Picture taken on October 30, 2019, during the 10th edition of the Paris Games Week, a video game show in France organized by the S.E.L.L. (Union of Publishers of Leisure Software). Ranked in the top 3 international video gaming shows, this annual event welcomed 316,000 visitors in 2018 and is a showcase for the video game industry. Builders, editors, studios and props gather to present end-of-year novelties, 2020 games in preview, technological innovations like new consoles and virtual reality, and Esport competitions.
Prise de vue: Mercredi 30 octobre 2019, à 11 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 11-24mm f/4L USM; focale: 12 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/60 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 204 mots Plus de 300.000 personnes sont attendues à la Paris Games Week 2019, à Paris Expo Porte de Versailles du 30 octobre au 3 novembre 2019. LE salon français du jeu vidéo occupe l’équivalent de 12 terrains de foot pour un week-end rempli de tests de jeux, rencontres avec des concepteurs et des animations pour les joueurs et les joueuses de tous les âges. La plupart du temps, l’Esport ce sont des compétitions de jeux vidéo où s’affrontent les meilleurs joueurs de la planète lors de parties filmées et commentées en direct dans des arènes pleines à craquer. Toutes les générations sont présentes dans les stades pour les compétitions de Esport. L’âge moyen du joueur de jeu vidéo en France, c’est 40 ans. La France se situe au 3e rang mondial du jeu vidéo, juste derrière les États-Unis et le Japon avec Ubisoft, « une petite entreprise » créée en 1986 par 5 frères à Carentoir dans le Morbihan, qui a depuis vendu des centaines de millions de jeux dans le monde. Et chez les joueurs, ceux qu’on appelle les gamers, la France est aussi bien représentée avec la team Vitality, 4e mondiale, équipe cofondée par Fabien Devide. Source.
Supporters of the Turkish National Soccer Team are waiting to enter the Stade de France in Saint-Denis, suburb of Paris on October 14, 2019, for the Group H qualification football match between France and Turkey, despite tensions between the two countries. Wednesday's release by Turkish President Recep Tayyip Erdogan of a military operation against a Kurdish militia in Syria sparked an international outcry. France has denounced a "unilateral offensive" and suspended its arms sales to Turkey. And in Paris, several demonstrations in support of the Kurds of Syria have already taken place this weekend.
Prise de vue: Lundi 14 octobre 2019, à 17 h 09. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/7.1, ISO 1600, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 348 mots. Ils n’ont pas arrêté, pas une seconde, de chanter, danser, d’exhiber leur drapeau et leurs couleurs, rouge et blanche, dès la fin de l’après-midi, aux abords du Stade de France. Sans baisser de volume, ni se lasser d’arpenter, sous un grand drapeau turc, la rue Jules-Rimet, dans un flux et reflux aussi entêtant que les chansons de Tarkan et de Fatih Bulut que les enceintes ont crachées durant des heures. Au contraire, l’espace se libérant devant le café brasserie Le Rendez-vous, en face de la Porte B du SDF, les supporters ont pu esquisser des pas de danse, loin d’un contexte géopolitique lourd avec l’intervention militaire turque en Syrie, dans une zone principalement peuplée de Kurdes. Que tous avaient en tête mais qu’ils ne souhaitaient pas voir parasiter la rencontre : « On est venus de partout de Belgique, de France, de Strasbourg, de Lyon… On est fiers de notre équipe mais on ne cherche pas la bagarre, on est juste venu assister à cette finale du groupe. Bien sûr que le Stade va être turc mais il n’y aura pas débordement. Et je pense même que la Marseillaise ne sera pas sifflée », assurait Serkan Avci, chauffeur VTC de 29 ans. Osman, Franco-turc de 21 ans et gérant dans le BTP à Reims, cherchait, lui aussi, à dédramatiser le contexte autour de la rencontre : « Vous le voyez, l’ambiance est gentille, tout le monde chante, danse. ». Sa position sur Erdogan et l’intervention militaire ? « Il y a ce que disent les médias turcs et ce que disent les médias français. Pour ces derniers, Erdogan attaque les Kurdes alors qu’il ne fait qu’attaquer le PKK, qui est un mouvement terroriste. Erdogan ne fait que nettoyer notre frontière. Mais les Kurdes, eux, sont nos frères. Mon meilleur ami est kurde, il est même pro-PKK alors que je suis pro Erdogan mais il sait que je serai toujours là pour lui et lui pour moi ». Source
Paris n’a plus qu’un concurrent dans la course à l’organisation des Jeux olympiques (JO) 2024, la ville de Los Angeles. Quelques heures seulement après avoir quitté Los Angeles, la commission d‘évaluation du Comité international olympique (CIO) est arrivée à Paris, samedi 13 mai 2017 en début d’après-midi, pour une visite jusqu‘à mardi afin d‘étudier la candidature parisienne à l’organisation des jeux Olympiques en 2024.
Le président élu Emmanuel Macron, dont l’investiture aura lieu dimanche au premier jour de la visite, a fait savoir son intention de rencontrer les membres du CIO au cours des trois jours. Des adversaires à la candidature de Paris pour les Jeux olympiques de 2024 se sont réunis le 13 mai 2017 place du Châtelet, pour dénoncer pêle-mêle un coût démesuré, une logique de sport-business et un saccage écologique.
People hold banners and signs during a protest in Paris on May 13, 2017 against Paris 2014 Olympics candidacy.
Quelques mois avant les championnats d’Europe à Vienne (Autriche), du 30 mai au 2 juin 2013, et avant les championnats du Monde à Kiev (Ukraine), du 28 août au 2 septembre 2013, les 27èmes Internationaux de gymnastique rythmique de Thiais (Val de Marne) ont réuni l’élite de cette discipline, parmi lesquelles 28 individuelles et 11 ensembles. Après les Jeux Olympiques de Londres 2012, c’était aussi la première année du cycle olympique qui commence et le public français a pu découvrir, du 30 au 31 mars 2013, la nouvelle génération des gymnastes de l’équipe de France. L’ensemble France nouvellement constitué et très motivé, toujours dirigé par Adriana Dunavska, s’entraîne à raison de 35 heures par semaine à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep) nourri par une même ambition : atteindre les qualifications des Jeux olympiques de Rio, au Brésil, en 2016.
Pour sa quatrième édition, le meeting d’athlétisme organisé par les Furets d’Eiffage le 10 novembre 2012 à Eaubonne (Val d’Oise) affichait complet. Près de 800 athlètes étaient en effet inscrits à cette compétition qui se déroulait dans le superbe stade couvert des installations du Centre départemental de formation et d’animation sportives (CDFAS) du Val-d’Oise. Un meeting en salle, ouvert à tous : élites de cadets à vétérans, sport en entreprise, handisport.