Mollusques bivalves filtreurs (suite)
Toulon – En une petite semaine, les mouettes de la rade modifient leur
comportement et sauvent ainsi la mise aux conchyliculteurs du Lazaret
Sur une info Var-matin du 20/12/2020
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Mollusques bivalves filtreurs (suite)
Toulon – En une petite semaine, les mouettes de la rade modifient leur
comportement et sauvent ainsi la mise aux conchyliculteurs du Lazaret
Sur une info Var-matin du 20/12/2020
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À Tamaris, en rade de Toulon, les calamités s'enchaînent !
On les aura ! E.coli
Coupures de Var-matin 17/12/20
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Comme une huître… Déformation professionnelle ?
L’Écailler de Tamaris – Var – 2007
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) des ► Boîtes aux Lettres
dans Chapitre 3 – Les Gueules cassées
Les liens vers Les séries de Guy (en pdf) sont dans la colonne de droite de cette page
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Discrète exploration en terre encore vierge
À nous, qui avons patiemment suivi les pérégrinations de Sophie-la-girafe au printemps dernier, il est enfin donné la satisfaction d'admirer le résultat final de son séjour dans notre savane semi-urbaine :
Il s'agit d'un vaste parking privatif au 3e niveau d'un ensemble de caractères à l'enseigne de Carrefour-Market avec vue sur mer. Notons que l’animal aura sans doute remarqué qu'il reste encore quelques îlots de verdure propices à un nouveau séjour chez nous…
Le casse-croûte de Sophie, constitué d'une haie de tamaris assaisonnée de deux poivriers a été avantageusement remplacé par un toit végétalisé prometteur.
À bientôt peut-être, pour de nouvelles aventures…
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Sophie nous a quittés
Depuis quelques jours on ne voyait plus sa petite tête hautaine nous toiser par-dessus les toits du haut de ses 52 mètres… On a poussé jusqu'à son enclos. Elle a effectivement regagné sa savane, non sans nous laisser les traces de son séjour parmi nous…
Bien sûr, il a fallu qu'elle se nourrisse et la déjà maigre végétation locale en conserve les blessures. La ligne de tamaris a été carrément rasée… grignotée jusqu'à la racine et les poivriers sont réduits à l'état de squelettes.
Je me demande si l'ongulé ne serait pas un peu cabot et si Sophie n'aurait pas volontairement fait festin de cette impudente végétation qui masquait sa belle ouvrage ?
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