Le mercredi 15 novembre 2017, mon toit s'est fait démousser par un puissant jet d'eau. Cinq mois plus tard, ce mardi 17 avril 2018, après plusieurs reports pour cause de météo défavorable (temps sec exigé), mon toit a reçu son fond de teint, entendez sa résine colorée d'un gris semblable à celui du portail (remarquable élégance !).
Installé à Pannecé, en Loire-Atlantique, à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Nantes, Ludovic Pecoraro officie dans le quart nord-ouest de l'Hexagone. Il est environ 14 h. Il part s'occuper d'une façade à Saint-Pol-de-Léon, puis il prendra la route pour les Yvelines, en région parisienne. Une journée bien remplie !
On sera complet sur le chapitre de mon toit quand on aura signalé que quatre chatières d'aération, deux par versant, ont été installées par le Centre de l'Habitat Français, le mercredi 13 décembre 2017. C'est parait-il une obligation légale. La facture de 2 400 euros a été réglée sur le champ. La consultation ultérieure de sites internet me donne l'impression de m'être fait arnaquer, même dans le cas particulier des chatières de toiture pour VMC.
► L'article du 30/09/2013 sur Ouest-France après la création de Démouss'toit
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