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A burned car in Kleber avenue in Paris on December 2, 2018, a day after clashes during a protest of Yellow vests (Gilets jaunes) against rising oil prices and living costs. Anti-government protesters torched dozens of cars and set fire to storefronts during daylong clashes with riot police across central Paris, as thousands took part in fresh "yellow vest" protests against high fuel taxes.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -4/3. Flash: non
Après une journée de heurts et de violences entre certains « gilets jaunes » et forces de l’ordre, le bilan est lourd. De nombreux dégâts matériels sont visibles dans les rues de Paris, qui pourraient se chiffrer en dizaine de millions d’euros. Véhicules et restaurants incendiés, magasins saccagés et pillés : du quartier de l’Opéra à la prestigieuse avenue Foch en passant par la rue de Rivoli, les scènes de guérilla urbaine se sont répétées dans plusieurs quartiers huppés de la capitale, éclipsant le message porté ailleurs en France par des dizaines de milliers de « gilets jaunes ». À midi, 27 carcasses de véhicules ont été enlevées a-t-on appris auprès de la Mairie de Paris. Il en reste encore de nombreuses dans la capitale. Au total, 60 à 80 carcasses de véhicules brûlés et cassés auraient été recensées dans la ville. Source.
Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, s’est rendu avenue Klébert, à Paris, le dimanche 2 décembre 2018, à la rencontre des habitants et commerçants durement touchés par les heurts violents ayant opposé la veille autour de la place Charles-de-Gaulle forces de l’ordre et manifestants. Au lendemain de la mobilisation nationale des Gilets jaunes du 1er décembre, l’atmosphère reste tendue : alors qu’il se rendait également avenue Kléber pour constater les dégâts et rendre hommage aux forces de l’ordre, Emmanuel Macron, après avoir effectué une halte à l’Arc de Triomphe, a été accueilli par plusieurs dizaines de Gilets jaunes aux cris de « Macron démission », couvrant ainsi les quelques applaudissements de riverains adressés au locataire de l’Élysée. Emmanuel Macron convoque ce 2 décembre une réunion d’urgence à l’Élysée au lendemain des scènes de guérilla urbaine qui se sont produites à Paris, marquant une nouvelle escalade dans le conflit des Gilets jaunes. De son côté, la commission des Lois du Sénat a annoncé qu’elle entendrait les explications de Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur et de son secrétaire d’État Laurent Nunez, le 4 décembre.
Extrait : 305 mots. « Aucune cause ne justifie que l’Arc de Triomphe soit souillé », a dénoncé Emmanuel Macron dans un discours samedi 1er décembre 2018 en soirée en Argentine après le G20. Quelques heures plus tôt à Paris, le monument datant de 1836, situé dans le VIIIe arrondissement de la capitale, a été le théâtre de violences. Certains individus, en marge du mouvement des « gilets jaunes », n’ont pas hésité à taguer les piliers de ce symbole national. « Les gilets jaunes triompheront », « Macron démission », « augmenter le RSA », « Justice pour Adama », pouvait-on lire. Ce dimanche 2 décembre 2018 au matin, le président de la République s’est rendu place de l’Étoile. Il s’est recueilli devant la sépulture du Soldat inconnu autour de laquelle ont été perpétrées les violences. L’intérieur a également été saccagé. Car des individus sont parvenus à monter au sommet du monument. Sur leur chemin, ils ont détruit le matériel et mobilier des boutiques de souvenir, ainsi que plusieurs statues anciennes, dont ce moulage de 1899 d’une partie de la sculpture de François Rude Le départ des volontaires de 1792, autrement appelé La Marseillaise, qui représente Marianne. Peu connu, le musée situé à l’intérieur du bâtiment présente documents originaux, gravures, dessins, photos, maquettes sur la construction de l’Arc. Ainsi que des faits historiques, comme le retour des cendres de Napoléon Ier le 15 décembre 1840, la veillée funèbre de Victor Hugo le 29 mai 1885, le défilé de la Victoire du 14 juillet 1919, l’hommage du général De Gaulle sur la tombe du Soldat inconnu dans Paris libéré le 26 août 1944. Depuis ce dimanche matin, le Centre des monuments nationaux est à la tâche pour réparer les dégâts. Les tags extérieurs étaient en train d’être retirés en milieu de matinée. Exceptionnellement, le monument est fermé au public. (…) Source
Le 3 juin 2017, Anne Hidalgo, Maire de Paris, a inauguré BiodiversiTerre, une oeuvre végétale et humaine de 10 000 m² réalisée par l’artiste Gad Weil sur l’avenue Foch et mettant en scène les enjeux écologiques et la responsabilité de l’homme face à son environnement. Cette promenade a été imaginée par Gad Weil, metteur en scène d’arts de la rue, qui avait déjà investi de manière spectaculaire les Champs Élysées avec les grandes moissons de 1990 ou le pota-
ger géant de Nature Capitale en 2015. Il avait également marqué les esprits, en juin dernier, en investissant la célèbre Place Vendôme pour y implanter un champ de blé.
D’un budget global de près de deux millions d’euros, le projet BiodiversiTerre est soutenu par la Mairie de Paris qui notamment a fourni plus de 35.000 plantes, ainsi que par de nombreux partenaires privés comme Enedis, Veolia, Eau de Paris ou Invivo.
Une semaine après les 10 kilomètres de Paris, les coureurs se sont de nouveau réunis ce dimanche 13 octobre 2013 à l’occasion de la 35e édition des 20 kilomètres de Paris. Au total, 23.864 personnes, hommes et femmes, ont participé à l’événement. Le top départ a été donné à 10 heures, pont d’Iéna. Les participants ont ensuite parcouru le bois de Boulogne, l’avenue Foch, le cours la Reine ou encore le quai d’Orsay. L’arrivée s’est faite au pied de la tour Eiffel, avant 11 heures pour les meilleurs.
La Kényane Sarah Chepchirchir a remporté les 20 km de Paris le dimanche 13 octobre 2013, en 1 heure 5 minutes et 3 secondes, remportant le nouveau record féminin de l’épreuve. Plus de 23.000 concurrents avaient pris le départ de la course, disputée entre le pont d’Iéna et la tour Eiffel. Le top départ a été donné à 10 h, pont d’Iéna. Les participants ont ensuite parcouru le bois de Boulogne, l’avenue Foch, le cours la Reine ou encore le quai d’Orsay. L’arrivée s’est faite au pied de la tour Eiffel, avant 11 heures pour les meilleurs.
L’Ethiopien Tebalu Zawude Heyi a remporté les 20 km de Paris le dimanche 13 octobre 2013, en 58 minutes et 6 secondes. Au total, 23 865 concurrents avaient pris le départ de la course, disputée entre le pont d’Iéna et la tour Eiffel. Le top départ a été donné à 10 heures, pont d’Iéna. Les participants ont ensuite parcouru le bois de Boulogne, l’avenue Foch, le cours la Reine ou encore le quai d’Orsay. L’arrivée s’est faite au pied de la tour Eiffel, avant 11 heures pour les meilleurs.