Medical interns and students hold rally near the Pantheon during a day of strike called by several unions to protest against the extension of general doctors studies by one year in geographical areas suffering a lack of medical personnel, in Paris on November 17, 2022.
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Réunis à l’appel d’une vaste intersyndicale, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées dans l’après-midi du 17 novembre 2022 à Paris, devant le Panthéon, pour protester contre l’ajout d’une quatrième année d’internat en médecine générale, qui doit être effectuée “en priorité dans des zones où la démographie médicale est sous-dense”, selon le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Le gouvernement devrait user de l’article 49.3 de la Constitution devant les députés en début de semaine prochaine sur ce texte.
Gathering outside the Lariboisiere hospital in Paris on December 17, 2019 to protest in favour of public hospital in order to demand more resources for the hospital as part of a third countrywide day of multi-sector protests over a government pensions overhaul, with the government showing no signs it will give in to union demands to drop the plan. Unions have been striking since December 5 in their biggest show of strength in years against plans for a single pensions system.
Prise de vue: Mardi 17 décembre 2019, à 11 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 176 mots. « Sauvons l’hôpital » : un millier de blouses blanches et bleues, médecins, internes, infirmières ou encore aides-soignantes ont défilé le mardi 17 décembre 2019 à Paris pour réclamer davantage de moyens et d’effectifs et « rester visibles », malgré les actions prévues le même jour contre la réforme des retraites. Répondant à l’appel des collectifs Inter-Hôpitaux et Inter-Urgences, d’organisations de praticiens, d’internes et des syndicats CGT, FO, CFDT, CFTC, CFE-CGC, SUD, Unsa, les manifestants brandissaient pancartes et banderoles sur lesquelles on pouvait lire « hôpital en sous-France », « à ceux morts sur nos brancards », ou encore « la retraite avant la mort ». Le 14 novembre, plusieurs milliers d’hospitaliers avaient défilé partout en France pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer un « plan d’urgence ». Une semaine plus tard, le gouvernement avait dévoilé son plan pour redonner « oxygène » et « attractivité » à l’hôpital : rallonge budgétaire de 1,5 milliard d’euros et reprise de 10 milliards d’euros de dette étalées sur trois ans, primes pour les personnels… Sans apaiser les contestataires.
Le lundi 8 avril 2013 après midi, les internes en biologie médicale manifestaient à Paris depuis la gare Montparnasse jusqu’au Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. Un rassemblement pour revendiquer la préservation du maillage des laboratoires de biologie médicale sur l’ensemble du territoire français, l’arrêt de la financiarisation à l’origine d’une biologie industrielle, une création facilitée des laboratoires dans les zones à faible densité médicale et certaines dispositions professionnelles.