Protesters walk along the Seine river during a rally against medias in the French capital Paris, on the 24th consecutive Saturday of demonstrations called by the 'Yellow Vest' (gilets jaunes) anti-government movement on April 27, 2019. Demonstrators are expected to protest on French city streets again for a 24th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." France's finance minister promised on April 26, 2019, that some 15 million households would benefit from tax cuts announced by President Emmanuel Macron, but the move did little to calm tempers among "yellow vest" protesters.
Prise de vue: Samedi 27 avril 2019, à 12 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -2/3. Flash: non
C’est l’un des chiffres les plus bas depuis le début du mouvement social en novembre 2018. Pour leur 24e journée de mobilisation, organisée samedi 27 avril, 48 heures après les annonces d’Emmanuel Macron en réponse à la crise sociale et quatre jours avant le défilé du 1er-Mai, 23 600 « gilets jaunes » ont manifesté dans toute la France, dont 2 600 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Les « gilets jaunes » ont pour leur part comptabilisé « 60 132 manifestants minimum », selon un décompte provisoire. La semaine précédente, le 20 avril, le ministère avait comptabilisé 27 900 manifestants, dont 9 000 dans la capitale. Il faut remonter au 6 avril pour obtenir le chiffre le plus bas : 22 300 personnes s’étaient alors mobilisées. Environ 2 000 « gilets jaunes » étaient présents à Paris pour opposer une « riposte générale » au gouvernement et au Medef, auxquels se sont mêlés 3 500 gilets rouges de la CGT. De leur côté, environ 600 « gilets jaunes » ont manifesté devant le siège de plusieurs grands médias, pour réclamer « un traitement médiatique impartial » de leur mouvement social. Selon la préfecture de police de Paris, 8 920 contrôles préventifs ont été effectués et 11 personnes ont été interpellées dans la capitale. Source : www.francetvinfo.fr
Pour la deuxième année consécutive, les syndicats ont célébré le 1er mai dans la désunion : la CGT et FO défilant ensemble jeudi 1er mai 2014 à Paris contre la politique du gouvernement Valls tandis que la CFDT et l’Unsa se rassemblaient dans la capitale sous le signe de l’Europe. Après cinq années de défilés unitaires sous la présidence de Nicolas Sarkozy, la CGT et la CFDT avaient déjà célébré la Fête du Travail chacune de leur côté l’année dernière. A la mi-avril, le secrétaire général de la CGT Thierry Lepaon avait pourtant appelé les organisations syndicales à se rassembler. Une main tendue repoussée par le numéro un de la CFDT Laurent Berger : « On n’a pas d’objectifs communs à partager », « nous ne pratiquons pas tout à fait le même type de syndicalisme », lui avait-t-il répondu.
Bobigny : marche blanche pour Melisa Plus de 500 personnes se sont rassemblées dimanche 16 février à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, pour rendre hommage à Melisa, fillette bulgare de huit ans morte mercredi dans l’incendie d’un important camp de Roms…
« Résistance républicaine » défile dans Paris L’association « Résistance républicaine » a célébré l’anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 en défilant entre la place Denfert-Rochereau et la place d’Italie, à Paris, le 8 décembre 2013…
Les militants et leaders frontistes ont défilé en mémoire de Jeanne d’Arc entre la place du Palais Royal et celle de l’Opéra à Paris, le 1er mai 2014. Étaient notamment présents : Marine Le Pen, Marion Maréchal-Le Pen, Yves Collard, Wallerand de Saint Just, Florian Philippot.
A l’occasion de la Fête du travail, le Front national a tenu un meeting place de l’Opéra à Paris, le 1er mai 2014. L’ancien président du FN, Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine Le Pen, actuelle présidente du parti se sont exprimés à l’issue du défilé du 1er-mai. Les cadres du parti étaient également présents Florian Philippot, Louis Aliot, Aymeric Chauprade ainsi que les nouveaux maires du Front national : Stéphane Ravier, Robert Ménard, David Rachline, Steeve Briois, Cyril Nauth, Julien Sanchez, Franck Briffaut, Philippe de la Grange, Marc-Etienne Lansade, Fabien Engelmann, Joris Hebrard. Une Femen a tenté de perturber le rassemblement mais a été maîtrisée par le service de sécurité.