Ces derniers jours à Paris s’est formé un nouveau campement abritant 2 000 à 2 500 migrants. Vendredi 28 octobre 2016, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a promis que ce camp serait démantelé dans les jours qui viennent. Le ministre, qui s’exprimait lors de la visite d’un centre d’accueil et d’orientation, a démenti que la plupart de ces migrants soient venus de Calais, où le campement qui abritait plus de 6 000 personnes a été presque entièrement démantelé.
Refugees carrying their belongings camp along avenue de Flandre, Place de la Bataille-de-Stalingrad in Paris, France on October 29, 2016. The neighborhood has seem an increased number of incoming refugees after the demolition of Calais' Jungle camp. Interior Minister Bernard Cazeneuve has promised on Friday that this camp would be dismantled in the coming days.
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Une cérémonie était organisée place de la bataille de Stalingrad, dans les 10e et 19e arrondissements de Paris, le samedi 2 février 2013 après-midi pour commémorer la fin de cette bataille. La bataille de Stalingrad désigne les combats qui ont eu lieu du 17 juillet 1942 au 2 février 1943 pour le contrôle de cette ville, baptisée aujourd’hui Volgograd, entre les forces de l’Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich. Elle reste dans les mémoires pour l’âpreté des combats urbains, n’épargnant ni civils ni militaires, ainsi que pour son impact psychologique et symbolique. En termes de pertes humaines, environ 250.000 soldats des forces de l’Axe ainsi que 480.000 soldats soviétiques trouvèrent la mort, sans compter le nombre toujours inconnu de civils tués (estimé à 250.000) ni celui encore plus élevé des blessés (de l’ordre de 800.000).
Étaient présent à cette cérémonie parisienne Alexandre Orlov, l’ambassadeur de Russie en France, plusieurs officiers généraux et officiers supérieurs de l’armée russe, ainsi que le chef d’entreprise et homme politique Serge Dassault, ancien interné au camp de Drancy.