Comme son nom l’indique (contrepèterie) !
« L'avocat général Karine Somody avait requis douze ans de réclusion ».
Var-Matin – 24/06/2011
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Comme son nom l’indique (contrepèterie) !
« L'avocat général Karine Somody avait requis douze ans de réclusion ».
Var-Matin – 24/06/2011
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Lucide
(Var-Matin 24/06/11)
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Freudien ?
Vu hier à la télé : Le retour médiatique conquérant d’une ministre des Affaires étrangères pourtant récemment débarquée peu glorieusement. (France 5 – 19 h)
Tout comme les lapsus, sa préciosité de langage consistant à faire soner les consonnes finales serait-elle révélatrice ?
Il faute… (il faut)
Ils honte… (ils ont)
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19 juin 1986–19 juin 2011
Si ses facéties éditoriales ont valu à « Var-Matin » maintes expositions ironiques au pilori du Mot du Jour, notre journal régional mérite aujourd’hui une inscription au tableau d’honneur pour son titre introduisant un hommage posthume à Coluche :
« COLUCHE, 25 ANS APRÈS : C’EST L’HISTOIRE D’UN MANQUE… »
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Pas cher…
Ouverture du journal de 8 heures sur Europe 1 :
« 60 euros ! C’est le prix d’un billet de TGV Pékin-Shangaï ;
1300 km en moins de 5 heures à près de 300 km/h !
Publicité de fermeture du même journal :
Une voix aux suaves accents érotico-Air France nous recommande
la Navette Paris-Marseille … pour 66 euros.
Seulement !
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Voilà ce que l’on propose en Mot du Jour quand on a un brin de talent. Respect, Monsieur Jean d’Ax ! Bon ouikende ! Guy.
Ballade pour un coup manqué
Plus que le Tsunami sur les côtes Nippones,
L’affaire qui parut de nature friponne,
Plus loin que l’Effémi provoqua des remous :
Pour la première fois Déeska banda mou !
Mais l’amour qu’il portait aux petites culottes,
Avait-il mérité qu’on lui mît les menottes ?
Qu’avait-il fait, sinon que tenter d’honorer,
En bravant le Sida qu’on y pouvait trouver,
L’entre-deux rebondi d’une Cananéenne,
Race bibliquement vouée à la géhenne… ?
De l’acte rédempteur, eût-il dû s’abstenir
Qu’en pense Anne Sinclair qui n’a rien vu venir ?
David n’usa-t-il pas ainsi de Bethsabée,
Qui ne fut pas cruelle et céda bouche bée ?
Déeska pouvait-il, étant fils de Sion,
Donc de la race élue ! – oublier l’élection ?
Peut-on lui reprocher de s’être trompé d’urne,
Et d’en avoir cherché la fente avec ses burnes ?
Allons donc ! Quand on est serviteur de Démos,
Et qu’on se sent pourvu du braquemart d’Eros,
On se doit de pousser l’argument sans réplique,
Afin que tout sillon devienne raie publique !
Mais toi, de tels assauts, si riche en souvenirs,
Comment Anne Sinclair n’as-tu rien vu venir
Un poète a bien dit, et ça vaut pour Hercule,
Que le désir s’accroît quand l’effet se recule !
C’est un fait que l’objet désiré recula,
La tentatrice noire ayant dit : « Halte-là ! ».
Ainsi donc l’instrument dont s’honorait Priape,
Se trouva bêtement privé de sa soupape,
Et Déeska gagné par la fièvre du rut,
Déversa sa fureur sans atteindre son but !
Ce Niagara, (ce n’était pas la mer à boire !)
Devint pour la police une piste notoire !
Et désormais, le Procureur va requérir !
Comment Anne Sinclair n’as-tu rien vu venir ?
Princesse dont la grande ambition s’est brisée,
Par une foufounette insensible au plaisir,
La roche Tarpéienne est près de l’Élysée !
Mais comment tes yeux pers n’ont-ils rien vu venir !
Jean d’Ax
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La curiosité du 22 mai (la gouttière bretonne)
Le profil tarabiscoté de ce support percé a su titiller les imaginations… Voici les réponses qui ont été proposées à ma curiosité :
Le Bricoleur : C’est un trou pour le passage du tournevis au moment du montage.
L’usinier : c’est un trou d’accrochage pour les traitements de surface.
L’écolo : C’est pour suspendre de la nourriture aux oiseaux.
La sorcière : C’est pour suspendre de l’ail pour éloigner les vampires.
