Le journal de Jeff

Plouigneau (Finistère)

Tag: "télévision"

Un toubib à l'ancienne à Plouigneau

posted on Avr 14, 2017 par dans Reçu par mail, Amis Six-Fours, Actualité, Vidéos

► Source 🛈Sur tf1info.fr
Alain a 80 ans mais n’est pas encore retraité. Ce médecin généraliste basé dans le Finistère est infatigable. Cela fait plus de 50 années qu’il ausculte ses patients minutieusement, en prenant son temps.

« Non, on ne trouve pas que des reportages sur l'arrivée des premières fraises au marché ou sur ces privilégiés de retraités qui font rien qu'à se balader en camping-car ou se dorer la couenne en croisière… Il y a aussi de graves sujets de société au J.T de Jean-Pierre Pernaut ! » m'écrit dans un mail mon confrère blo­gueur Guy, dont j'ai parfois moqué l'intérêt pour le 13 H de TF1. Ainsi m'arrive du Var la révélation de l'existence dans ma com­mune du Finistère d'un médecin de campagne comme on n'en fait plus. À 80 ans, le Dr Alain Kerneis ne pense pas à la retraite. Il ne comprend pas la réticence des jeunes à s'instal­ler en milieu rural.
Depuis plus de 50 ans, il pratique un « métier de curé », une médecine à l'écoute des patients et qui prend son temps. Rafraichissant !

Dans l'extrait, le journal de Jean-Pierre Pernaut, en vacances, est présenté par Jacques Legros.
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Île Callot. Gaffe à la marée !

posted on Aoû 4, 2016 par dans Actualité
Île Callot. Un panneau antisubmersion ! © Le Télégramme.
Île Callot. Un panneau antisubmersion ! © Le Télégramme.
Soucieux de tenir informés ceux de mes visiteurs que j'ai emmenés sur l'île Callot (prononcez cal­lote), voici un nouvel article puisé dans Le Télé­gramme de ce jour. On reste étonné que tant de gens se laissent avoir par la route submersible. Dans Le Télégramme d'hier, l’actrice, journaliste, animatrice télé Justine Fraioli, 36 ans, qui passe ses vacances à Carantec depuis la petite enfan­ce, répond à la question Un site naturel ? :
« J'aime bien l'île Callot, en face de Carantec. Quand la marée est haute, on ne peut y accéder. Il y a un parfum de danger : on s'y baladait ado mais il fallait avoir les horaires des marées pour ne pas s'y retrouver piégé ».

Sur ce blog

► 19.05.2016. Île Callot. Projet de rénovation de l'ancienne école 🛈Pour ceux que j'ai promenés sur l'île Callot et qui ont craqué devant cet amour d'ancienne petite école insulaire, avec son minuscule préau…
► 08.10.2014. De Carantec à Quimper : on a ratissé large 🛈Le guide a emmené ses touristes de Carantec à Quimper, via Saint-Thégonnec et Pleyben. À Carantec (et l'île Callot), nous avons fait une belle promenade pédestre…

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Le Télégramme. Deux émissions sauvées des cassettes

posted on Mai 28, 2013 par dans Moi, Ancien temps
En faisant quelques rangements dans mon grenier (je sais que certains ne le croiront pas), je suis tombé sur un lot de vieilles cassettes VHS oubliées. Parmi elles, j'ai trouvé l'enregistrement de deux émissions, l'une de radio, l'autre de télévision, concernant le quotidien régional où j'ai travaillé pendant 36 années et dont j'ai déjà dit tout le bien que je pensais (voir dans ce blog l'article Le Télégramme : une nouvelle édition). Les voici, après numérisation.

1996 - RBO. Nouvelle rotative, première mondiale

Audio de 1 h 12 mn en HTML5 (fichiers : .mp3, .aac, .ogg)

Radio-France Bretagne Ouest (RBO) a diffusé pendant toute la journée du mardi 3 décembre 1996 des émissions en direct, depuis les locaux du journal à Morlaix, à l'occasion de la mise
en service d'une nouvelle rotative, un prototype de fabrication suisse, capable de tripler le nombre de pages en couleur du quotidien breton.

