People gather at the middle school in Conflans-Sainte-Honorine, northwest of Paris, on October 20, 2020 during the 'Marche Blanche' in solidarity after a teacher was beheaded for showing pupils cartoons of the Prophet Mohammed. His murder in a Paris suburb on October 16 shocked the country and brought back memories of a wave of Islamist violence in 2015. Paty, 47, was attacked on October 16 on his way home from the junior high school where he taught by 18-year-old Chechen man Abdullakh Anzorov, who was shot dead by police. Following the attack, tens of thousands of people took part in rallies countrywide to honour Paty and defend freedom of expression.
Prise de vue: Mardi 20 octobre 2020, à 17 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -1. Flash: non
Des milliers de personnes se sont rassemblées mardi 20 octobre 2020 en soirée à Conflans-Sainte-Honorine pour une marche blanche en hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire-géographie décapité vendredi dans cette ville après avoir montré à ses élèves des caricatures de Mahomet. La foule s’est massée vers 18 h 30 devant le collège Le Bois-d’Aulne, où le professeur de 47 ans enseignait. Quelque 6 000 personnes étaient présentes, selon des estimations de gendarmes sur place. Depuis la mort de cet enseignant, les hommages se multiplient en France, où plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté dimanche. Un hommage national lui sera également rendu mercredi à partir de 19 h 30 dans la Cour de la Sorbonne en présence du chef de l’État, Emmanuel Macron.
People gather on Place de la Republique in Paris on October 18, 2020, in homage to history teacher Samuel Paty two days after he was beheaded by an attacker who was shot dead by policemen. Thousands of people rally in Paris and other French cities on October 18 in a show of solidarity and defiance after a teacher was beheaded for showing pupils cartoons of the Prophet Mohammed. His murder in a Paris suburb on October 16 shocked the country and brought back memories of a wave of Islamist violence in 2015.
Prise de vue: Dimanche 18 octobre 2020, à 14 h 31. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 320. Flash: non
Extrait : 156 mots. Théâtre de la manifestation historique qui avait suivi les attaques contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher le 11 janvier 2015, la place de la République à Paris s'est remplie le 18 octobre 2020 en début d'après-midi de milliers de manifestants, enseignants, élus et anonymes venus défendre la liberté d'expression, dire non à « l'obscurantisme » et chanter la Marseillaise. Samuel Paty a été décapité vendredi 16 octobre, vers 17 h près du collège où il enseignait l'histoire-géographie dans un quartier calme de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). Son assaillant, un Russe tchétchène de 18 ans, a ensuite été tué de neuf balles par la police. Le Premier ministre Jean Castex est apparu dans le cortège parisien. À ses côtés, son ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer et sa collègue déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa « en soutien aux professeurs, à la laïcité à la liberté d'expression et contre l'islamisme ». Source
This picture taken on December 29, 2012, in Paris, shows the President of the Cheikh Yassine collective Abdelhakim Sefrioui (C with a white djellaba) being arrested by French anti-riot gendarmes after a protest to support Palestine. Abdelhakim Sefrioui is involved in the France teacher attack near the College du Bois d'Aulne, in the town of Conflans-Sainte-Honorine, some 30km (20 miles) north-west of central Paris, on october 16, 2020. The number arrested rose to 11 on october 18, with police investigating possible links to Islamic extremism.
Prise de vue: Samedi 29 décembre 2012, à 15 h 36. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/2.8L II USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/160 sec, f/4, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 124 mots. Militant islamiste très actif, Abdelhakim Sefrioui, photographié ici en décembre 2012, fait partie des 11 personnes placées en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie tué ce vendredi dans les Yvelines. Interpellé samedi à Evry avec sa compagne, Abdelhakim Sefrioui avait accompagné début octobre au collège du Bois d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine le père d’une élève, pour demander le renvoi de la victime, qui avait montré des caricatures du prophète Mahomet à ses élèves. Figure de l’islamisme radical, Abdelhakim Sefrioui se présente comme « membre du Conseil des imams de France ». Il avait diffusé il y a quelques jours sur YouTube une vidéo dans laquelle il dénonçait le professeur. Source
Pallbearers carry the coffin of French singer Juliette Greco during her funeral ceremony at the Saint-Germain-des-Pres church in Paris, on October 5, 2020. Legendary French singer Juliette Greco, whose career spanned over half a century, died aged 93, on September 23. In the background, a mock-colonne Morris advertising column displays a poster of singer.
