Résumé : 248 mots. Le député de La France insoumise Alexis Corbière assure qu’il a été pris à partie en marge du « parcours déclaré » des Gilets jaunes à Bastille à Paris, samedi 16 novembre 2019, à l’occasion de « l’acte 53 » du mouvement. Dans une vidéo publiée avec son tweet, on peut voir le député très énervé reprocher aux policiers leur comportement.
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
Selon lui, les CRS l’ont « d’abord bousculé », avant d’utiliser « du gaz lacrymo ». La vidéo, qui dure 23 secondes, s’arrête alors qu’un CRS demande à la personne en train de filmer de reculer. On ne voit pas les CRS s’en prendre à lui physiquement ou faire usage de gaz lacrymogène dans les images qui circulent (à l’exception de celles diffusées dans cet article – NDLR). Dans la foulée, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, lui a apporté son soutien à sa façon. « C’est cette milice qui provoque le désordre », a lancé sur Twitter l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Il va donc plus loin qu’Alexis Corbière en accusant les forces de l’ordre de l’avoir « frappé », alors que ce dernier n’en fait pas état dans son tweet initial.
Samedi en fin d’après-midi, la préfecture de police n’avait pas répondu aux accusations d’Alexis Corbière et de Jean-Luc Mélenchon, alors que des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu tout l’après-midi place d’Italie à Paris. Source
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