Soucieux de tenir informés ceux de mes visiteurs que j'ai emmenés sur l'île Callot (prononcez callote), voici un nouvel article puisé dans Le Télégramme de ce jour. On reste étonné que tant de gens se laissent avoir par la route submersible. Dans Le Télégramme d'hier, l’actrice, journaliste, animatrice télé Justine Fraioli, 36 ans, qui passe ses vacances à Carantec depuis la petite enfance, répond à la question Un site naturel ? : « J'aime bien l'île Callot, en face de Carantec. Quand la marée est haute, on ne peut y accéder. Il y a un parfum de danger : on s'y baladait ado mais il fallait avoir les horaires des marées pour ne pas s'y retrouver piégé ».
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À voir avec des lunettes anaglyphes (verre gauche rouge, verre droit cyan). Garder sur le nez les lunettes à verres correcteurs. Meilleur effet en mode plein écran (touche F11 sur PC Windows).
Petit tour habituel à la fnac avec achat d'une imprimante puis promenade pédestre de Bellecour aux Terreaux et retour.
Photo instantanée. Je me range parmi les nostalgiques des polaroids. J'en ai possédé plusieurs de la gamme Vision, celle qui comportait un magasin de réception des photos après la prise de vue. La qualité était médiocre, la taille trop petite (7,3 x 5,4 cm) et le prix des recharges trop élevé. Mais j'aimais penser que l'image de la personne ou du paysage avait vraiment touché la surface du papier. À la fnac de la rue de la République, j'ai vu leur descendant moderne, le Polaroid Z340, un appareil numérique de photo instantanée. J'ai lu sur le net des critiques sévères de l'engin, en particulier sur la qualité de ses images. Son prix et celui de ses recharges sont dissuasifs. Enfin, je suis moins intéressé par sa technologie (numérisation puis impression) qui implique une transformation et le passage par des intermédiaires, à l'instar du négatif dans la photographie argentique. C'est ainsi que j'ai quitté la Fnac après acquisition d'une mini-imprimante Canon Selphy CP910, nettement moins onéreuse, tout comme ses consommables (papier et encre) et qui délivre des photos en 15 par 10 centimètres très convenables. Elle me servira en camping et tant pis pour l'instantanéité !
La promenade. Retour à la voiture, dans le parking souterrain de la place Bellecour, pour le dépôt de mon récent achat. Puis début de ma promenade pédestre par la place susnommée dont je retrouve un aspect moins connu : son flanc sud, avec son bassin et ses pavillons. Cela nous change de la statue de Louis XIV sur fond de Fourvière ! Au début de la rue de la République stationnent des cyclopolitains, des tricycles à assistance électrique pour touristes. Je n'ai encore jamais croisé ces « bestioles ». Passage devant le 73. « Ils » n'ont toujours pas mis de plaque pour signaler que j'ai habité là. Un joli manège, prétendu de 1900, se dresse place de la République. Le Passage de l'Argue, rue commerçante couverte, reste très XIXe siècle. Arrivée, via la rue Thomassin, sur la rue Édouard-Herriot qui m'amène place des Terreaux. Rencontré en chemin une gare à velo'v, ces bicyclettes en libre-service mises en place en 2005, deux ans avant les velib parisiens. On a dépassé 19 h. Il est temps de rentrer. Retour à Bellecour par la rue de Brest, la place des Cordeliers et la rue Émile-Zola. Plein les jambes !
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Deuxième journée pleine du séjour automnal de mes Alsaciennes en Bretagne. J'ai fait une belle rencontre et nous avons pris l'air au Dossen et à Roscoff.