Prise de vue: Lundi 5 octobre 2020, à 13 h 33. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 120 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/2.8, ISO 100, Compensation: -1. Flash: non
Les proches de Juliette Gréco étaient réunis ce lundi 5 octobre 2020 à Paris pour lui adresser un dernier adieu. Et c'est en l'église de Saint-Germain-des-Prés, quartier fétiche de celle qui en fut la muse, qu'ont été célébrées ses obsèques. L'iconique chanteuse française est décédée le 23 septembre à l'âge de 93 ans dans sa demeure à Ramatuelle. Sa famille avait annoncé qu'elle serait enterrée au cimetière du Montparnasse au côté de son dernier époux Gérard Jouannest, mort il y a deux ans. Aux obsèques, parmi les proches, se trouvaient également de nombreuses personnalités du monde de la culture et des arts. La première dame Brigitte Macron s'était déplacée, tout comme François Hollande et Julie Gayet, Zazie, Michel Boujenah, Jacqueline Franjou, Bernard Montiel, Nathalie Rykiel, Brigitte Fossey, Ab al Malik, Catherine Ceylac et Claude Sérillon, ou bien encore Jack Lang et son épouse Monique étaient aussi tous présents pour rendre un dernier hommage à Juliette Gréco.
French Economy Minister Bruno Le Maire (5R), Franck Riester (4R), French Minister Delegate to the Minister for Europe and Foreign Affairs, in charge of Foreign Trade and Attractiveness and French Junior Minister of Small and Medium Entreprises Alain Griset (1R) visit the Klubb aerial platform production site dedicated to the manufacture of aerial platforms mounted on vans, located in Ferrières-en-Brie, just outside Paris, on September 30, 2020.
Prise de vue: Mercredi 30 septembre 2020, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 6400, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 79 mots. Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, Franck Riester, ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité, et Alain Griset, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises, se sont rendus à Ferrières-en-Brie, en Seine-et-Marne, sur le site de l’entreprise Klubb, leader dans la fabrication des nacelles élévatrices sur porteur en France et en Europe. pour un déplacement consacré au volet export du plan de relance.
Armenians, carrying smoke bombs and flags in the colors of Armenia take part in a demonstration of Armenians in front of the Azerbaijan ambassy in Paris, France, on September 29, 2020 against the Azerbayan attacks on Nagorno Karabakh.
Prise de vue: Mardi 29 septembre 2020, à 17 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 163 mots. Alors que des combats meurtriers se poursuivent entre forces arméniennes et azerbaïdjanaises dans le Haut-Karabakh, quelques centaines de manifestants se sont rassemblés ce mardi 29 septembre 2020 au soir devant l’ambassade d’Azerbaïdjan à Paris, répondant à l’appel du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France (CCAF). Au troisième jour de combats meurtriers les opposant dans cette enclave, et malgré des efforts internationaux pour y mettre fin, l’Azerbaïdjan et les séparatistes arméniens du Haut-Karabakh affirment mardi 29 septembre s’être infligé de lourdes pertes, soulignant l’ampleur prise par les combats, qui ont fait officiellement près de cent morts. Plusieurs dirigeants étrangers ont appelé à un cessez-le-feu immédiat, et le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU) se réunit en urgence mardi soir, pour tenter d’éviter une guerre ouverte entre Erevan et Bakou qui risquerait de déstabiliser la région et d’y entraîner les puissances régionales, la Turquie et la Russie. Source
Head of "Debout la France" far-right party Nicolas Dupont-Aignan delivers a speech during a meeting marking the start of the political year, on September 26, 2020 in Paris.
Prise de vue: Samedi 26 septembre 2020, à 14 h 03. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/250 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -5/3. Flash: non
Extrait : 114 mots. Nicolas Dupont-Aignan, ancien allié de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle en 2017 a annoncé samedi qu’il était candidat pour 2022 afin que « les Français aient le choix » et échappent à un duel Macron-Le Pen. « 80 % des Français ne veulent pas du duel Macron-Le Pen qu’on est en train de nous tricoter. (…) Je suis candidat maintenant parce que je veux convaincre les Français qu’il n’y a pas de fatalité et qu’on peut vivre une autre vie en France », a déclaré le président de Debout la France à TF1, peu avant son discours de rentrée devant des militants au Cirque d’Hiver à Paris. Source.
