C’est aujourd’hui Elèna qui a mouillé la chemise pour nous dégoter le sujet de ce Mot du Jour.
Martine Aubry se dit "extrêmement choquée" par le livre de Trierweiler Publié à 17h23, le 06 septembre 2014, Modifié à 21h21, le 06 septembre 2014
REACTION - "On ne peut pas accepter d'écrire ce genre de choses", a déclaré samedi la maire de Lille.
"On se grandirait à ne pas se mettre au niveau des caniveaux", a ajouté Martine Aubry, estimant que l'ouvrage, dont elle n'a lu que quelques extraits, était "le livre d'une femme blessée". "Je pense que notre démocratie se grandirait à ne pas parler de ça", a-t-elle encore dit. "À un moment où la France va mal, les Français ont envie qu'on se lève la chemise pour pouvoir lutter contre le chômage, les inégalités, (défendre) le logement, refaire de la France un grand pays", a précisé Martine Aubry, mais "ils n'ont pas besoin de ce genre de choses".
D’aucuns s’en réfèrent à Jaurès, à Marx, à Jules Ferry… Même cité approximativement, Zebda gagne ici en considération !