Gros vacarme dans le jardin, le mardi 14 septembre 2021 vers 17 h. Je me précipite dehors et je constate que mon hêtre tricentenaire a perdu de grosses branches qui gisent derrière mes voitures, leur barrant le chemin vers le portail. En cas d'urgence, je suis mal. Et de l'urgence, il aurait pu y en avoir si la catastrophe s'était produite une heure plus tôt, au moment où je vais chercher le courrier à la boîte en bord de route. Au pire, je vous regarderais de Là-Haut maintenant.
Pas de dégâts sur les véhicules, juste une petite éraflure en haut du hayon du Grand C4 Picasso.
C'est le quatrième événement du genre dans le jardin, sans compter les branchettes éparpillées sur le sol après chaque tempête. Fin avril 2014, un ex-sapin de Noël s'était effondré derrière la caravane qui devait être volée par la suite, lui infligeant seulement un léger cabossage à l'arrière du toit. En janvier 2015, un peuplier a lâché une de ses plus belles branches sur la terrasse. En novembre 2017, un autre sapin tombait, sans la toucher, derrière la nouvelle caravane qui avait subi au mois d'août précédent une tentative de vol contrariée par les antivols dont je l'avais équipée. Bref, mes engins sur roues et les personnes qui déjeunent sur la terrasse ne vivent pas une vie sereine à Kéradennec.
Un mot sur l'entreprise Bogey, de Saint-Pol-de-Léon. Tout à ma panique de ne pouvoir sortir en cas d'urgence et du fait qu'on m'annonçait deux à trois jours de travaux et de nombreux camions pour le ramassage, dont le dépôt en déchetterie est payant au poids pour les professionnels (ce que j'ignorais), j'ai signé un devis de 5 000 euros. La nuit qui porte conseil m'a dit que c'était exorbitant, compte tenu que peu après 16 h la voie était dégagée et la zone ratissée.
Le matin vers 11 h, M. Bogey rangeait sa tronçonneuse après avoir coupé un autre arbre penché en lisière du bois qui, selon lui, menaçait ruine. J'obtenais un rabais de 1 000 euros en faisant valoir que le temps de travail était moins de la moitié du temps prévu, que les ramassages de l'arbre menaçant et du sapin de 2017, où il était déjà intervenu, n'ont pas été réalisés, bien que payés. Pas certain d'être arrivé au juste prix.
La prochaine fois, à Dieu ne plaise, j'appellerai quelqu'un d'autre.
Pas de dégâts sur les véhicules, juste une petite éraflure en haut du hayon du Grand C4 Picasso.
C'est le quatrième événement du genre dans le jardin, sans compter les branchettes éparpillées sur le sol après chaque tempête. Fin avril 2014, un ex-sapin de Noël s'était effondré derrière la caravane qui devait être volée par la suite, lui infligeant seulement un léger cabossage à l'arrière du toit. En janvier 2015, un peuplier a lâché une de ses plus belles branches sur la terrasse. En novembre 2017, un autre sapin tombait, sans la toucher, derrière la nouvelle caravane qui avait subi au mois d'août précédent une tentative de vol contrariée par les antivols dont je l'avais équipée. Bref, mes engins sur roues et les personnes qui déjeunent sur la terrasse ne vivent pas une vie sereine à Kéradennec.
Un mot sur l'entreprise Bogey, de Saint-Pol-de-Léon. Tout à ma panique de ne pouvoir sortir en cas d'urgence et du fait qu'on m'annonçait deux à trois jours de travaux et de nombreux camions pour le ramassage, dont le dépôt en déchetterie est payant au poids pour les professionnels (ce que j'ignorais), j'ai signé un devis de 5 000 euros. La nuit qui porte conseil m'a dit que c'était exorbitant, compte tenu que peu après 16 h la voie était dégagée et la zone ratissée.
Le matin vers 11 h, M. Bogey rangeait sa tronçonneuse après avoir coupé un autre arbre penché en lisière du bois qui, selon lui, menaçait ruine. J'obtenais un rabais de 1 000 euros en faisant valoir que le temps de travail était moins de la moitié du temps prévu, que les ramassages de l'arbre menaçant et du sapin de 2017, où il était déjà intervenu, n'ont pas été réalisés, bien que payés. Pas certain d'être arrivé au juste prix.
La prochaine fois, à Dieu ne plaise, j'appellerai quelqu'un d'autre.
vues |