Laurette et Antonio. Crik a connu Laurette et Antonio lors d'un récent voyage en Sicile. Ce matin, elle a téléphoné à ses nouveaux amis qui habitent à moins de 40 km de chez moi, en pays léonard. C'est ainsi qu'après une brève escale à Saint-Pol-de-Léon, nous nous sommes retrouvés chez eux pour le repas de midi. Pour moi, une rencontre de deux belles personnes qui pourrait me faire croire au destin. La décoration de leur maison ancienne et l'aménagement de leur jardin, en grande partie réalisés par eux, révèlent un couple d'artistes. Je n'ai pas pu y trouver quelque chose de moche. Artistes aussi par leur mépris du temps qui passe (nous avons mis les pieds sous la table vers 14 h) qui fait qu'en leur compagnie on ne le sent pas passer.
Grosse mer au Dossen. L'après-midi, nos hôtes nous ont convoyés vers deux lieux de promenade. Sur le rebord des dunes du Dossen, en Santec, Denise, confrontée à sa première grande marée bretonne, a eu peur de la chute.
Roscoff : église et Vieux port. À Roscoff, l'église Notre-Dame de Croaz-Baz a reçu notre visite, puis notre déambulation dans la cité corsaire nous a conduits au bout de la jetée fortifiée du Vieux port.
Chiens étonnés. Et toute cette belle journée, les chiens de Crik, qui vivent dans la montagne vosgienne, sont allés de découverte en découverte.
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Stationner à Haut-de-Cagnes l'été est problématique. Pour cette visite, j'ai garé la voiture en bas, près de la gare routière, dans l'intention de prendre la navette gratuite. Pas de navette en vue. J'ai donc grimpé à pied. Pour les souvenirs liés à cette promenade, on se reportera à l'article de 2011 « Retour à Haut-de-Cagnes ». Les rappeler ici relèverait du radotage.
Souvenir de treille. Après cette longue balade, je me suis attablé au restaurant « Le Manoir » pour dîner. Nous y déjeunions le lendemain du voyage. Mon père avait sympathisé avec les propriétaires d'alors. La terrasse était sous une treille. Aujourd'hui, elle est recouverte par un toit en dur. Le propriétaire actuel voudrait redonner à l'endroit son cachet d'autrefois. Mais il se heurte aux tracasseries de l'architecte des Bâtiments de France. Un comble ! Pour redescendre, j'ai pris la navette gratuite.
Morlaix a soufflé aujourd'hui les 150 bougies de son réputé viaduc. La célébration s'est terminée en beauté par un son et lumière époustouflant.
Dans le vieux Morlaix sous la pluie. À partir de 14 h 30, j'ai suivi la balade proposée par Le pays d'Art et d'Histoire et Morlaix-Communauté sur le thème « Saint-Martin, du faubourg médiéval au quartier de la gare ». Le rassemblement s'est fait dans le hall de la mairie pour cause d'intempéries. La déambulation s'est poursuivie sous une pluie quasiment ininterrompue. Entre le parapluie et l'appareil photo, il m'a fallu choisir, car je ne suis pas suffisamment habile pour manipuler les deux en même temps. Le guide-conférencier, Henri Bideau, a donné d'une voix claire et forte des explications très intéressantes. On a peine à croire que l'étroite et pentue rue Longue a été autrefois l'artère principale de l'arrivée au centre-ville. Nous sommes passés par des venelles escarpées où je n'avais jamais mis les pieds, notamment la venelle de la Roche qui passe devant l'entrée du premier étage du viaduc avant de rejoindre le rez-de-chaussée de la ville.
Conférence à la mairie. À l'instar d'une correspondance entre deux trains réussie par la SNCF, la conférence de Jean-Pierre Euzen sur l'arrivée du chemin de fer à Morlaix a débuté peu de temps après notre retour à la mairie.
Le viaduc en lumière. Après quelques courses dans un hypermarché local et un dîner dans la cafétéria attenante, je me suis retrouvé sur la place De Gaulle, où les spectateurs affluaient en masse. Le son et lumière de 25 mn concocté en collaboration avec le roi du laser, Loïc Lacoste, a été magistral, même si une pluie fine intermittente a pu perturber quelques effets. Le commentaire était dit par Patrik Ewen, un conteur et un chanteur très connu en Bretagne (déja évoqué ici).