La chanson du Dimanche
Est-ce ma faute à moi ?
Allez savoir pourquoi le refrain de cette chanson qui n'a rien d'une comptine pour enfant est resté fiché dans mes neurones pendant plus de 70 ans ?
Jacqueline François – 1950
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La chanson du Dimanche
Est-ce ma faute à moi ?
Allez savoir pourquoi le refrain de cette chanson qui n'a rien d'une comptine pour enfant est resté fiché dans mes neurones pendant plus de 70 ans ?
Jacqueline François – 1950
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Totor & Jojo (2)
En 1955 déjà, Brassens s'attachait à la mise en valeur de Victor Hugo…
À cette époque, il m'avait fallu bien du temps pour déchiffrer :
« Vraiment la reine eut près d'elle été laide
Quand vers le soir
Elle passait sur le pont de Tolède
En corset noir »
D'autant que j'entendais « Encore c'est noir » !
Pour détendre un peu l'atmosphère, on peut aussi, à la manière de Jacques Offenbach, parodier les deux derniers vers du refrain :
« Le vin qui mousse à travers la Champagne
Me rendra fou ».
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14 juillet – Avant le défilé
« “…à Solférino, la grande brossée aux Autrichiens, il fallait les voir devant nos baïonnettes, galoper, se culbuter, pour courir plus vite, comme s’ils avaient le feu au derrière !”
C’était la légende, le troupier français parcourant le monde, entre sa belle et une bouteille de bon vin, la conquête de la terre faite en chantant des refrains de goguette. Un caporal et quatre hommes, et des armées immenses mordaient la poussière ».
Emile Zola in « La débâcle » La Pleïade- V- p.414
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Au bout de l’infini
Une journée qui commence par un moment de pure émotion poétique prodigué par France Inter à l’heure où je beurre mes biscottes. Je vous livre les paroles du refrain de ce bouleversant moment de la chanson française :
« L’amour est éternel,
L’amour est éternel,
L’amour est éternel,
L’amour est éternel,
L’amour est éternel jusqu’à ce qu’il s’arrête. »
On trouve là toutes les subtilités de la versification classique dans la lancinante répétition du premier vers, puis, en point d’orgue, la puissance de l’inattendu oxymore final !
Un joyau !
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