EXTRAIT : 238 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé dans le calme, le samedi 5 mai 2018, entre l’Opéra et la Bastille à Paris pour faire « La fête à Macron ». Un calme seulement rompu par une échauffourée place de la Bastille.
La manifestation a été voulue et organisée par le médiatique député de la Somme François Ruffin, rattaché au groupe parlementaire de la France insoumise, pour dénoncer la politique du chef de l’État « et de son monde ». Tous voulaient participer à un « pot-au-feu » de luttes, soucieux de dépasser les seules mobilisations des cheminots ou des étudiants.
L’image neutre de Ruffin, militant du terrain, a permis de passer outre les divergences politiques au sein de la gauche radicale en vue de la mobilisation.
Mais c’est Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, qui a largement repris le mouvement au fil de la journée…
Selon les souhaits des organisateurs, les politiques devaient rester en queue du cortège, à distance, donc, du carré de tête, « le carré des luttes », réservé aux syndicats…
Mais au final, le grand bus à plate-forme de La France insoumise ne s’est pas retrouvé bien loin du carré de tête.
C’est du haut de ce bus que le député de Marseille a pris la parole à 15 heures, dans une sorte de discours officiel. Une parole reprise à son arrivée place de la Bastille, deux heures plus tard.
La manifestation a été voulue et organisée par le médiatique député de la Somme François Ruffin, rattaché au groupe parlementaire de la France insoumise, pour dénoncer la politique du chef de l’État « et de son monde ». Tous voulaient participer à un « pot-au-feu » de luttes, soucieux de dépasser les seules mobilisations des cheminots ou des étudiants.
L’image neutre de Ruffin, militant du terrain, a permis de passer outre les divergences politiques au sein de la gauche radicale en vue de la mobilisation.
Mais c’est Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, qui a largement repris le mouvement au fil de la journée…
Selon les souhaits des organisateurs, les politiques devaient rester en queue du cortège, à distance, donc, du carré de tête, « le carré des luttes », réservé aux syndicats…
Mais au final, le grand bus à plate-forme de La France insoumise ne s’est pas retrouvé bien loin du carré de tête.
C’est du haut de ce bus que le député de Marseille a pris la parole à 15 heures, dans une sorte de discours officiel. Une parole reprise à son arrivée place de la Bastille, deux heures plus tard.
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