Eiffage. Une compétition d’athlétisme en salle
© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 16 novembre 2013, à 14 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF300mm f/2.8L IS USM ; focale: 300 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/1000e de s, ƒ/2.8, ISO 10000. Flash: non
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Les Furets d’Eiffage organisaient le samedi 16 novembre 2013 la 5ème édition du meeting d’athlétisme Eiffage dans le stade couvert du CDFAS d’Eaubonne (Val d’Oise). L’occasion pour de nombreux jeunes athlètes de participer à leur première compétition en salle.
En hiver, deux options s’imposent aux athlètes : prendre part aux compétitions en salle ou continuer à s’entrainer pour l’été.
L’athlétisme en salle s’est développé dans les pays où la rudesse de l’hiver conduisait les athlètes à pratiquer leur sport sous un toit, principalement en Amérique du Nord et dans les pays de l’Europe de l’Est. Le format des salles a réduit, faute de place, celui de certaines épreuves, comme le sprint, et éliminé les lancers longs. Comme on s’y entraine aussi, les contenus de la préparation ont été adaptés. C’est ainsi que dans les années soixante, le sprinteur allemand Armin Hary avait développé le meilleur départ du monde à Leverkusen en accumulant les répétitions sur 10 à 30 m dans une petite salle qui réduisait la longueur de la piste à 50 m ! Le Soviétique Valeriy Borzov se serait-il constitué cet alliage de puissance et d’endurance sans les séances de courses sur les soixante-seize marches qu’abritait la toiture des tribunes du stade de Kiev ? Le Canadien Ben Johnson aurait-il construit son accélération légendaire autre part que dans le hall de Toronto, où, après sa réfection en 1982, la ligne droite de 80 m limitait les répétitions de sprints d’entrainement à 60 m ?
En hiver, deux options s’imposent aux athlètes : prendre part aux compétitions en salle ou continuer à s’entrainer pour l’été.
L’athlétisme en salle s’est développé dans les pays où la rudesse de l’hiver conduisait les athlètes à pratiquer leur sport sous un toit, principalement en Amérique du Nord et dans les pays de l’Europe de l’Est. Le format des salles a réduit, faute de place, celui de certaines épreuves, comme le sprint, et éliminé les lancers longs. Comme on s’y entraine aussi, les contenus de la préparation ont été adaptés. C’est ainsi que dans les années soixante, le sprinteur allemand Armin Hary avait développé le meilleur départ du monde à Leverkusen en accumulant les répétitions sur 10 à 30 m dans une petite salle qui réduisait la longueur de la piste à 50 m ! Le Soviétique Valeriy Borzov se serait-il constitué cet alliage de puissance et d’endurance sans les séances de courses sur les soixante-seize marches qu’abritait la toiture des tribunes du stade de Kiev ? Le Canadien Ben Johnson aurait-il construit son accélération légendaire autre part que dans le hall de Toronto, où, après sa réfection en 1982, la ligne droite de 80 m limitait les répétitions de sprints d’entrainement à 60 m ?
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