En bonus, je livre une page du mensuel de la rédaction qui évoque les mouvements sociaux et les difficultés de la mise au point ayant entouré le lancement de la « bête ».

1998 - France 3. Lancement du Télégramme-Dimanche

Vidéo de 22 mn 39 s en HTML5 (fichiers : .ogv, .webm, .mp4)

Au début de 1998, France 3 Bretagne a consacré une de ses émissions du samedi, « L'Hebdo », à l'apparition des éditions dominicales des quoti­diens Le Télégramme et Ouest-France. Entretien avec Jean-Claude Cassenac, du Télégramme et Didier Pillet, d'Ouest-France.
Jean-Claude Cassenac est décédé, le 4 janvier 2021, à Brest à l'âge de 81 ans.

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Exit ma boucherie à Vaise, Street Dance rue d'la Ré

posted on Jan 2, 2013 par dans Moi, Chazay (déc. 2012, janv. 2013)

PLEIN ÉCRAN : touche F11 pour l'activer (et le désactiver après visionnage). PUIS CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE.

1/15. Vaise. L'immeuble qui a remplacé mon immeuble. Mer 02.01.2013, 14 h 30.
2/15. Vaise. Ici était le cinéma Vox. Mer 02.01.2013, 14 h 22.
3/15. L'immeuble de ma boucherie n'est plus. Mer 02.01.2013, 14 h 24.
4/15. Vaise. Mon oncle et ma tante habitaient au 64, derrière cet immeuble. Mer 02.01.2013, 14 h 25.
5/15. Vaise. Après l'immeuble démoli, une rue qui n'existait pas. Mer 02.01.2013, 14 h 26.
6/15. Vaise. Le vide sera comblé. Mer 02.01.2013, 14 h 26.
7/15. Vaise. L'immeuble qui a remplacé mon immeuble. Mer 02.01.2013, 14 h 28.
8/15. Vaise. Ici était une alimentation Casino. Mer 02.01.2013, 14 h 29.
9/15. Dans la rue Tissot, l'arrière du cinéma Vox, côté cabine de projection. Mer 02.01.2013, 14 h 22.
10/15. Vaise. Rue Tissot. Ici était un jeu de boules lyonnaises. Mer 02.01.2013.
11/15. Place Bellecour. Mer 02.01.2013, 15 h 43.
12/15. Rue de la République, l'ancien siège du Progrès. Mer 02.01.2013, 16 h 25.
13/15. Rue de la République. J'ai habité là… Mer 02.01.2013, 16 h 27.
14/15. … au 3e étage, je crois. Mer 02.01.2013, 16 h 29.
15/15. Lyon. Place de la République. Mer 02.01.2013, 16 h 33.

Aujourd'hui, j'ai fait ma seule virée à Lyon du séjour 2012-2013 chez mon oncle et ma tante à Chazay d'Azergues.
L'incontournable visite de Vaise, le quartier de mon enfance, m'a fait découvrir que l'immeuble rescapé, qui était séparé du nôtre par une petite impasse, a lui aussi disparu. La vieille bâtisse menaçait ruine. On en trouvera des images dans mon article du 28.01.2009. À son rez-de-chaussée se tenait une boucherie, fermée depuis de nombreuses années. Du temps où elle était florissante, j'ai vu chez ses propriétaires, seuls possesseurs d'un téléviseur du secteur, la pre­mière Eurovision (le couronnement d'Elisabeth II). Ce mardi 2 juin 1953, les voisins avaient été invités à assister à l'évènement.
Autre incontournable, le centre ville où j'ai com­mencé par beaucoup tourner, car j'ai eu du mal à trouver l'entrée du parking sous la place Bellecour. L'urbaniste fou a encore frappé.
Je ne sais pas si l'expression « faire la rue d'la Ré » est toujours en vigueur. Cela voulait dire l'arpenter à pied du début à la fin et retour, s'at­tarder devant ses vitrines de luxe, s'arrêter dans ses bistrots cossus.
« Ils » devraient mettre une plaque au 73 de la rue de la République : j'ai habité là pendant un an ou deux. Ce serait plus justifié que l'inscription « A Saint Louis », gravée au dessus de la porte d'entrée, dont je ne me souvenais pas et dont j'ignore l'origine.
Brève visite à la FNAC, installée dans le bel im­meuble où se tenait autrefois le siège du quo­ti­dien Le Progrès. En sortant, je tombe sur une démonstration de street dance (danse de rue) par une bande de djeuns et la filme.

