The public carrying placards and portraits of hostages held by Hamas attend a ceremony to pay tribute to the 42 French citizens killed and to all the victims of the Hamas assault on Israel last October 7, four months after the attacks, as the conflict between Israel and Palestinian Islamist group Hamas continues in the Gaza enclave, in the courtyard of the Hotel des Invalides in Paris on February 7, 2024. The ceremony pays tribute to the French and French-Israeli citizens killed in the attack on Israel by Hamas and the three others still missing, believed to be held hostage.
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Quatre mois après les attaques terroristes tragiques du Hamas en Israël, une cérémonie en hommage aux victimes françaises avait lieu aux Invalides le 7 février 2024. De nombreuses figures politiques avaient fait le déplacement et certains d’entre elles, notamment appartenant à La France Insoumise, ont reçu un accueil particulièrement houleux de la part de la foule présente. À l’Intérieur de la Cour des Invalides, l’ambiance était beaucoup plus solennelle avec quarante-deux portraits des français tués par le Hamas tenus par des gardes républicain, leurs familles présentes et un discours d’Emmanuel Macron.
A woman carries a cloth representing a dead child during a demonstration in support to Palestinians, at the entrance to the Forum des Halles in central Paris on October 28, 2023. Paris administrative court validated on October 28, 2023, a prefectoral ban on a demonstation in support to the Palestinians, notably due to the "gravity of the risks of troubling public order".
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Des milliers de personnes participaient ce samedi 28 octobre 2023 après-midi à Paris, dans le calme, à un rassemblement « de soutien au peuple palestinien », interdit par les autorités, aux cris notamment de « Gaza, Gaza, Paris est avec toi ». Place du Châtelet, en plein centre de la capitale, la foule a été empêchée de se mettre en mouvement par un très important dispositif policier. Parmi les manifestants figuraient des élus ceints de leur écharpe tricolore, tels le député écologiste du Val-d’Oise Aurélien Taché et le député LFI de Seine-Saint-Denis Jérôme Legavre. Le tribunal administratif avait validé ce samedi l’interdiction préfectorale de la manifestation en soutien au peuple palestinien, convoquée dès 14 h 30 à Paris, notamment au regard de « la gravité de risques de troubles à l’ordre public ». Dans un communiqué, le tribunal a fait valoir qu’il ne suspendait pas l’arrêté qui l’interdit, « au regard notamment du contexte de tensions exacerbées liées au conflit israélo-palestinien et des conditions de déroulement de cette manifestation ». « La manifestation en litige intervient dans un contexte de tensions exacerbées lié aux événements dans la bande de Gaza avec une montée, en France, des actes antisémites », a-t-il argué. Saisi en urgence, le juge des référés a ainsi rejeté les requêtes de quatorze associations et particuliers qui contestaient cette interdiction au nom de la liberté d’expression et de la liberté de réunion. « Au regard de la réalité et de la gravité de risques de troubles à l’ordre public, et alors qu’une mesure moins restrictive ne pouvait être mise en œuvre, c’est sans porter, en l’espèce, une atteinte manifestement illégale à la liberté de manifester et d’expression que le préfet de police a prononcé l’interdiction de manifester à Paris », conclut le juge dans son ordonnance consultée par l’AFP. « Le rassemblement projeté peut présenter un risque particulier sérieux de violences, à l’encontre d’autres groupes ou des forces de l’ordre et de dégradations de biens », a estimé le juge des référés. Notamment car à la différence des rassemblements des 19, 22 et 24 octobre 2023, celui-ci est « déambulatoire, et non statique », passant par « les quartiers du Marais et du Sentier où est implantée une communauté juive importante et sont installés notamment des lieux cultuels et culturels juifs », a-t-il relevé dans son communiqué. Il considère par ailleurs que la sécurité publique ne pourrait être garantie, les forces de police étant « fortement mobilisées » en marge de la finale de la Coupe de monde de rugby, « drainant des milliers de supporteurs » à Paris et dans sa banlieue, selon l’ordonnance. Organisée par le collectif Urgence Palestine, cette manifestation en soutien au peuple palestinien avait été interdite jeudi par le préfet de police de Paris Laurent Nuñez, pour risque de trouble à l’ordre public. « Il s’agit d’une décision révoltante, qui entérine des risques de troubles à l’ordre public que rien n’étaye au vu du déroulement des précédentes manifestations des 19, 22 et 24 octobre », a réagi Me Vincent Brenghart, l’un des avocats des associations requérantes. Source.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées lundi 9 octobre 2023 en soirée à Paris en soutien à Israël, deux jours après l’offensive du Hamas lancée samedi à l’aube en plein Shabbat, le repos hebdomadaire juif, 50 ans et un jour après le début de la guerre israélo-arabe de 1973. Une dizaine de rassemblements étaient prévus dans l’Hexagone, et la Tour Eiffel et l’Assemblée nationale ont été illuminées dans la soirée aux couleurs du drapeau d’Israël. Pusieurs personnalités politiques étaient présentes au rassemblement parisien, à l’appel notamment du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) : la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, le porte-parole du gouvernement et ministre délégué chargé du Renouveau démocratique Olivier Véran, le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini, les présidents des régions Ile-de-France Valérie Pécresse, Hauts-de-France Xavier Bertrand, et Rhône-Alpes-Auvergne Laurent Wauquiez. L’ancien président de la République Nicolas Sarkozy et sa femme Carla Bruni étaient présents, ainsi que le président du parti LR Eric Ciotti. En tête du cortège, les manifestants portaient une banderole sur laquelle était inscrit “Terrorisme, ici, là-bas, même combat, soutien à Israël”. Certains manifestants étaient drapés dans un drapeau israélien, d’autres brandissaient un panneau “Solidaires avec Israël contre le terrorisme”. Source.
Le Collectif Cheikh Yassine (CCY) avait annoncé une grande manifestation à Paris, Place Saint-Michel, le samedi 29 décembre 2012, l’objectif officiel de la manifestation étant de soutenir « les grévistes de la faim palestiniens ». Ce collectif – nommé d’après le fondateur et guide religieux du Hamas éliminé par l’armée israélienne en 2004 – est une association française Loi 1901, de tendance islamiste radicale. Son président, qui animait la manifestation, est Abdelhakim Sefrioui, militant islamiste actif en région parisienne depuis la fin des années 1980 et membre de l’éphémère Conseil des imams de France. Bien que l’un des manifestants ait exhibé devant les photographes une déclaration de manifestation, celle-ci a de fait été interdite par les forces de l’ordre présentes en force. Les quelque manifestants ont été interpellés et conduits au commissariat de l’avenue du Maine, dans le 14e arrondissement.