© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Vendredi 1er novembre 2013, à 17 h 03. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF135mm f/2L USM ; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/500e de s, ƒ/2.2, ISO 640. Flash: non
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Le service d’accueil des urgences de l’Hôtel-Dieu, au cœur de la capitale, fermera-t-il définitivement ses portes le 4 novembre 2013 ? C’est à partir de cette date que Mireille Faugère, la directrice de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (APHP), avait annoncé en mai vouloir voir commencer la nouvelle vie du site hospitalier de l’île de la Cité. Celui-ci doit notamment accueillir le siège de l’institution, un musée et un nouveau service de consultation sans rendez-vous 24 heures sur 24 et sept jours sur sept.
Face à la fronde menée depuis plusieurs mois par une partie des personnels et plusieurs syndicats, dont la CGT, la ministre de la santé, Marisol Touraine, avait décidé le 10 juillet de “décaler le calendrier de mise en œuvre du projet, et en particulier la date de fermeture des urgences qui ne pourra intervenir le 4 novembre”. Malgré les consignes ministérielles, la fermeture devrait tout de même être effective à cette date. Même si, à l’APHP, on préfère employer le terme de « transformation » ou de « changement dans la continuité ».
À compter du 4 novembre, les pompiers qui assuraient environ un quart des 40.000 passages annuels aux urgences de l’Hôtel-Dieu auront tous reçu pour consigne d’emmener la trentaine de cas graves par jour vers les urgences d’autres hôpitaux parisiens.
Cette date du 4 novembre correspond également au renouvellement des internats. À l’Hôtel-Dieu, les internes spécialisés en urgences laisseront place lundi à cinq internes de médecine générale.
Quant au transfert des lits de médecine interne, il est programmé pour le courant du mois.
Face à la fronde menée depuis plusieurs mois par une partie des personnels et plusieurs syndicats, dont la CGT, la ministre de la santé, Marisol Touraine, avait décidé le 10 juillet de “décaler le calendrier de mise en œuvre du projet, et en particulier la date de fermeture des urgences qui ne pourra intervenir le 4 novembre”. Malgré les consignes ministérielles, la fermeture devrait tout de même être effective à cette date. Même si, à l’APHP, on préfère employer le terme de « transformation » ou de « changement dans la continuité ».
À compter du 4 novembre, les pompiers qui assuraient environ un quart des 40.000 passages annuels aux urgences de l’Hôtel-Dieu auront tous reçu pour consigne d’emmener la trentaine de cas graves par jour vers les urgences d’autres hôpitaux parisiens.
Cette date du 4 novembre correspond également au renouvellement des internats. À l’Hôtel-Dieu, les internes spécialisés en urgences laisseront place lundi à cinq internes de médecine générale.
Quant au transfert des lits de médecine interne, il est programmé pour le courant du mois.
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