Parce que mon voisin à repeint sa façade au pinceau toute la semaine…
et puis aussi un peu pour vous le mettre dans la tête pour la journée !
37°2 le matin
Jean-Jacques Beneix – 1986 - Musique Gabriel Yared
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Parce que mon voisin à repeint sa façade au pinceau toute la semaine…
et puis aussi un peu pour vous le mettre dans la tête pour la journée !
37°2 le matin
Jean-Jacques Beneix – 1986 - Musique Gabriel Yared
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Un petit tatoo vaut mieux qu'un long discours
Je me suis trompé…
Quand des papillons bleu et rose ont commencé à se poser sur les épaules des jeunes femmes, j'ai cru à une mode passagère… Et puis les papillons se sont peu à peu mués en vagues cachets sanitaires bavouilleux*, mais la mode a persisté malgré tout. Si bien que voila maintenant le tatouage féminin érigé en archétype social.
C'est dans Var-Matin que le phénomène m'est clairement apparu. Au lendemain de la ruée sur la pâte à tartiner Nutella on a pu lire le reportage suivant :
« J'ai vu la cheffe de caisse en pleurs. On s'est fait insulter. Ça criait, décrit Fabienne, blonde tatouée responsable du rayon presse ».
On a la description elliptique à Var-Matin !
* Voir le ► Mot du Jour indélébile du 30 mai 2012
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Erratum
Jean-Pierre Pernaut figurait par erreur sur l’illustration d'hier. Cette semaine, sans doute en reportage d'investigation sur le marché de Davos, il a laissé Jacques Legros, sa doublure officielle, mouiller le pantalon à sa place au pont de l'Alma.
* Non, c’est pas une faute… Les Lyonnais comprendront.
Les pieds humides expliqués aux non-Lyonnais Pour le Pied humide, je me souviens de ceux du Cours de Verdun… ► Pied humide (ou Pieds humides) est le ► surnom lyonnais donné aux buvettes en plein air de ► Lyon ←Pied humide du Pont Bonaparte |
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Le Mot du Jour du 4 juin 2016
- recyclé, modifié, complété –
Le 13 h Le 20 h
Inondations à Paris : Le zouave du pont de l'Alma sur toutes les chaînes…
► Sam 04.06.2016. Le Mot du Jour (submergé) 🛈Sur jfsaby.com
Sur l'actualité du vendredi 3 juin 2016.
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David vs Goliath
Parmi les unités de mesure en vigueur dans la médiasphère, on connaissait la Tour-Eiffel pour mesurer les hauteurs et le Terrain-de-foot pour apprécier les surfaces. Nous avons maintenant une mesure de volume : la Piscine-olympique, unité bien pratique pour estimer les débits liquides. Ainsi, on apprenait hier au JT de 13 H que, afin d'assécher les tunnels du RER, on installait des pompes capables d'évacuer 3 Piscines-olympiques par heure ! Impressionnant, non ?
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On pavoise au Mot du Jour !
Voilà que deux de nos têtes d’affiche récurrentes unissent leurs talents pour organiser un évènement de portée nationale !
Et dans la région couverte par Var-Matin, le choix va être déchirant ! Pensez. Il y a le marché du Cours Salaya, à Nice, depuis lequel Jean-Pierre nous rappelle chaque été et plutôt deux fois qu'une, la recette de la VRAIE salade niçoise. Il y a le marché du Cours Lafayette, à Toulon, si cher au cœur de Gilbert Bécaud. Il y a le marché de Sanary, juste en face du Ritz si cher à mon cœur…
Mon choix personnel ira cependant à un marché de Nouvelle Aquitaine (Mais si… Vous savez bien, cette région qui s'étend de Biarritz à Nantes et à Clermont-Ferrand) car c'est bien sûr en souvenir de mon cher Tonton Georges que j’élirai le marché de Brive-la-Gaillarde !
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À Pasteur
« Le vin est la plus saine et la plus hygiénique des boissons »
Bandeau conservé en souvenir de Cabu
Cette vignette de Lefred-Thouron, dans le Canard Enchaîné (17/01/18) nous ramène à l'époque où boire du vin était élevé au rang d'acte patriotique…
Les « réclames » au dos de cette affiche sont datées de 1907. Elles auront peut-être un jour les honneurs du Mot du Jour…
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Tics de langage
Pour une fois que je comprends l'humour souvent hermétique de Sempé, je vous en fais profiter :
— Je vais purifier mes poumons, et ma tête surtout : rejeter de mon cerveau ces mots usés comme sont rejetés ces galets uniformisés, sans identité.
