Ma belle-sœur alsacienne m'envoie par mail ces blagues bretonnes. Les Bretons sont-ils les Belges des Alsaciens ? Je relève toutefois de grosses inexactitudes en ce qui concerne le climat : nous connaissons quelques périodes de beau temps, plus ou moins longues, chaque année.
Les Bretons sont aussi capables de se moquer d'eux-mêmes !
Deux mouches discutent dans un bar bigouden.
– Moi, je pars en vacances dans le Sud ! Et toi ?
– Moi, je ne sais pas… Je vais sans doute partir à l'aventure.
– OK, on se retrouve ici au retour et on en parle…
Un mois plus tard la première mouche revient de son voyage dans le Sud. Elle attend sa congénère. Un mois passe puis un autre… Au bout de trois mois, l'autre revient.
– Ben, mais t'étais où ?
– Ben avant de partir, je me suis pris une cuite dans un bar en sifflant une goutte sur le comptoir, et sans m'en rendre compte, je suis tombée dans le porte-monnaie d'un Bigouden. Alors, tu comprends, avant qu'il ne l'ouvre à nouveau !
AVIS DE DÉCÈS :
Un Bigouden veut passer un avis de décès après la mort de sa femme. Il demande au journaliste d'écrire « Marie morte ». Le journaliste lui dit :
– Vous savez, pour le même prix, vous pouvez inscrire 5 mots.
Le Bigouden réfléchit et dit :
– Bon, écrivez: « Marie morte vend Clio rouge ».
Dictons de marins bretons :
– Horizon pas net, reste à la buvette –
– Qui trop écoute la météo, passe sa vie au bistrot –
– Le chien aboie, les cars à Vannes passent –
Les blagues bretonnes :
– En Bretagne, c'est facile de savoir si l'été est enfin là : la pluie devient plus chaude.
– Pourquoi les Bretons ont choisi “BZH” comme logo ? Parce que ça signifie : Bretagne Zone Humide.
– Combien y a-t-il de saisons en Bretagne ? Deux : La grande saison des petites pluies et la petite saison des grandes pluies. On dit aussi : Il y a l'hiver et le mois d'août.
Un médecin recommande, à son ami bigouden, de faire du sport.
– Ben ! je fais du sport, je fais « les bars parallèles ».
Deux bigoudens sur le TITANIC lors de la nuit du naufrage :
– On est foutu, on est foutu ! (en pleurant).
L'autre :
– Arrête donc ! C'est pas la peine de pleurer quand même ! Et pourquoi tu pleures ?
– Le bateau est en train de couler !
– Hé alors, c’est pas le tien !!??
Une autre :
– Le mari, il fait quoi déjà ?
– Il travaille à l'Arsenal de Brest.
– Et la femme ?
– Elle fait rien non plus !
Une dernière : un instituteur breton demande à ses élèves :
– Quelle serait pour vous une belle mort ?
Une petite fille au fond de la classe répond :
– C'est mourir comme mon grand-père.
– Ah bon, réplique le maître. Et comment il est mort ton grand-père ?
– Il s'est endormi…
Le maître interroge de nouveau :
– Et quelle serait, selon vous, une mort atroce ?
La même petite fille répond :
– Ce serait mourir comme les copains de mon grand-père.
Le maître intrigué lui demande :
– Alors. Comment sont-ils morts ?
– Ils étaient dans la voiture de mon grand-père quand il s'est endormi.