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Je ne sais pas quelle était la force du vent hier soir. J'en ai connu de plus violents, il me semble. Celui-là a pourtant abattu un arbre. Il est vrai que le malheureux ne disposait sans doute pas de la vitalité nécessaire, étant étouffé par le lierre. Chez moi, le lierre est envahissant. Il avait même failli entrer dans la maison par le toit. Une entreprise avait libéré la bâtisse de son emprise. J'ai le remord de ne pas m'être assez occupé de mon arbre, mais comment m'occuper de tous mes arbres quand les journées ne durent que 24 heures ?
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Ce matin, vers 11 h, j'aperçois de la fenêtre de ma cuisine un monsieur des services de l'Equipement (ou d'ERDF ou d'Orange), revêtu du joli gilet jaune griffé Karl Lagerfeld, en train de photographier ma route. Craignant qu'une branche de chez moi soit tombée sur la chaussée, après une nuit ventée façon tempête, je profite de ma corvée poubelles pour m'approcher des lieux. Le monsieur est dans sa voiture, garée plus loin, en train de rédiger son rapport, je présume.
Hypothèses. Quand il repart, il passe devant moi, qui revient des poubelles, et nous conversons. Il dit qu'il a été alerté par un voisin, que ce n'est peut-être pas le fait de plaisantins et que cela a pu se produire au passage d'un camion. Je ne crois pas à cette version. Je n'imagine pas un camion d'une telle hauteur, chargé à ras bord et à ciel ouvert, de chaussures joliment liées entre elles par leurs lacets. Sauf à considérer qu'elle m'est destinée, ces deux lignes, l'électrique et la téléphonique, étant celles qui alimentent ma demeure, je ne crois pas que la farce puisse faire le buzz en pleine campagne. Reste la possibilité improbable que le vent ait trouvé ce chapelet au seuil d'une maison et qu'il l'ait transporté là pour rigoler. Facétieux, le vent !
Une explication à laquelle j'adhère est fournie par Guy. Voyez son commentaire. Il envoie sur wikipédia qui nous apprend que la mode du lancer de chaussures nous vient des États-Unis. Je ne croyais pas ma campagne reculée tant à la pointe du progrès ! À la pointure, devrais-je dire.
Après un retour à La Forêt-Fouesnant l'an dernier, qui ne nous a pas laissé un excellent souvenir, nous sommes donc revenus à Saint-Guénolé. Le camping Le Domaine de la Joie présente une piscine plus modeste et je ne suis pas attiré par son mini-golf, mais la région environnante offre plus de choses à visiter. Moyennant quoi nous ne visiterons que ce que nous connaissons déjà beaucoup : à savoir le port et le marché du vendredi de Saint-Guénolé, la promenade du camping à Saint-Pierre en passant par la chapelle ND de la Joie, un petit tour à Kérity et la sempiternelle pointe de la Torche, toutes choses maintes fois évoquées dans ce blog. Arrivés le samedi 3 août, nous avons eu dès le lendemain la visite de Nicolas, Ewan et Arno. Ils ont monté leur tente sur mon emplacement. Le soir nous avons mangé tous les quatre (tonton et tata n'avaient pas souhaité nous accompagner) au restaurant Ar Krugen. Le matin qui a suivi était trop pluvieux et venteux pour que mes invités assouvissent leur envie de piscine. Pire : après le repas de midi à la nouvelle saladerie-crêperie La Glacière (service à toute heure, sans réservation), ils ont décidé de plier bagage. Il était plus difficile que les autres années de réserver, le week-end, une table aux Ondines, le restaurant gastronomique proche du camping, dont nous aimons la forme des assiettes ! Nous avons enfin pu nous y asseoir le lundi 12 août.