La deuxième édition de la très colorée Color Run s’est déroulée à Paris le dimanche 19 avril 2015, sur une distance de 5 kilomètres entre l’Hôtel de Ville et le pont d’Iéna. Chaque kilomètre du parcours correspond à une « zone de couleur » où des bénévoles lancent de la poudre colorée naturelle à base de fécule de maïs. Après l’arrivée, tous les coureurs se réunissent pour un « Finisher Festival », comprenant de la musique non stop ponctuée de lancers de couleurs groupés. Prévoir un nettoyage du photographe et du matériel après le reportage.
The second Parisian edition of the “Color Run” was organized April 19, 2015, between the Hôtel de Ville town hall and the Trocadéro, in front of the Eiffel Tower. During the short foot race, runners are doused with colourful chalk.
Les Furets d’Eiffage organisaient le samedi 16 novembre 2013 la 5ème édition du meeting d’athlétisme Eiffage dans le stade couvert du CDFAS d’Eaubonne (Val d’Oise). L’occasion pour de nombreux jeunes athlètes de participer à leur première compétition en salle. En hiver, deux options s’imposent aux athlètes : prendre part aux compétitions en salle ou continuer à s’entrainer pour l’été. L’athlétisme en salle s’est développé dans les pays où la rudesse de l’hiver conduisait les athlètes à pratiquer leur sport sous un toit, principalement en Amérique du Nord et dans les pays de l’Europe de l’Est. Le format des salles a réduit, faute de place, celui de certaines épreuves, comme le sprint, et éliminé les lancers longs. Comme on s’y entraine aussi, les contenus de la préparation ont été adaptés. C’est ainsi que dans les années soixante, le sprinteur allemand Armin Hary avait développé le meilleur départ du monde à Leverkusen en accumulant les répétitions sur 10 à 30 m dans une petite salle qui réduisait la longueur de la piste à 50 m ! Le Soviétique Valeriy Borzov se serait-il constitué cet alliage de puissance et d’endurance sans les séances de courses sur les soixante-seize marches qu’abritait la toiture des tribunes du stade de Kiev ? Le Canadien Ben Johnson aurait-il construit son accélération légendaire autre part que dans le hall de Toronto, où, après sa réfection en 1982, la ligne droite de 80 m limitait les répétitions de sprints d’entrainement à 60 m ?