Depuis hier, le dossier qui contenait les illustrations du blog Jeff est endommagé. Il ne comporte plus qu'un seul sous-dossier sur des centaines, lui-même amputé de la presque totalité de ses sous-dossiers. Conséquence : plus d'images dans les articles et certains liens de la colonne de droite des pages du site inopérants. Par exemple celui vers la dernière Lettre hebdomadaire et bien sûr les liens vers la Lettre précédente qui figurent en bas de chacune des Lettres. Dieu merci, comme disait le cardinal Barbarin, les autres blogs ne semblent pas avoir été affectés. Le nouveau propriétaire de notre serveur, likuid.com, a été avisé. Sa réponse vient de me parvenir. Il propose une restauration au 15 avril. Wait and see. Je ne voudrais pas avoir à recharger les photos des 465 articles du blog « Le journal de Jeff » !
Post-scriptum. La restauration au 15 avril a bien fonctionné. Les publications entre cette date et le 19 avril ont été refaites.
Après avoir attribué la destruction de ma boîte aux lettres en 2017 à un automobiliste ivre, j'ai constaté ce matin que sa remplaçante a été arrachée. La gendarmerie et La Poste ont été informées, mais les gendarmes ont expliqué qu'il était inutile de porter plainte car les coupables resteraient introuvables. Pas d'enquête prévue.
On dirait que quelqu'un m'en veut. Je ne vois pas de quoi. Après la destruction de mon ancienne boîte aux lettres en 2017, que j'avais attribuée à quelque automobiliste éméché, voilà que sa remplaçante a été arrachée de son poteau dans la nuit du lundi 5 au mardi 6 août. L'acte de malveillance est cette fois manifeste. La gendarmerie et La Poste ont été avisées. Deux gendarmes de la brigade de Plouigneau sont passés, ont pris des photos et m'ont rassuré en me disant que ce n'était pas à moi de porter plainte, n'étant pas propriétaire de la boîte, mais que si La Poste voulait porter plainte, cela ne servirait à rien, car l'auteur ou les auteurs du délit serai(en)t introuvabl(e)s. Comme pour les précédentes mésaventures (vol d'une caravane réussi et tentative de vol de sa remplaçante contrariée par des antivols), il n'a pas été envisagé de relever des empreintes. Le mot « enquête » n'a pas été prononcé.
Un mail d'un certain Claude-Alain Saby m'a été envoyé cette semaine grâce au formulaire de contact de mon blog. Il m'apprenait l'existence du site internet patronymesaby.fr (fermé en 2021) entièrement consacré aux Saby et en résumait parfaitement le contenu ainsi que les fonctionnalités : « il y avait beaucoup de documents à lire et télécharger gratuitement. Il était possible de les envoyer directement par mail sur simple demande. Ce site faisait appel à la contribution de tous les porteurs du patronyme notamment sur des histoires, photos, guerres, biographies, etc ». Si patronymesaby.fr faisait la part belle aux Saby du Massif Central et du pays du Velay, point de départ selon lui de l'essaimage dans toute la France des porteurs du nom, il était aussi riche en liens vers des ressources nationales et semblait prêt à recevoir pour s'alimenter la participation de tous les Saby de l'univers !
Site fermé, mais…
Le site patronymesaby a été fermé fin janvier 2021, mais il est possible de demander les documents via ce site (scribe.jimdofree.com) ou sur le 4e onglet à droite de sa page d'accueil. Beaucoup d'informations sont disponibles.
