Most trains do not operate as shown on the display panel in Paris Gare Saint-Lazare during a strike of Paris public transports operator RATP and public railways company SNCF employees against French government's plan to overhaul the country's retirement system, as part of a national general strike in Paris on December 5, 2019.
Prise de vue: Jeudi 5 décembre 2019, à 8 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 1250, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 186 mots. La grève du jeudi 5 décembre 2019 contre la réforme des retraites a été particulièrement suivie, avec 806.000 manifestants à travers toute la France, selon les chiffres officiels. L’appel à la mobilisation, initialement lancé dans les transports, à la SNCF et à la RATP, a été relayé ces dernières semaines par de nombreuses catégories professionnelles, du public et du privé. Parmi les mobilisations massives, les autorités ont compté au moins 33.000 personnes à Toulouse, 25.000 à Marseille, 20.000 à Lyon, Montpellier et Bordeaux. Le départ de la manifestation parisienne, prévu à 14 heures de la gare du Nord pour rallier la place de la Nation, a été retardé en raison du grand nombre de personnes rassemblées en tête de cortège. Malgré tout, des incidents ont éclaté peu avant 16 heures. Une remorque de chantier a été retournée et incendiée, et plusieurs vitrines brisées non loin de la place de la République, où des manifestants sont restés bloqués environ trois heures. Les forces de l’ordre y ont essuyé des jets de projectile auxquels elles ont répliqué par des tirs de lacrymogène. Source
A publicity pane is destroyed during a demontration to protest against the pension overhauls, in Paris, on December 5, 2019 as part of a national general strike. Trains cancelled, schools closed: France scrambled to make contingency plans on for a huge strike against pension overhauls that poses one of the biggest challenges yet to French President's sweeping reform drive.
Prise de vue: Jeudi 5 décembre 2019, à 15 h 45. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 5000, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 222 mots. La manifestation contre la réforme des retraites devait s’élancer à 14 h à Paris le 5 décembre 2019 depuis la gare du Nord et la gare de l’Est. Mais le cortège a été retardé dès le début, notamment en raison de la formation d’un black bloc au niveau de la place de la République. Vers 15 h 30, environ 500 « éléments radicaux » se sont réunis sur la place, laissant place à des tensions, endommageant des caméras de télévision et déclenchant un incendie devant la Bourse du Travail, en haut de la rue du Château d’eau. Déjà en début d’après-midi, « 200 ultra-jaunes et ultra-gauches » avaient été dispersés par la police après s’être réunis place de la République. D’autres affrontements ont éclaté entre jeunes cagoulés, « gilets jaunes » et forces de l’ordre en marge de la manifestation lyonnaise. En milieu d’après-midi, la police avait procédé à 71 interpellations et le parquet de Paris recensait 41 personnes gardées à vue en marge de la mobilisation. Des heurts ont de nouveau éclaté à l’arrivée du cortège place de la Nation, avant que la foule ne soit dispersée vers 19 heures. La préfecture de police de Paris avait décidé de fermer tous les commerces sur le parcours, et ce jusqu’à la fin prévue de la manifestation.
French High Commissioner for Pension Reform Jean-Paul Delevoye (C) and General Secretary of CGT union Philippe Martinez (R) take part in a debate on the theme of the French pension reform during the annual "Fete de l'humanite" music festival organised by French newspaper L'Humanite in the Paris suburb of La Courneuve on September 14, 2019. The move to a universal points-based pension system would remove the most advantageous pensions for a range of jobs ranging from sailors to notaries and including Paris opera workers.
Prise de vue: Samedi 14 septembre 2019, à 13 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 33 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 200. Flash: non
Résumé : 95 mots. Jean-Paul Delevoye, le haut-commissaire aux retraites, a défendu samedi 14 septembre 2019 le projet de réforme des retraites du gouvernement face au patron de la CGT Philippe Martinez, au cours d’un débat tendu, à la Fête de l’Humanité. L’un des modérateurs de la discussion, le directeur de la rédaction de L’Humanité Patrick Apel-Muller, a dû plusieurs fois tempérer les invectives et les huées d’une partie des centaines de personnes dans l’assistance, au lendemain d’une grève contre le projet de réforme très suivie à la RATP.
Different trade union members gather inside Paris public transports operator headquarters La Maison de la RATP in Paris on September 13, 2019 during a one-day strike of RATP employees over French government's plan to overhaul the country's retirement system.
Prise de vue: Vendredi 13 septembre 2019, à 8 h 40. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/4, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 70 mots. Plusieurs centaines d’agents de la RATP se sont rassemblés vendredi 13 septembre 2019 au siège de l’entreprise pour protester « tous ensemble » contre la réforme des retraites et la disparition de leur régime spécial, alors que le trafic était très perturbé par une grève massive. À l’intérieur du bâtiment, les responsables syndicaux ont salué au micro l’ampleur de la mobilisation, d’un niveau jamais vu depuis 2007.
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Protesters march near the Opera House during a demonstration called by pensioners' unions on October 18, 2018 in Paris, to demand pensions' increase and protest against the French government policy.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 235 mots. Après la hausse de la CSG, la baisse des pensions. Les retraités sont, à nouveau, appelés à manifester « massivement », ce jeudi 18 octobre 2018, contre les choix budgétaires du gouvernement. Les neuf syndicats et associations de retraités (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR et UNRPA), qui ont convoqué cette quatrième journée de «mobilisation générale», espèrent égaler, voire dépasser, la mobilisation du 15 mars, avec « environ 200.000 manifestants dans 162 manifestations », selon Gérard Gourguechon, de l’UNIRS-Solidaires. Leur première revendication reste l’annulation de la hausse de la CSG, entrée en vigueur en janvier et non compensée pour environ 60 % des 16 millions de retraités, qui financent ainsi les baisses de cotisations pour les salariés. En mars dernier, Edouard Philippe avait, en partie, rétropédalé en promettant une « correction » pour « 100.000 couples » aux revenus modestes. La mesure inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019 concernera finalement « 350.000 foyers ». Pour certains députés LREM, cette révision est insuffisante. Ces derniers ont adopté, mardi, un amendement introduisant « plus de progressivité dans les taux de CSG » pour les retraités. La seconde revendication, c’est la sous-revalorisation des retraites de base. Les pensions versées par l’Assurance vieillesse, jusqu’alors indexées sur l’inflation, n’augmenteront que de 0,3 % en 2019 et en 2020, quand la hausse des prix devrait atteindre 1,3 %.