© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 23 novembre 2013, à 15 h 04. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF135mm f/2L USM ; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250e de s, ƒ/2.2, ISO 500. Flash: non
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Aux cris de « Prostitution Abolition », plusieurs milliers de personnes, selon les organisateurs, 950 selon la police, ont manifesté jusqu’à l’Assemblée nationale le samedi 23 novembre 2013 à Paris contre les violences faites aux femmes et pour la pénalisation des clients de prostituées, qui sera discutée prochainement par les députés.
L’initiative, se tenant à l’avant-veille de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, venait du Collectif national pour les Droits des femmes, qui regroupe des associations féministes, des syndicats et partis politiques. En tête de cortège, plusieurs femmes parlementaires, dont la députée PS Maud Olivier, co-auteur de la proposition de loi « renforçant la lutte contre le système prostitutionnel ». Le texte, qui sera examiné la semaine prochaine et dont elle espère « très fortement un changement de mentalité et une responsabilisation des clients », propose de punir l’achat d’actes sexuels d’une amende de 1.500 euros. Il n’interdit pas la prostitution.
L’initiative, se tenant à l’avant-veille de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, venait du Collectif national pour les Droits des femmes, qui regroupe des associations féministes, des syndicats et partis politiques. En tête de cortège, plusieurs femmes parlementaires, dont la députée PS Maud Olivier, co-auteur de la proposition de loi « renforçant la lutte contre le système prostitutionnel ». Le texte, qui sera examiné la semaine prochaine et dont elle espère « très fortement un changement de mentalité et une responsabilisation des clients », propose de punir l’achat d’actes sexuels d’une amende de 1.500 euros. Il n’interdit pas la prostitution.
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