Quelle époque vivons nous ! Ils ne respectent plus rien ! Je suggère que tous les amis de Jeff lancent une souscription pour apposer une plaque commémorative sur la facade de la maison Poulaga !
(lol)

Bonjour Monsieur. Quelle fut ma surprise, en recherchant les anciens transports Cordier, de la rue Marietton, de découvrir que vous avez habité la rue Marietton. Mon papa qui est toujours en vie a été chauffeur chez Cordier. Nous avons habité le logement a côté. Pour tout vous dire je recherche des photos de notre ancienne habitation qui a été démolie depuis. Lorsque j’étais enfant je m’asseyais sur la fontaine à manivelle et j’allais jouer sur le site de l’ancienne usine à javel, qui maintenant, je crois, est une grande surface. Pouvez-vous me contacter, pour me donner votre accord pour communiquer.
Je vous remercie d’avance
bernard poulard

Bonjour Jean François,

Merci de faire revivre en quelques mots l’esprit de ce quartier vaisois !

Merci pour cette agréable parenthèse “souvenirs souvenirs". A Bientôt !

Je comprends ton emotion Jeff . Quand j’ai vu sur internet la façade de mon immeuble à Oran, j’ai eu le coeur bien serré. La vie, ce n’est pas seulement le présent, mais aussi les souvenirs et les projets.

Bizarrement, on ne trouve pas grand-chose sur internet concernant les transports Cordier de la rue Marietton. La page la plus explicite que j’ai trouvée est celle-ci :
http://www.patrimoine.rhonealpes.fr/dossier/usine-de-produits-agro-alimentaires-peylaboud-actuellement-transports-cordier/b4fbd594-42e7-4f80-b0ed-c0d19b05bab0
Elle comporte un bref historique et quelques photos. La vue ouest rue Marietton (ci-dessous) correspond à mon souvenir. Dans la partie logements, à gauche du portail, habitait l’ingénieur de l’usine dont le nom m’échappe (peut-être Giraudon). Le jeudi, on allait chez lui regarder la télévision. Au milieu des années 50, c’était un des très rares foyers du quartier à en posséder une.
La page citée ci-dessus aurait besoin d’une mise à jour. L’entreprise a disparu et l’îlot Cordier, comme l’appellent les urbanistes a été démoli. Voir sur ce site la photo n° 6 accompagnant l’article :
http://jfsaby.com/blogs/index.php/jeff/exit-ma-boucherie-a-vaise-street-dance-rue-d-la-re. Mais je me demande si l’emplacement exact de l’ancienne entreprise n’est pas occupé, à droite du chantier, par la rue du 24 mars 1852, nouvellement créée, presque parallèle à la rue Tissot et reliant comme elle la rue Marietton à la rue du Souvenir.
À l’emplacement de l’îlot Cordier s’élève maintenant un ensemble immobilier. Ses photos sont ici :
http://www.pss-archi.eu/photo-39143.html.

Bonjour. Je vous remercie pour la photo. J ai habité le troisième étage. En bas à gauche était notre entrée, à droite les bureaux Cordier, ensuite la grande entrée a droite était pour les camions. Je suis allé à la maternelle rue Tissot, juste à coté de l’école des garçons et un peu plus loin l’école des filles. En face, je me rappelle, il y avait les Compagnons du Devoir .Si je me rappelle bien, sur la photo de la pharmacie que vous avez publiée, il y avait un café qui d’ailleurs était tenu par un chauffeur routier de Cordier que mon papa connaissait très bien. Il y avait en face de ce café de l’époque, une petite épicerie et à côté un magasin de jouets et autres, La propriétaire était “chez Coucou". Au rond-point, il y avait les établissement Duval.
J’avais à l’époque un ami qui s’appelait Redeuille, Je m’excuse pour l’orthographe, qui n’est peut-être pas la bonne. Si quelques personnes se reconnaissent, elles peuvent me contacter, Ce sera avec un vrai plaisir de témoigner. MERCI.

Bonjour j’avais un salon de coiffure au 12 avenue Sidoine Apollinaire j’avais des clients de chez cordier j’avais connu poulard qui venait chez moi