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Pleumeur-Bodou. Au pays des merveilles numériques

posted on Fév 15, 2009 par dans Moi, Spectacle, Foires,salons, expositions

Album (20 photos)Cliquez pour lire le guideActuellement se tiennent, dans le bâtiment de la Cité des Télécoms, à Pleumeur-Bodou, à un jet de pavé du célèbre radôme, trois expositions temporaires centrées sur l'imagerie numérique. Elles méritent le détour. D'autant que les expositions permanentes ne sont pas mal non plus. Pour 7 €, on a droit, en prime, à une visite guidée de l'exposition « Au-delà de l'image » qui permet de découvrir les nombreuses applications des images numériques dans les arts, la santé, la surveillance et l'environnement, ainsi qu'à un spectacle son, vidéo et lumière dans le radôme. Ce spectacle d'une vingtaine de minutes, très bien réalisé, retrace, en sa pharaonique présence, l'histoire de la première antenne de réception d'images par satellite (340 tonnes et la puissance de votre parabole !) et du radôme, qui reste le plus grand ballon gonflé du monde, son équivalent aux Etats-Unis ayant été détruit.
L'exposition « Nouvelles technologies, l'art de la convergence » recense les usages de la convergence numérique dans la vie quotidienne. J'ai vu pour la première fois la télévision en relief (sans recours à des lunettes spéciales). C'est bluffant !

Fin des vacances

posted on Jul 25, 2008 par dans Famille Chazay, Moi, Saint-Guénolé (juillet 2008)

Album (13 photos)J’ai plié en fin d’après-midi, après l’étape du Tour de France à la télé. On s’en va demain matin. C’est l’heure du bilan. Nous avons eu de la chance, car il a fait beau pendant ces deux semaines. Ce deuxième séjour au paisible Domaine de la Joie a été pour moi encore plus reposant du fait de l’absence de la tornade en forme d’épagneul breton qui répond plus ou moins au nom de Roc’h. J’ai entendu tata évoquer pour l’an prochain une destination plus au sud, genre Royan.

Exploit. Cassé deux lampes en moins de 10 secondes

posted on Fév 28, 2007 par dans Moi
Exploit. Cassé deux lampes en moins de 10 secondes

Pour remplacer ma carte Vitale défectueuse, j’ai besoin de photos d’i­dentité. J’ai voulu les réaliser moi-même, hier. Pour obtenir la lumière uniforme requise, je devais déplacer le lampadaire du séjour dans le hall d’entrée, à un endroit répondant aux exigences légales de ce genre de photo (fond uni de couleur pâle, blanc exclu). J’ai bien débranché le­dit lampadaire, mais je n’ai pas vu que son fil d’alimentation était emmê­lé avec celui d’une petite lampe de chevet qui me sert de lampe d’am­biance lorsque je regarde la télévision. Adieu la lampe de chevet !
Poursuivant ma route, j’ai cogné la verrerie de la lampe principale du lampadaire contre le chambranle de la porte de séparation du séjour et de l’entrée. Adieu la verrerie !
Cet après-midi, je me suis rendu chez mon commerçant en luminaires préféré. Le lampadaire a retrouvé son aspect d’origine et la lampe de chevet a été remplacée par une consœur de taille et de couleur presque identiques.
J’ai peur que cette mésaventure conforte certains dans l’idée que je ne suis vraiment pas une lumière.

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