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EXTRAIT : 247 mots. Le rendez-vous des Gilets jaunes avec Edouard Philippe a tourné court vendredi 30 novembre 2018 après-midi.
Deux membres du mouvement seulement ont accepté de se rendre à Matignon et l’un d’entre eux a presque aussitôt quitté la réunion. « Je souhaitais et j’ai demandé à plusieurs reprises à ce que cet entretien soit filmé et retransmis en direct à la télévision, cela a été refusé », a déclaré à la presse Jason Herbert, l’un des huit représentants désignés – mais contestés – pour justifier son départ rapide. Le jeune homme était arrivé à Matignon vers 14 h 30, une demi-heure après l’horaire prévu, dans une cour restée longtemps vide du moindre Gilet jaune.(…)
« Aujourd’hui, nous ne sommes que deux, nous avons tous reçu d’énormes pressions. Je parle de menaces d’agression, verbales ou physiques, notre vie est en jeu », a affirmé Jason Herbert, l’un des meneurs du mouvement en Charente.
Le second Gilet jaune reçu par Edouard Philippe et le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, est arrivé par une porte dérobée, sans passer devant la presse.
Ni Matignon ni Jason Herbert n’ont voulu révéler son identité. Les pressions « ont été à 99% de la part d’autres Gilets jaunes […] pas des personnes pacifiques, des personnes radicales », a indiqué Jason Herbert.
Deux membres du mouvement seulement ont accepté de se rendre à Matignon et l’un d’entre eux a presque aussitôt quitté la réunion. « Je souhaitais et j’ai demandé à plusieurs reprises à ce que cet entretien soit filmé et retransmis en direct à la télévision, cela a été refusé », a déclaré à la presse Jason Herbert, l’un des huit représentants désignés – mais contestés – pour justifier son départ rapide. Le jeune homme était arrivé à Matignon vers 14 h 30, une demi-heure après l’horaire prévu, dans une cour restée longtemps vide du moindre Gilet jaune.(…)
« Aujourd’hui, nous ne sommes que deux, nous avons tous reçu d’énormes pressions. Je parle de menaces d’agression, verbales ou physiques, notre vie est en jeu », a affirmé Jason Herbert, l’un des meneurs du mouvement en Charente.
Le second Gilet jaune reçu par Edouard Philippe et le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, est arrivé par une porte dérobée, sans passer devant la presse.
Ni Matignon ni Jason Herbert n’ont voulu révéler son identité. Les pressions « ont été à 99% de la part d’autres Gilets jaunes […] pas des personnes pacifiques, des personnes radicales », a indiqué Jason Herbert.
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