui offrait à toute sa classe un voyage à la mer.
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Je me suis inscrit sur copainsdavant. Peu de temps après, j'ai eu la surprise d'être contacté par un ancien élève de l'école primaire de la rue Tissot, à Lyon, que j'ai fréquentée de 1950 à 1955. Noël Larmaraud était dans la classe supérieure à la mienne, mais il est à peu près le seul dont je me rappelle, de cette lointaine époque, car il était le fils du directeur de l'établissement. Il se souvient que j'habitais rue Marietton. Des retrouvailles après bientôt 55 ans ! Nous ne devons pas être très loin du record du site.