Teuf-teuf, vroum-vroum, tacotac-tacotac. Ça pétaradait ferme, en fin d'après-midi à Plougonven (prononcer plougonvin). La petite commune du Trégor finistérien accueillait la moitié des participants au 30e Tour de Bretagne des véhicules anciens, l'un des plus gros rallyes du genre en France.
Les 650 engins motorisés du circuit nord sont arrivés pendant plus de deux heures, en un défilé ininterrompu. Les voitures, motos, camions d'exception se garaient quelques minutes pour se faire admirer, puis laissaient la place aux nouveaux venus en mettant le cap sur Lannion, le terminus de l'étape du jour. Le tout dans une ambiance festive au milieu d'un public conquis. Un régal pour les yeux et les oreilles.
J'ai rencontré Alain Quesseveur, un ancien collègue du Télégramme. Je le savais connaisseur en voitures de collection, mais il m'a épaté, lorsque je lui ai dit que j'étais toujours à la recherche de la voiture Berliet de mon grand-père, jamais revue nulle part (même pas au musée Schlumpf, à Mulhouse). J'imagine que peu de gens savent, par ici, que l'entreprise de la région lyonnaise a fabriqué des voitures de luxe, avant de se faire connaître pour ses camions. Il a cru en voir une. Je la cherche et ne la trouve pas. Elle a dû repartir.
La voiture suivante de mon grand-père était une traction Citroën, 11 légère, un modèle plus rare que la 15. Là, j'ai davantage de chance. Il y en a une.
Les 650 engins motorisés du circuit nord sont arrivés pendant plus de deux heures, en un défilé ininterrompu. Les voitures, motos, camions d'exception se garaient quelques minutes pour se faire admirer, puis laissaient la place aux nouveaux venus en mettant le cap sur Lannion, le terminus de l'étape du jour. Le tout dans une ambiance festive au milieu d'un public conquis. Un régal pour les yeux et les oreilles.
J'ai rencontré Alain Quesseveur, un ancien collègue du Télégramme. Je le savais connaisseur en voitures de collection, mais il m'a épaté, lorsque je lui ai dit que j'étais toujours à la recherche de la voiture Berliet de mon grand-père, jamais revue nulle part (même pas au musée Schlumpf, à Mulhouse). J'imagine que peu de gens savent, par ici, que l'entreprise de la région lyonnaise a fabriqué des voitures de luxe, avant de se faire connaître pour ses camions. Il a cru en voir une. Je la cherche et ne la trouve pas. Elle a dû repartir.
La voiture suivante de mon grand-père était une traction Citroën, 11 légère, un modèle plus rare que la 15. Là, j'ai davantage de chance. Il y en a une.
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