La décoratrice : C’est pour faire pendre un Père Noël en plastique.
La sadique : C’est un piège à Père Noël.
L’originale : C’est pour se montrer atypique.
Le jardinier : C’est pour pendre des pots de géraniums.
Le patriote : C’est pour y ficher des drapeaux pour le 14 juillet.
Je ne saurais me montrer plus imaginatif…
Ma proposition : Des emplacements pour recevoir un pare-neige dans les pays de montagne à toits en lauzes…
J’ai déjà vu ce genre de petites barrières au bord des toits, mais je ne me suis jamais préoccupé de leur fixation.
Qu’en pensent les lecteurs Savoyards, Alpins (hauts et bas), Isérois ou autres ?
Cet article apporte des réponses à un article du 22 mai qui a disparu de ce blog. Je crains que beaucoup d'articles aient subi le même sort lors du « nettoyage » du site par le gestionnaire de notre serveur, Mavenhosting, suite à une attaque virale, en juillet 2016. Jeff Saby.
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Ça rigole pas en Vendée
Mieux que des radars :
Des arguments tranchants et définitifs
pour plus de sécurité routière.
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Abyssal
À la recherche de preuves :
Après celles de l’Airbus on recherche
les boîtes noires de Ben Laden.
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(4 mai)
Ne conduis pas pour St. Sylvain
si tu as bu trop de bon vin.
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Fête du Travail
Le Mot du Jour se présente sous la forme d’une affichette punaisée à la porte de la Mairie de Six-Fours-les-Plages.
EN RAISON DU 1er MAI
LA MAIRIE SERA FERMÉE
LE 2 MAI
Ben voyons…
Cathy refait sa carte d’identité tous les vingt ans… et c’était aujourd’hui… Gag !
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Réservé à quelques connaisseurs
Hier soir, j’ai trop picolé…
La nuit a été agitée…
Je voulais faire la grasse matinée,
Ce putain de chat m’a réveillé !
Je me suis donc levé à poch’tron-minet
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Le Dicton du Jour
(Pas plus stupide qu’un vrai)
Éteins le feu pour la St. Claude ;
Ta demeure sera moins chaude.
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Un peu colère, d’accord ! Mais en alexandrins !
LES INDISPONIBLES
Tout est calme dehors, au-dedans, c’est la sieste.
Normalement c’est l’heure où ils se manifestent…
Comprendront-ils un jour combien ils sont pénibles
Ces forçats de la com’, fâcheux « indisponibles » ?
La grognasse d’aujourd’hui veut tout savoir de moi :
Mon nom, mon age, mon sexe et pourquoi pas mon poids.
Surtout, ce qu’elle voulait, cette sotte entêtée
C’était me refourguer une Assurance santé.
Ils sont aussi très forts, pour vous prendre au matin
Visage couvert de mousse, le rasoir à la main !
Comprendront-ils un jour qu’ils sont vraiment pénibles
Ces esclaves ennuyeux, ces cons d’« indisponibles » ?
Un matin une rombière m’a sorti de la douche.
Elle, elle aurait voulu entendre de ma bouche
Le mot « propriétaire ». D’un ton très sympathique
Elle voulait me placer mille-et-un diagnostics.
Pour être à peu près sûrs de pouvoir vous coincer,
Ils appellent carrément au milieu du dîner.
Comprendront-ils un jour qu’ils sont vraiment pénibles
Ces commerciaux miteux, fichus « indisponibles » ?
D’Afrique, l’autre soir, Mamadou appelait.
Un discours bien poli… mais à peine français.
C’était pour me convier à une réception
Où je devais en couple, apporter mon pognon !
Ils font de l’abattage. Souvent, quand ils vous sonnent,
Lorsque vous décrochez, il n’y a plus personne.
Comprendront-ils un jour qu’ils sont vraiment pénibles,
Sans gêne, mal éduqués, ces pauvres « indisponibles » ?
Ils m’ont fait remonter quatre à quatre du jardin.
La semelle boueuse, la binette à la main.
…Il n’y avait personne. Et tout c’que j’ai gagné
Au retour de ma femme, c’est d’me faire engueuler !
Si ça se vend, c’est que ça s’achète !
Tout le monde s’en plaint, mais toujours ils sévissent
Et des gogos crédules ils tirent bénéfices
Pour le compte bien souvent de négriers horribles
Qui ne font qu’exploiter les cerveaux disponibles !
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Chiche !
Sans être un inconditionnel du patron des « Grosses Têtes »,
j’adhère bien volontiers à sa proposition de réforme !
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