This picture shows the Renault factory in Choisy-le-Roi, near Paris, on May 21, 2020. The group is to unveil on May 29 the outlines of a vast 2 billion euro savings plan announced in February. "Four factories would be closed in France: Choisy-le-Roi, Dieppe and the Foundries of Brittany, to start and Flins later", according to French satirical newspaper Le Canard Enchaine.
Prise de vue: Jeudi 21 mai 2020, à 7 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 192 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/2,000 sec, f/5, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Renault va-t-il bel et bien fermer des usines en France, comme l’avait suggéré sa directrice générale par intérim, Clotilde Delbos, lors de l’annonce des résultats financiers en février ? C’est ce qu’affirment plusieurs articles parus dans la presse mardi 19 et mercredi 20 mai, dont ceux du Canard Enchaîné et des Echos. Dans le cadre du plan d’économies de deux milliards dont les détails doivent être révélés la semaine prochaine, le constructeur automobile français pourrait annoncer la fermeture d’au moins trois usines tricolores. L’usine de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) dont les 260 salariés sont spécialisés dans la rénovation d’organes mécaniques serait concernée par cette décision, ainsi que les fonderies de Bretagne à Caudan (Morbihan) et leurs 390 employés. Sans oublier la célèbre usine d’assemblage haut de gamme de Dieppe (Seine-Maritime, 400 salariés), qui avait pu repartir grâce à la renaissance de la marque Alpine et de son nouveau modèle phare… Mais pas assez, semble-t-il, pour la sauver d’un arrêt d’activité “dans un horizon assez proche” selon les informations des Echos. Source.
French employers' association Medef President Geoffroy Roux de Bezieux (CL) attends a meeting about the economic impact of the Coronavirus Covid-19 outbreak, at the Economy Ministry in Paris on March 3, 2020 infront of French Economy and Finance Minister Bruno Le Maire (CR) and French Junior Minister for Economy and Finance Agnes Pannier-Runacher.
Prise de vue: Mardi 3 mars 2020, à 10 h 56. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/5, ISO 1600, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé: 277 mots. Le 3 mars 2020, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a une nouvelle fois réuni les représentants des entreprises à Bercy. Une nouvelle série de mesures de soutien aux sociétés dont l’activité est pénalisée par le coronavirus leur a été présentée. Les entreprises concernées pourront faire appel à Bpifrance pour l’obtention d’un crédit. La banque publique d’investissement se portera garante de tous les prêts de trésorerie dont elles pourraient avoir besoin à cause de l’épidémie. Déjà mise en place durant la crise des gilets jaunes et l’épidémie de grippe H1N1 en 2009, elle lui permet de faire un point quotidien avec tous les acteurs concernés. Bruno Le Maire doit également rencontrer plusieurs experts le 4 mars. « Je veux m’appuyer sur l’expertise des économistes pour avoir l’évaluation la plus précise possible de l’impact à court terme et des conséquences à long terme de cette épidémie », a-t-il précisé lors d’un point presse. Dans un communiqué, le Medef s’est satisfait des mesures annoncées par le ministère de l’Économie. Précédemment, le gouvernement avait déjà décidé de maintenir les mesures d’étalement de charges fiscales et sociales, d’activité partielle ou de dérogations sur les heures supplémentaires, déjà mises en place lors du mouvement des gilets jaunes et des grèves contre la réforme des retraites. Les donneurs d’ordres sont également invités à faire preuve de solidarité en n’appliquant pas de pénalités de retard à leurs fournisseurs. Bercy étudie aussi la possibilité de considérer le coronavirus comme un cas de force majeure, ce qui permettrait aux entreprises concernées de surseoir à leurs obligations contractuelles. Source.
Former Brazilian president Luiz Inacio Lula da Silva (C) flanked by Paris Mayor and candidate for re-election Anne Hidalgo (L) and Former Brazilian president Dilma Rousseff (R) is named honorary citizen of the city of Paris during a ceremony at the City Hall of Paris, on March 2, 2020.
