Pour toi, lecteur(trice)
qui partage aussi ce béguin
François Morel – France Inter – 17 avril 2015
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François Morel – France Inter – 17 avril 2015
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11 juin – Pour encore échapper à la parlotte la zapette m’a conduit sur la Cinq. Un docu sur « La drôle de paix » 1919 – 1939
Plus jamais ça !
1938 – Hitler, que son entourage appelle à la prudence avant d’envahir les Sudètes :
« La SDN ? Ils ne font que des discours… et toujours trop tard ! »
Mais les temps ont changé et à Damas, l’on ne dit plus SDN mais ONU.
Aux Morts !
2001-2012 – Afghanistan. Prises d’Armes, minutes de silence, décorations posthumes, discours… Je pleure avec les familles des 80 militaires tués en opération.
1914 – 1918. 4 ans – 800 morts par jour… Aurons-nous jamais assez de larmes…
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14 mai 2012
C’était un soir, entre les deux tours de la Présidentielle. Je cherchais quelque chose pour m’occuper la rétine sans avoir à subir les invectives que s’échangeaient politiques et exégètes sur les « grandes » chaînes. J’ai titillé la zapounette, montant puis descendant tous les canaux de la TNT…
Première partie de soirée
En VO – Cultural
Si l’on supprimait tous les épisodes mettant en scène un policier (de préférence noir) gestic(h)urlant contre un malfrat (de préférence blanc et armé) dans un parking souterrain sordide, que resterait-il du canon culturel de notre époque que constituent les séries américaines ?
En VF – Culturel
Si l’on supprimait tous les épisodes mettant en scène un policier (de préférence jeune et vêtu en voyou) plaquant d’un geste rageur un gyrophare sur le toit de son véhicule (au choix : surpuissant ou poussif, selon le scénario), que resterait-il des copies françaises des séries américaines ?
Culturel (en rose et blanc)
Dans les séries télévisées, la victime moribonde palabre longuement avec (au choix : son agresseur, un policier, une super-nana…) avant que l’ambulance ne l’emporte toutes sirènes hurlantes vers l’hôpital. Les urgences ne sont jamais encombrées et les policiers cavalent avec le brancard jusqu’en salle d’opérations. Là, le chirurgien (de préférence un quinqua au regard bleu-acier) qui n’attendait que cette occasion, mobilise son assistante (95-60-90) et sauve la malheureuse victime après une angoissante attente où les accompagnateurs écrasent mégots sur mégots dans les couloirs du bloc opératoire.
Que resterait-il des happy-end de nos séries télévisées si l’inévitable séquence hospitalière devait être tournée dans des conditions plus crédibles ?
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