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C’est à bord d’une DS7 Crossback qu’Emmanuel Macron a redescendu l’avenue des Champs-Elysées le dimanche 14 mai 2017, après avoir déposé une gerbe sur le tombeau du Soldat inconnu, après sa cérémonie d’investiture.
Le nouveau modèle du constructeur PSA, couleur « bleu encre », est équipé exceptionnellement d’un toit ouvrant. Avec la DS 7 Crossback, le nouveau président fait un clin d’œil au Général de Gaulle qui roulait dans une Citroën DS ainsi qu’à François Hollande qui a défilé en 2012 à bord d’une DS 5 HYbrid 4. Bien que ce dernier ait troqué sa DS 5 pour un Renault Espace, il vient de quitter le palais de l’Elysée sur la banquette arrière… de son ancienne DS 5 restylée !
En choisissant un SUV, tant décrié par les écologistes, le huitième
président de la République marque déjà les esprits. C’est aussi le premier à circuler à bord d’une voiture autonome puisque le DS 7 Crossback Présidentiel est équipé du DS Connected Pilot. Le président a aussi le privilège de tester la nouvelle suspension Active Scan Suspension qui adapte l’amortissement au profil de la route. Pratique sur les pavés des Champs-Elysée ! Ce modèle unique accueille quelques aménagements : porte-drapeau, signatures de la République Française sur la console centrale et les logos apposés sur la carrosserie et un toit découvrable, en lieu et place du toit en verre panoramique.
L’habitacle est habillé d’une sellerie en cuir noir Art Leather et se distingue surtout par une Toile de Laque conçue par l’Atelier Maury.
French President Emmanuel Macron waves under the rain as he parades in a car on the Champs Elysees avenue in Paris after his formal inauguration ceremony as French President on May 14, 2017.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (6 photos DS 7).
Dimanche 14 mai 2017, aux alentours de 12 h 30, Emmanuel Macron a remonté l’avenue la plus célèbre du monde à bord d’un véhicule militaire, saluant la foule sourire aux lèvres et main levée.
Il s’est ensuite rendu sur la tombe du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe, où il a déposé une gerbe de fleurs. Juste avant de quitter l’Elysée, il avait passé en revue les troupes militaires tandis que 21 coups de canon étaient tirés depuis l’Esplanade des Invalides, sur l’autre rive de la Seine.
Pour remonter les Champs-Elysées, Emmanuel Macron a choisi
un véhicule de commandement militaire, ou « Command car ». Plus précisément un VLRA (Véhicule de Liaison, de Reconnaissance et d’Appui), modèle généralement utilisé par les présidents lors des cérémonies du 14 juillet. Ce choix marque une rupture avec les autres présidents de la République, qui avaient remonté l’avenue parisienne à bord de véhicules civils. Charles de Gaulle, Jacques Chirac et François Hollande s’étaient rendus à la tombe du soldat inconnu à bord d’une Citroën. En 2007, Nicolas Sarkozy avait lui opté pour une Peugeot 607. Valéry Giscard d’Estaing avait quant à lui préféré remonter l’avenue à pied.
French President Emmanuel Macron waves under the rain as he parades in a car on the Champs Elysees avenue in Paris after his formal inauguration ceremony as French President on May 14, 2017.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (14 photos command-car).
60 blocs de béton d’1,5 tonne destinés à empêcher l’intrusion de véhicules ont été installés devant chacune des issues du marché de Noël installé sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris.
Ce marché, un des plus fréquentés de France, reçoit chaque année, avec ses 200 chalets, près de 15 millions de visiteurs.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (17 photos).
À cinq jours du traditionnel défilé militaire du 14 juillet, les préparatifs et répétitions vont bon train sur les Champs-Elysées. L’ultime répétition du défilé aérien s’est déroulée le 9 juillet 2013.
Les passants ont été agréablement surpris d’observer des aéronefs militaires évoluant en formation dans le ciel parisien. La répétition a débuté à 15 h 30 par un passage d’avions de chasse, de transport et d’école, au-dessus de l’avenue des Champs-Élysées, et s’est terminée une heure plus tard, par un défilé d’hélicoptères.
À cette occasion, un dispositif a été déployé au sommet de l’Arc de Triomphe pour assurer la sûreté aérienne et le contrôle.