Prise de vue: Lundi 2 mars 2020, à 18 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 240 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/100 sec, f/4, ISO 400, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé: 205 mots. La Ville de Paris a décidé en septembre 2019 d’attribuer la citoyenneté d’honneur à l’ancien président brésilien Lula, qui purge actuellement une peine de prison, pour son engagement dans la réduction des « inégalités sociales et économiques » dans son pays. Cette distinction à été décernée à Lula le 2 mars 2020 dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris, en présence de l’ancienne Présidente du Brésil Dilma Roussef et de l’ancien maire de Sao Paolo Fernando Hadda. « Lula s’est illustré par sa politique volontariste de lutte contre les discriminations raciales particulièrement marquées au Brésil », ajoute la mairie de Paris, estimant qu’« à travers son engagement politique, ce sont tous les défenseurs de la démocratie au Brésil qui sont attaqués ». Luiz Inacio Lula da Silva, 73 ans, président du Brésil de 2003 à 2010, purge une peine de huit ans et dix mois de réclusion depuis avril 2018 pour corruption. L’ex-président de gauche n’a cessé de se dire victime d’un complot politique pour l’empêcher de revenir au pouvoir alors qu’il était le grand favori de l’élection présidentielle d’octobre 2018 qui a vu la victoire du candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro. Source.
Feminist activists holding signs and red flares demonstrate outside the Salle Pleyel in Paris as guests arrive for the 45th edition of the Cesar Film Awards ceremony on February 28, 2020. The academy organising France's Cesar awards is going through a crisis after the entire board resigned amid calls for reform and a row over the long-running Roman Polanski scandal. The Cesar Academy has been under fire since the end of January after Roman Polanski's film "An Officer and a Spy" (J'accuse) topped the list of nominations for this year's Cesar awards, due to be handed out on February 28.
Prise de vue: Vendredi 28 février 2020, à 18 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 640, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé: 175 mots. Devant la salle Pleyel, ce vendredi 28 février 2020, les féministes ne mâchaient pas leur mots : “Violanski”, “Pas de César pour un violeur”. Plusieurs collectifs féministes se sont donné rendez-vous aux abords de la salle où avait eu lieu la 45e cérémonie des César pour s’opposer aux nombreuses nominations reçues par Roman Polanski et l’équipe du film « J’accuse ». La manifestation avait débuté aux alentours de 18 h, vers l’avenue Hoche, mais vers 19 h 30, des personnes avec des fumigènes ont tenté d’approcher de la salle Pleyel protégée par des policiers et des barrières métalliques en criant « enfermez Polanski ». Roman Polanski et l’équipe de son film « J’accuse », y compris l’acteur Jean Dujardin qui joue le rôle principal, ont décidé de ne pas se rendre à la cérémonie des César alors que ce long métrage sur l’Affaire Dreyfus a récolté douze nominations. Roman Polanski est visé par plusieurs accusations de viol et est toujours poursuivi par la justice américaine pour relations sexuelles illégales avec une mineure en 1977. Source.
Paris Mayor and candidate for re-election Anne Hidalgo gestures as she delivers a speech during a campaign meeting at the Elysee Montmartre venue in Paris, on February 26, 2020, ahead of March 2020 mayoral elections in France.
Prise de vue: Mercredi 26 février 2020, à 21 h. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 200, Compensation: -2. Flash: non
Résumé: 278 mots. À dix-huit jours du premier tour des élections municipales, Anne Hidalgo, qui fait toujours la course en tête dans les sondages devant Rachida Dati et Agnès Buzyn a donné son premier meeting ce mercredi soir. Près d'un millier de sympathisants et de militants se sont déplacés à l'Élysée-Montmartre pour soutenir la maire sortante de Paris. Pour cet unique meeting avant le premier tour des élections municipales à Paris le 15 mars, de nombreuses personnalités ont été réunies. L'humoriste Christophe Alévêque, connu pour son engagement à gauche, qui est monté sur scène pour parodier les programmes des principales adversaires d'Anne Hidalgo sous les rires de la salle chauffée à bloc par l'ex-journaliste Audrey Pulvar, porte-parole de la candidate. Veste noire sur chemisier blanc, affichant un large sourire et une détermination sans faille, Anne Hidalgo a fait son entrée sous les acclamations de la salle. Elle a rappelé l'accord de Paris sur le climat de la COP 21 qui a réuni 1000 maires à l'Hôtel de Ville, la victoire de la candidature de Paris pour les Jeux olympiques de 2024, son bras de fer avec « les lobbys » qui lui disaient qu'ils lui « feraient payer l'interdiction du diesel », la piétonnisation des berges de Seine. Elle a fait allusion aussi aux « moments où Paris a souffert ». Elle a évoqué les mesures pour favoriser la nature en ville avec la création de quatre nouveaux grands parcs, la transformation du périphérique ou encore la création d'un Paris 100% cyclable. Anne Hidalgo a aussi rappelé les valeurs qui « font l'identité » de Paris et tout particulièrement la lutte contre les discriminations. Source.
