Demonstrators attend a rally organised in front of the Ministry of Health building by the group "Medecins Pour Demain" (Doctors for Tomorrow) and the CSMF (Confederation of French Doctors' Unions) as private practitioners ask for a rise in consultation prices in Paris on December 1, 2022. Thousands of private doctors and biologists across the country close their cabinets on December 1 and 2, 2022, notably to ask for higher prices of consultations.
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Des milliers de médecins et de biologistes libéraux ont fermé leurs cabinets et leurs laboratoires jeudi 1er et vendredi 2 décembre 2022, les uns pour protester contre le manque de reconnaissance et réclamer des hausses de tarifs, les autres pour s’élever contre la ponction portée, par le biais du budget de la « Sécu », à leurs bénéfices. Tous les syndicats de médecins libéraux, en pleine négociation conventionnelle avec l’Assurance-maladie, soutiennent le mouvement, avec des nuances dans leur positionnement ; une première depuis 2015. Avec, pour revendication principale, le doublement du montant de la consultation – de 25 euros à 50 euros –, le jeune collectif Médecins pour demain, fort de 15 000 membres sur Facebook, a donné l’impulsion. Jeudi soir, on évoquait dans ses rangs plus de 10 000 cabinets fermés – pour 110 000 praticiens libéraux. À Paris, ils se sont donné rendez-vous devant le ministère de la Santé.
Members of the "CIH - Collectif Inter Hopitaux" (Inter-hospitals collective) give a press conference after the publication of a collective resignation letter to protest against the emergency plan proposed by the government, at the Pitie-Salpetriere hospital in Paris on January 14, 2020. More than 1,000 hospital doctors, including some 600 heads of medical departments, published on January 14 a letter to "collectively resign" from their administrative duties if French Health and Solidarity Minister does not start "negotiations" on the hospital's budget and salaries.
Prise de vue: Mardi 14 janvier 2020, à 10 h 58. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 242 mots. Depuis des mois, un conflit d’ampleur oppose les médecins hospitaliers et le ministère de la Santé. Une nouvelle étape a été franchie par le personnel hospitalier. 1 200 praticiens, dont 600 chefs de service et 470 responsables d’unités ont présenté « leur démission de leurs fonctions d’administration, de gestion et de représentation ». Ce geste, témoin d’une crise sans précédent, s’est concrétisé lors d’une conférence de presse mardi matin 14 janvier 2020 à l’hôpital de la Pitié-Salpétrière, à Paris, en l’absence de négociations avec le gouvernement sur les moyens de l’hôpital public. Cette décision collective et particulièrement symbolique intervient après une longue bataille du personnel hospitalier. Le 15 décembre 2019, une tribune est publiée dans Le Journal du Dimanche. Ici, quelque 660 médecins menacent de démissionner. Fin, décembre, leur nombre dépasse le millier. Concrètement, selon les calculs du collectif Inter-Hôpitaux, « il manque 600 millions d’euros, en plus des 200 millions annoncés par le gouvernement pour l’Hôpital public il y a quelques semaines ». Comme l’indique Agnès Hartemann, chef de service de diabétologie à La Pitié-Salpêtrière, membre du CIH, sur France Culture, cette démission ne signifie pas l’arrêt total des praticiens. « On continuera à soigner les gens, bien sûr, et ça, on le fera toujours de manière collective, en équipe », souligne-t-elle. Réunis à l’initiative du collectif interhôpitaux, ces médecins hospitaliers sont issus de toute la France. Source.
Gathering outside the Lariboisiere hospital in Paris on December 17, 2019 to protest in favour of public hospital in order to demand more resources for the hospital as part of a third countrywide day of multi-sector protests over a government pensions overhaul, with the government showing no signs it will give in to union demands to drop the plan. Unions have been striking since December 5 in their biggest show of strength in years against plans for a single pensions system.
Prise de vue: Mardi 17 décembre 2019, à 11 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 176 mots. « Sauvons l’hôpital » : un millier de blouses blanches et bleues, médecins, internes, infirmières ou encore aides-soignantes ont défilé le mardi 17 décembre 2019 à Paris pour réclamer davantage de moyens et d’effectifs et « rester visibles », malgré les actions prévues le même jour contre la réforme des retraites. Répondant à l’appel des collectifs Inter-Hôpitaux et Inter-Urgences, d’organisations de praticiens, d’internes et des syndicats CGT, FO, CFDT, CFTC, CFE-CGC, SUD, Unsa, les manifestants brandissaient pancartes et banderoles sur lesquelles on pouvait lire « hôpital en sous-France », « à ceux morts sur nos brancards », ou encore « la retraite avant la mort ». Le 14 novembre, plusieurs milliers d’hospitaliers avaient défilé partout en France pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer un « plan d’urgence ». Une semaine plus tard, le gouvernement avait dévoilé son plan pour redonner « oxygène » et « attractivité » à l’hôpital : rallonge budgétaire de 1,5 milliard d’euros et reprise de 10 milliards d’euros de dette étalées sur trois ans, primes pour les personnels… Sans apaiser les contestataires.
Professionnals from french public hospitals took to the streets in Paris on November 14, 2019, for another day of action as part of a nationwide day of protest calling for an "emergency plan for public hospitals". Many sectors of hospital services, emergency services or the SAMU marched to ask for more financial resources to accomplish their missions.
