Railway worker wearing jacket of France's national state-owned railway company (SNCF) from the Chatillon TGV Technicentre speaks with press as he protests in front of the headquarters of the SNCF company, in Saint-Denis, near Paris, on October 29, 2019. Originally a local strike in Chatillon that was expressed without notice and without the approval of unions.This spontaneous movement risks calling others before the mobilization day of December 5th. 7 Atlantique TGV out of 10 did not circulate this Monday since the Montparnasse station.
Prise de vue: Mardi 29 octobre 2019, à 14 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 250, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 134 mots Après un rassemblement de moins de deux heures devant le siège de la SNCF à Saint-Denis, quelques dizaines de grévistes du technicentre de Châtillon ont voté la reconduction du mouvement social, débuté lundi 21 octobre 2019. De quoi entraîner de fortes perturbations sur la circulation des trains. Et cela devrait donc se poursuivre au cours des prochains jours. Une semaine après le début de la grève, les grévistes entendaient faire avancer le dialogue avec la direction, avec qui le contact est rompu depuis plusieurs jours. « On aurait pu sortir du conflit dès mercredi, mais il n’y a plus de contact depuis vendredi », expliquait Elvis Thoyer, gréviste du technicentre de Châtillon, en charge de la maintenance des systèmes de sécurité sur les trains. Une fin de non recevoir a été opposée aux grévistes. Source.
Alliance police union members hold flags during a demonstration in front of the leftist party La France Insoumise (LFI) headquarters in Paris on September 26, 2019 after the party's leader Jean-Luc Melenchon called policemen "Barbarians" during a demonstration on September 24.
Prise de vue: Jeudi 26 septembre 2019, à 10 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 1000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 235 mots. Une centaine de policiers se sont rassemblés à l’appel du syndicat Alliance, le jeudi 26 septembre 2019 en fin de matinée, devant le siège de la France Insoumise pour dénoncer les propos de son chef de file, Jean-Luc Mélenchon, qui a qualifié de « barbares » les forces de l’ordre. « C’est la première fois que nous manifestons devant le siège d’un parti politique. Maintenant ça suffit, il faut que les provocations de M. Mélenchon cessent », a déclaré Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat de gardiens de la paix et gradés. « C’est maintenant à la justice d’apprécier l’infraction mais nous nous porterons partie civile », a annoncé le syndicaliste après l’annonce par Christophe Castaner du prochain signalement à la justice des propos incriminés. « Je ferai ce que l’on appelle un article 40 et je demanderai au procureur de la République, comme je le fais chaque fois que les policiers sont mis en cause, d’étudier et de voir la faisabilité d’une poursuite », a déclaré le ministre jeudi. Ces propos ont immédiatement fait réagir des syndicats de policiers, le ministre de l’Intérieur, son secrétaire d’État et le préfet de police de Paris. « J’assiste tous les samedis , je ne suis pas black bloc et je vois des gens se prendre des coups, être trainés par terre », a fait valoir Corinne qui se présentait comme une Gilet jaune. Source
Different trade union members gather inside Paris public transports operator headquarters La Maison de la RATP in Paris on September 13, 2019 during a one-day strike of RATP employees over French government's plan to overhaul the country's retirement system.
Prise de vue: Vendredi 13 septembre 2019, à 8 h 40. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 sec, f/4, ISO 1250, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 70 mots. Plusieurs centaines d’agents de la RATP se sont rassemblés vendredi 13 septembre 2019 au siège de l’entreprise pour protester « tous ensemble » contre la réforme des retraites et la disparition de leur régime spécial, alors que le trafic était très perturbé par une grève massive. À l’intérieur du bâtiment, les responsables syndicaux ont salué au micro l’ampleur de la mobilisation, d’un niveau jamais vu depuis 2007.
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McDonald's employees and union members hold placards reading « We want equal rights for all » and « popular districts in revolt" as they protest against the tax evasion and the low salary outside the headquarters of the compagny in France, on October 23, 2018, in Guyancourt, in the south of Paris. France has the second-highest number of McDonald’s restaurants in Europe. In 2018 a rash of protests broke out against the company, with current and former employees lobbying for pay increases.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Pour « l’augmentation des salaires » et le « respect des libertés syndicales », une centaine de personnes – 80 selon une source policière, plus de 150 selon les organisateurs – dont des salariés venus de Marseille, ont manifesté mardi 23 octobre 2018 devant le siège de McDonald’s France à Guyancourt (Yvelines), demandant « l’égalité des droits pour tous partout ». Cette manifestation à l’appel des syndicats CFDT, CGT et SUD de l’entreprise de restauration rapide, avec le soutien d’associations comme Attac, intervient alors qu’à Marseille des salariés sont en lutte depuis ce printemps contre le projet de cession de six restaurants. Avec cette « McManif », le personnel de l’enseigne entendait revendiquer « la fin du temps partiel imposé et l’augmentation des salaires », « le respect des libertés syndicales » et « l’arrêt de l’évasion fiscale par laquelle la compagnie spolie les salariés et la collectivité », selon ses organisateurs. « McDonald’s ne peut traiter plus longtemps par le mépris ces revendications », ont-ils annoncé dans un communiqué.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Lundi 4 décembre 2017, à 8 h 55. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/7.1, ISO 12800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Des membres du personnel de l’AP-HP (Assistance publique-hôpitaux de Paris) se sont rassemblés devant le siège de l’établissement le lundi 4 décembre 2017 à Paris, lors du Comité
technique d’Etablissement central (CTEC) extraordinaire où devait être présenté le bilan de l’organisation du temps de travail (OTT), contesté par les organisations syndicales…
Protesters gather outside the headquarter of Assistance publique and Hôpitaux de Paris or AP-HP, public hospital system of Paris, France on December 4, 2017, with banner and mock coffins to demand better working conditions in the hospital chains.
À l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, le siège du Parti communiste français, place du Colonel Fabian, à Paris, ouvrait ses portes les 19 et 20 septembre 2015. Œuvre de l’architecte brésilien Oscar Niemeyer, qui en dressa l’esquisse dès 1965, l’immeuble fut achevé en 1971, tandis que la coupole, le parvis et le hall souterrain ne le furent qu’en 1979-1980. Situé « place du Colonel-Fabien », le lieu porte sémantiquement les mêmes initiales que le nom du parti (PCF). Pour assurer de nouvelles ressources financières au parti, Robert Hue a permis l’organisation au siège d’un défilé de la marque Prada, premier d’une longue série dont le dernier est celui de Thom Browne, en 2010. Alain Souchon y a également organisé un clip et une partie des locaux ont été loué « à un bureau d’architectes, à un studio de design et à une maison de production ». En 2012, des scènes du film « De l’autre côté du périph » y ont été tournées et en 2013, de « 20 ans d’écart » et de « L’Écume des jours ». Il est classé au titre des monuments historiques depuis le 26 avril 2007.
French Communist Party headquarters are pictured during the Journées Européennes du Patrimoine (European Heritage Days) in Paris on September 20, 2015. The building has been designed by Brazilian architect Oscar Niemeyer.