Former French Prime minister Francois Fillon (C-L) and his wife Penelope (C-R) arrive at Paris' courthouse, on February 26, 2020, for the opening hearing of their trial over claims they embezzled over one million euros in an alleged fake-jobs fraud. Investigators suspect that Fillon, 65, hired his Welsh-born wife Penelope as his parliamentary assistant between 1998 and 2013, without having her do any actual work.
Prise de vue: Mercredi 26 février 2020, à 13 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 6400. Flash: non
Résumé: 187 mots. Après le renvoi de la première journée d’audience, lundi 24 février, le procès de François Fillon, Pénélope Fillon et de l’ancien suppléant à l’Assemblée nationale, Marc Joulaud, démarre mercredi 26 février 2020 après-midi au tribunal correctionnel de Paris. Les époux Fillon et Marc Joulaud sont jugés dans le cadre de l’affaire des soupçons d’emplois fictifs de Pénélope Fillon. Les juges d’instruction, qui ont enquêté pendant plus de deux ans, ont acquis la conviction que Pénélope Fillon, 64 ans, avait bénéficié d’emplois dits « fictifs » d’assistante parlementaire auprès de son mari, mais aussi auprès de son suppléant dans la Sarthe, Marc Joulaud. François Fillon est renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris principalement pour « détournement de fonds publics », à l’instar de Marc Joulaud, son ancien suppléant à l’Assemblée nationale. Pénélope Fillon est quant à elle jugée pour complicité et recel de ce délit. Le couple Fillon est également jugé pour complicité et recel d’abus de biens sociaux, dans le cadre de l’emploi de Pénélope Fillon comme conseillère littéraire au sein de La Revue des deux mondes. Source.
French member of Parliament and President of the far-right Rassemblement National (RN) party Marine Le Pen (C) visits the international Agriculture Fair in Paris on February 25, 2020.
Prise de vue: Mardi 25 février 2020, à 10 h 39. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 120 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/160 sec, f/2.8, ISO 640, Compensation: -5/3. Flash: non
Pour le cinquième jour de sa 57e édition, ce mardi 25 février 2020, le Salon international de l’agriculture (SIA) était visité par Marine Le Pen. La présidente du Rassemblement national, qui a déjà annoncé sa candidature à l’élection présidentielle de 2022, est une habituée de cette « grande messe agricole », où elle passe tous les ans. Lors de son déplacement, la députée du Pas-de-Calais a dénoncé l’attitude du gouvernement à propos du coronavirus, affirmant que “l’ensemble des mesures de protection n’ont pas été prises” et que “la frontière est un élément de protection des populations, quelle que soit la situation”. Elle a réclamé au gouvernement “des mesures plus sérieuses” face au coronavirus, dénonçant une “incohérence totale” de la France dans sa gestion du risque du coronavirus et réclamant de nouveau des contrôles aux frontières. “Les Français ne sont pas des enfants, il faut leur dire la vérité. Ne pas leur dire la vérité c’est en réalité aggraver le sentiment de danger de la population”, a accusé la présidente du Rassemblement national.
French President Emmanuel Macron (C) visits the 57th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, France, on February 22, 2020.
Prise de vue: Samedi 22 février 2020, à 9 h 39. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 150 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitese, 1/125 sec, f/4, ISO 125, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 199 mots. L’enjeu était de taille pour Emmanuel Macron, à quelques semaines d’un scrutin décisif pour la majorité : à Paris, samedi 22 février, le président a inauguré le 57e Salon international de l’agriculture, au lendemain de l’échec de négociations européennes cruciales pour les agriculteurs. À peine arrivé sur place, vers 8 h 15, le chef de l’État avait été interpellé par des représentants de la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, et des Jeunes Agriculteurs, qui lui ont dit attendre « des messages forts ». Peu après, lors de sa déambulation, Emmanuel Macron a déclaré : « Rien ne doit justifier des actions contre nos paysans, rien. Et je serai intraitable sur le sujet ». Un agriculteur l’a remercié de n’avoir « rien lâché hier soir » : Emmanuel Macron est revenu vendredi de Bruxelles, où se négociait le budget de l’Union européenne pour la période 2021-2027, sans accord sur le maintien de l’enveloppe de la politique agricole commune, dont il a fait sa priorité. « Nous n’avons pas sacrifié la politique agricole commune et je l’ai dit très clairement : ce n’est pas la PAC qui peut payer pour le Brexit », avait déclaré Emmanuel Macron à son départ du sommet. Source.