© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Vendredi 20 décembre 2013, à 18 h 08. Appareil: Leica M9 Digital Camera. Objectif: Super-Elmar-M 18mm f/3.8 ASPH ; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/64e de s, ƒ/?.?, ISO 800. Flash: non
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Areva a poursuivi vendredi 20 décembre 2013 devant le tribunal correctionnel de Paris le militant antinucléaire Stéphane Lhomme, président de l’Observatoire du nucléaire, qui avait accusé le groupe français de corruption au Niger en 2012.
Le 11 décembre 2012, dans un communiqué, l’association avait fait état d’une contribution d’Areva au budget national nigérien d’environ 26 millions d’euros, dont 15 millions auraient été directement affectés à l’acquisition d’un avion pour le président du Niger, Mahamadou Issoufou.
Le lendemain, Zakari Oumarou, président du groupe parlementaire du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme, avait confirmé qu’Areva avait accordé au Niger une aide budgétaire de 26 millions d’euros, dont une partie a été affectée pour l’achat d’un avion présidentiel. Areva, qui conteste cette accusation de corruption, avait assigné en justice, demandé un euro de dommages et intérêts et une publication judiciaire dans trois journaux, dont le magazine Jeune Afrique.
Le jugement a été mis en délibéré au 7 février 2014.
Avant le procès, des membres de l’Observatoire du nucléaire et d’autres militants antinucléaires se sont rassemblés devant le Palais de Justice de Paris, portant des banderoles accusant Aréva.
Le 11 décembre 2012, dans un communiqué, l’association avait fait état d’une contribution d’Areva au budget national nigérien d’environ 26 millions d’euros, dont 15 millions auraient été directement affectés à l’acquisition d’un avion pour le président du Niger, Mahamadou Issoufou.
Le lendemain, Zakari Oumarou, président du groupe parlementaire du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme, avait confirmé qu’Areva avait accordé au Niger une aide budgétaire de 26 millions d’euros, dont une partie a été affectée pour l’achat d’un avion présidentiel. Areva, qui conteste cette accusation de corruption, avait assigné en justice, demandé un euro de dommages et intérêts et une publication judiciaire dans trois journaux, dont le magazine Jeune Afrique.
Le jugement a été mis en délibéré au 7 février 2014.
Avant le procès, des membres de l’Observatoire du nucléaire et d’autres militants antinucléaires se sont rassemblés devant le Palais de Justice de Paris, portant des banderoles accusant Aréva.
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