Prise de vue: Jeudi 14 novembre 2019, à 13 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/320 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 156 mots. « Soignants épuisés, patients en danger » : des milliers de médecins, d’aides-soignants, mais aussi d’infirmiers, de doyens et d’étudiants ont manifesté jeudi 14 novembre 2019 un peu partout en France, pour réclamer davantage de moyens et d’effectifs. L’appel à une « grande manifestation », lancé il y a un mois par le groupement Inter-Hôpitaux, a fait le plein de soutiens. À commencer par le collectif Inter-Urgences, à l’origine d’un mouvement social inédit, débuté en mars à Paris et qui s’est étendu à tout le pays, avec encore 268 établissements touchés en début de semaine. « J’ai entendu la colère et l’indignation » du personnel soignant « face à des conditions de travail parfois impossibles », a souligné M. Macron. « Cette situation est le résultat d’années et d’années de mise sous tension qui ont fait peser sur l’hôpital l’essentiel de l’effort de maîtrise de dépenses de santé ». Source.
Pilots, hostesses and stewards demonstrate against the pension reform in front of Opera Garnier in Paris on September 16, 2019. Several thousand lawyers, accompanied by healthcare professionals (doctors, nurses etc.) or air transport (pilots, hostesses, stewards), all opposed to the "universal system" of pensions wanted by the government, began to protest on September 16, 2019 in Paris to defend their "autonomous regimes."
Prise de vue: Lundi 16 septembre 2019, à 13 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 125, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 91 mots. Après les agents RATP vendredi 13 septembre 2019, c’était au tour des médecins, kinés, infirmières, hôtesses, stewards ou encore aux pilotes de ligne de défiler contre le projet de loi de Macron lundi 16 septembre 2019. Pour rappel, l’exécutif souhaite aboutir à un système de retraite « universel », où chaque euro cotisé donne les mêmes droits à tous les Français, quels que soient leurs métiers et statuts. Ce principe est toutefois contesté par de nombreuses organisations professionnelles. À titre indicatif, d’autres manifestations ont eu lieu à Toulouse et Bordeaux.
Protesters march in the streets of Paris during the 13th "March for Life" (Marche pour la vie) against abortion and medically assisted reproduction on January 20, 2019. The protesters claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Dimanche 20 janvier 2019, 15:05:27. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 265 mots. Plusieurs milliers de personnes, 50 000 selon les organisateurs, 7 400 selon la police, dont beaucoup de jeunes, ont défilé à Paris pour la 13e « Marche pour la vie », le dimanche 20 janvier 2019. « Témoigner sans se lasser des valeurs inaliénables de la dignité humaine et de la vie », c’était le but de cette Marche pour la vie qui, avec une organisation rajeunie, est plus que jamais mobilisée en cette période de révision de la loi de bioéthique, de crise sociale et de convergence des détresses , ont précisé les organisateurs dans un communiqué. « Nous sommes cette année la Marche des exclus du grand débat, les sujets bioéthiques et sociétaux ayant été sciemment exclus du grand débat national organisé par le gouvernement ! » martèlent-ils encore dans cette déclaration. Convaincu de réunir « cette année beaucoup de monde », dans le « contexte » du mouvement des Gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu’ « au-delà de la détresse sociale », c’est « aussi une souffrance immatérielle » qui s’exprime. La PMA pour toutes, « c’est l’arbre qui cache la forêt ». Des choses « beaucoup plus graves » figurent dans le projet de révision, a abondé Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Lejeune. Il fait ainsi référence au rapport parlementaire sur les questions bioéthiques paru cette semaine et qui a fait polémique. Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Châlons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée « très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie ». Source : www.leparisien.fr, lien à la fin de l'article complet.
Members of the "Witch Bloc" feminist group demonstrate behind riot police as they came to disturb the pro-life movement 13th "March for Life" (Marche pour la vie) anti-abortion rally in Paris on January 20, 2019. Particpants in the march claim to have received the support of Pope Francis and several French bishops. Organizers urged doctors across the country to use their "conscientious objection" and stop performing abortions. About 200,000 abortions are performed every year in France.Organizers were also marching against a recommendation in September by France's highest bioethics body that single women and lesbian couples should have access to medically assisted reproduction. The procedures are currently restricted to heterosexual couples.
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 16:38:09 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1//500 sec, f/8, ISO 16000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. Face à la « marche pour la vie » qui cherche à « susciter une prise de conscience générale sur la question de l’avortement », organisée dimanche 20 janvier 2019 à Paris, les membres du Witch Bloc Paname comptaient bien faire entendre leur voix. Le collectif militant féministe et révolutionnaire – qui reprend la figure de la sorcière et s’inspire dans sa lutte du groupe W.I.T.C.H, né à Portland contre Donald Trump – s’est donc réuni le même jour, à la même heure, place du Trocadéro, lieu d’arrivée de la Marche pour la vie. Le but ? Défendre le droit à l’IVG, alors que la treizième édition de la Marche pour la vie entend cette année défendre particulièrement la clause de conscience des médecins. Cette disposition en vigueur permet aux praticiens de refuser de pratiquer une interruption volontaire de grossesse en raison de leurs convictions personnelles. Les membres du Witch Bloc – comme on a déjà pu le constater lors des manifestations contre la loi Travail – indiquent par ailleurs se réunir masquées, afin de conserver leur anonymat, et en non-mixité (ici entre femmes et personnes queer). Toutefois, toutes les personnes souhaitant se joindre au rassemblement d’une manière générale sont les bienvenues, précise l’organisation. Source : www.lci.fr, lien à la fin de l'article complet.