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Tag: "rénovation"
Pour ceux que j'ai promenés sur l'île Callot (prononcez callote) et qui ont craqué devant cet amour d'ancienne petite école insulaire, avec son minuscule préau, voici un article du Télégramme de ce jour à son sujet.
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dans une présentation différente
L'Union locale CGT de Morlaix sait recevoir dans sa Maison du Peuple lors des Journées du patrimoine. Cette année, elle a déniché dans les recoins de ses nombreux bâtiments une collection impressionnante de banderoles, affiches, photos ayant accompagné les manifestations et les actions revendicatives du syndicat dans la région tout au long de son histoire. On les admire dans une salle et autour de la cour intérieure. Dans une autre salle, on retrouve les panneaux de l'exposition sur les immigrés espagnols dans le Finistère et en particulier dans le pays de Morlaix entre 1936 et 1940.
Côté cour, trois comédiens du Théâtre de la Corniche qui, comme moi, aiment beaucoup l'endroit nous offrent un brillant récital de chansons sociales. Le spectacle est malicieusement intitulé « Le Juste Cri ». Le programme est établi par les spectateurs invités à faire tourner « La Roue de l'Infortune » sur laquelle chaque numéro correspond à un thème.
Arrivée d'une longue tournée en ville (Manufacture des Tabacs, Grand'rue, maison à Pondalès, Mairie…), la chorale morlaisienne A Cappello prend la relève. Son interprétation de « Poor Man Lazarus » est dans le ton : le gospel évoque la parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare.
La deuxième tranche des travaux à la Maison du Peuple inclut une consolidation de l'amour de vieille salle des fêtes pour laquelle – les lecteurs de ce blog le savent – j'ai eu un coup de cœur. La rénovation sera pour plus tard.
La souscription semble fermée.
Côté cour, trois comédiens du Théâtre de la Corniche qui, comme moi, aiment beaucoup l'endroit nous offrent un brillant récital de chansons sociales. Le spectacle est malicieusement intitulé « Le Juste Cri ». Le programme est établi par les spectateurs invités à faire tourner « La Roue de l'Infortune » sur laquelle chaque numéro correspond à un thème.
Arrivée d'une longue tournée en ville (Manufacture des Tabacs, Grand'rue, maison à Pondalès, Mairie…), la chorale morlaisienne A Cappello prend la relève. Son interprétation de « Poor Man Lazarus » est dans le ton : le gospel évoque la parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare.
La deuxième tranche des travaux à la Maison du Peuple inclut une consolidation de l'amour de vieille salle des fêtes pour laquelle – les lecteurs de ce blog le savent – j'ai eu un coup de cœur. La rénovation sera pour plus tard.
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La parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare
Évangile selon saint-Luc, chapitre 16, versets 19 à 31 :
« Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d'ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères.
Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s'écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu'il trempe le bout de son doigt dans l'eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D'ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.
Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j'ai cinq frères. C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu'ils les écoutent. Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront.
Et Abraham lui dit : S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait ».
Traduction d'après la Bible par Louis Segond.
« Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d'ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères.
Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s'écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu'il trempe le bout de son doigt dans l'eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D'ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.
Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j'ai cinq frères. C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu'ils les écoutent. Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux, ils se repentiront.
Et Abraham lui dit : S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait ».
Traduction d'après la Bible par Louis Segond.
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© Photo Jeff SABY. Prise de vue: Samedi 23 août 2014, à 17 h 40. Appareil: Panasonic HDC-SD700. focale: 4 mm (=43 mm en 24x36). Exposition: 1/500e de s, ƒ/2.4. Flash: non
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J'ai déjà dit, après mon premier passage en 2011, combien j'aimais cette propriété. Le plus étonnant quand on visite le domaine des Collettes est qu'on a l'impression que rien n'a changé depuis la disparition de Renoir, ici-même, en 1919.
La maison. Le musée ne ressemble pas à un musée, mais plutôt à la maison du propriétaire qui se visite en son absence momentanée, cuisine, lingerie et salle de bain comprises. Impression accentuée après les travaux de rénovation menés pendant 18 mois en 2012-2013. La billetterie et l'espace commercial ont quitté l'habitation pour se retrouver dans un bâtiment d’accueil flambant neuf. Les pièces ont récupéré une grande partie de leur mobilier d'origine. Parmi elles, deux ateliers d'artiste rappellent qu'on est chez un peintre. Les sculptures, production plus méconnue du maître, ont pris place dans une nouvelle salle, au rez-de-chaussée. Cela m'a permis de ne pas passer à côté, comme l'autre fois, quand la collection, moins complète, était disséminée dans le jardin.
Sauver les oliviers. Renoir avait acheté le domaine des Collettes, une fermette du XVIIIe siècle dans une propriété de trois hectares, pour sauver ses oliviers menacés d'abattage par un horticulteur. Ces arbres multi-centenaires sont toujours là, donnant au visiteur du jardin le sentiment de cheminer hors du temps. Un espace d'une telle beauté, avec la Méditerranée en arrière-plan, qui dégage une telle sérénité, qu'on y resterait des heures à ne rien faire. Sauf à le peindre !
La ferme. La maison a été construite en 1908, peu après l'acquisition du terrain, à l'initiative d'Aline, épouse du maître. Renoir fit faire des travaux dans la ferme toute proche pour qu'elle serve de logement au personnel domestique. Il en profita pour y installer deux autres ateliers d'artiste. Incorrigible ! La ferme des Collettes ne se visite pas actuellement. Une salle audiovisuelle au rez-de-chaussée et un centre de documentation à l'étage sont en projet.
La maison. Le musée ne ressemble pas à un musée, mais plutôt à la maison du propriétaire qui se visite en son absence momentanée, cuisine, lingerie et salle de bain comprises. Impression accentuée après les travaux de rénovation menés pendant 18 mois en 2012-2013. La billetterie et l'espace commercial ont quitté l'habitation pour se retrouver dans un bâtiment d’accueil flambant neuf. Les pièces ont récupéré une grande partie de leur mobilier d'origine. Parmi elles, deux ateliers d'artiste rappellent qu'on est chez un peintre. Les sculptures, production plus méconnue du maître, ont pris place dans une nouvelle salle, au rez-de-chaussée. Cela m'a permis de ne pas passer à côté, comme l'autre fois, quand la collection, moins complète, était disséminée dans le jardin.
Sauver les oliviers. Renoir avait acheté le domaine des Collettes, une fermette du XVIIIe siècle dans une propriété de trois hectares, pour sauver ses oliviers menacés d'abattage par un horticulteur. Ces arbres multi-centenaires sont toujours là, donnant au visiteur du jardin le sentiment de cheminer hors du temps. Un espace d'une telle beauté, avec la Méditerranée en arrière-plan, qui dégage une telle sérénité, qu'on y resterait des heures à ne rien faire. Sauf à le peindre !
La ferme. La maison a été construite en 1908, peu après l'acquisition du terrain, à l'initiative d'Aline, épouse du maître. Renoir fit faire des travaux dans la ferme toute proche pour qu'elle serve de logement au personnel domestique. Il en profita pour y installer deux autres ateliers d'artiste. Incorrigible ! La ferme des Collettes ne se visite pas actuellement. Une salle audiovisuelle au rez-de-chaussée et un centre de documentation à l'étage sont en projet.
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