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L'Union locale CGT de Morlaix sait recevoir dans sa Maison du Peuple lors des Journées du patrimoine. Cette année, elle a déniché dans les recoins de ses nombreux bâtiments une collection impressionnante de banderoles, affiches, photos ayant accompagné les manifestations et les actions revendicatives du syndicat dans la région tout au long de son histoire. On les admire dans une salle et autour de la cour intérieure. Dans une autre salle, on retrouve les panneaux de l'exposition sur les immigrés espagnols dans le Finistère et en particulier dans le pays de Morlaix entre 1936 et 1940. Côté cour, trois comédiens du Théâtre de la Corniche qui, comme moi, aiment beaucoup l'endroit nous offrent un brillant récital de chansons sociales. Le spectacle est malicieusement intitulé « Le Juste Cri ». Le programme est établi par les spectateurs invités à faire tourner « La Roue de l'Infortune » sur laquelle chaque numéro correspond à un thème. Arrivée d'une longue tournée en ville (Manufacture des Tabacs, Grand'rue, maison à Pondalès, Mairie…), la chorale morlaisienne A Cappello prend la relève. Son interprétation de « Poor Man Lazarus » est dans le ton : le gospel évoque la parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare.
La deuxième tranche des travaux à la Maison du Peuple inclut une consolidation de l'amour de vieille salle des fêtes pour laquelle – les lecteurs de ce blog le savent – j'ai eu un coup de cœur. La rénovation sera pour plus tard. La souscription semble fermée.
Évangile selon saint-Luc, chapitre 16, versets 19 à 31 : « Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d'ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s'écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu'il trempe le bout de son doigt dans l'eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D'ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire. Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j'ai cinq frères. C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu'ils les écoutent. Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront. Et Abraham lui dit : S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait ». Traduction d'après la Bible par Louis Segond.
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À voir avec des lunettes anaglyphes (verre gauche rouge, verre droit cyan). Garder sur le nez les lunettes à verres correcteurs. Meilleur effet en mode plein écran (touche F11 ou Fn+F11 sur PC Windows).
Le mini zoo privé du propriétaire du logement de Nicolas s'est enrichi de nouveaux animaux. Démais, des alpagas blancs, un daim, d'autres ânes figurent notamment au catalogue. Ainsi qu'un émeu, qui a pris la vedette sur le lama, maintenant confiné dans une parcelle d'arrière-plan. Le camélidé sud-américain, légèrement caractériel, est-il puni ? À moins qu'il boude, peut-être par jalousie. On m'assure qu'il est toujours là mais je n'ai pas réussi à le voir. L'émeu, lui, est laissé en liberté pour s'habituer à son nouveau domicile. Il m'a tout de même donné un coup de bec sur le nez. Il est vrai que je le regardais de près droit dans les yeux ! Il aura pris cela pour de l'insolence. Les nouveaux ânes passent leur journée à se chamailler bruyamment, causant une certaine gêne dans le voisinage. On déplore la disparition du yak, victime d'une crise cardiaque. Voici donc quelques photos animalières. J'espère que papivon ne va pas encore croire me reconnaître.
Pour remplacer ma carte Vitale défectueuse, j’ai besoin de photos d’identité. J’ai voulu les réaliser moi-même, hier. Pour obtenir la lumière uniforme requise, je devais déplacer le lampadaire du séjour dans le hall d’entrée, à un endroit répondant aux exigences légales de ce genre de photo (fond uni de couleur pâle, blanc exclu). J’ai bien débranché ledit lampadaire, mais je n’ai pas vu que son fil d’alimentation était emmêlé avec celui d’une petite lampe de chevet qui me sert de lampe d’ambiance lorsque je regarde la télévision. Adieu la lampe de chevet ! Poursuivant ma route, j’ai cogné la verrerie de la lampe principale du lampadaire contre le chambranle de la porte de séparation du séjour et de l’entrée. Adieu la verrerie ! Cet après-midi, je me suis rendu chez mon commerçant en luminaires préféré. Le lampadaire a retrouvé son aspect d’origine et la lampe de chevet a été remplacée par une consœur de taille et de couleur presque identiques. J’ai peur que cette mésaventure conforte certains dans l’idée que je ne suis vraiment pas une lumière.
Un petit Clovis est arrivé au foyer de Sophie et Loïc. Sur les photos prises dans leur nouvelle maison, transmises par Sophie au fil des mails, on le voit seul ou accompagné de ses parents, de ses frères, Ludovic et Romain, de son arrière-grand-mère, Annette. Apparaissent aussi Laëtitia, Nicolas et Ewan qui sont allés en Alsace, la semaine après Noël et en ont profité pour leur rendre visite.