Exemple : « incontournable » ? Je rejette le mot « incontournable » ! « Au niveau de » je n'en veux plus non plus. Je gèrerai mon temps en fonction de cet exercice quotidien (« gérer » à éliminer aussi). Ce sera dur mais, je l'espère, « globalement positif » (ça aussi je vais le liquider). C'est nécessaire pour la rédaction de mon livre qui « mettra les pendules à l'heure ». (pendules à l'heure, quelle expression !) Ce livre sera la récompense de ma vie, la « cerise sur le gâteau ».
Qu'est-ce que je raconte encore ! Il n'y aura pas de gâteau, ni de cerise non plus !
Paris-Match 18/01/18
Et « en même temps », je suis bien d'accord avec lui !
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Un classique en raccourci
Souvent, après déjeuner, entre Jean-Pierre Pernaut et la sieste, je m'offre une parenthèse cinématographique sur Arte.
Hier, c'est une version à grand spectacle en Technicolor du Cid qui a bercé ma somnolence post-prandiale.
Mais ce ne sont ni la mâchoire au carré de Charlton Heston, ni la bouche pulpeuse ou le buste agressif de Sophia Loren qui ont pu empêcher mes paupières de tomber, à peine le bellâtre venait-il de trucider son ex-futur beau-père.
Hollywood n'a pas réussi à rendre plus digeste la grandiloquence du père Corneille et pire, le scénario se perd dans d'inutiles digressions qui n'en finissent pas.
Au début du siècle dernier, on savait faire plus concis. Trois quatrains et une chute et tout est dit :
LE CID
Le palais de Gormas, comte et gobernator Invoquant à genoux les deux saints Paul et Pierre Mais un éclair, soudain, fulgure en sa prunelle « Dieu, soupire à part soi la plaintive Chimène, |
Georges Fourest (1864-1945)
In “La Négresse blonde” (1909)
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Chatteries
J’ai déjà eu l’occasion de confesser ici que j’écrasais chaque matin nombre de chatons-mignons (sur Face Book s’entend !). Aujourd’hui, ce partage d’une récente lecture me permettra peut-être de me faire pardonner ce massacre quotidien :
« Spectaculaire, le chat lui offrait une fabuleuse parade où il constituait un zoo à lui tout seul : tigre lorsqu'il baillait, guépard quand il s'étirait, il bombait le dos et devenait dromadaire; en guettant ses proies, il virait au lion, gonflait son jabot de grand-duc, démarrait plus vite que l'antilope, sautait en crapaud, empruntait la fixité du lézard, grattait aussi profond qu'un renard, puis se transformait en écureuil dès qu'il jouait avec une noisette entre les pattes; épuisé, il s'aplatissait alors comme une limace.
De temps en temps, pour l'intriguer davantage, il se risquait à des métamorphoses humaines : passant et repassant ses coussinets roses sur son museau, il évoquait un innocent bébé à sa toilette ; ou bien, la cuisse dressée vers le ciel, occupé à se lécher le bas-ventre, il se risquait à des figures de french cancan, atteignait l'indécence sulfureuse d'une Nini Patte-en-l'air qui réussit le « port d'armes ».
Éric-Emmanuel Schmitt
La vengeance du pardon – 2017
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Juste un constat
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Ça peut servir !
Un lecteur du Mot du Jour installé à l'étranger me fait part de difficultés à accéder aux liens Internet et nous propose une solution :
Un grand merci Jackie !
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Pour le p’tit coup d’harmonica au réveil…
Le train sifflera trois fois
Ça décrasse les tympans, hein… Mais c'est moins tristouille que la « Complainte de la saucisse » du temps des colonies de vacances… (Si toi, saucisse, tu m'abandonnes…)
Fred Zinnemann – 1952
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La fête en abyme
Il n'est pas rare de constater (déplorer ?) que nos congénères homo-smartphonicus ne contemplent plus la réalité qu'à travers l'écran de leur téléphone…
Le phénomène devient farce lorsqu'à la télé on nous fait vivre l'évènement non plus « en direct », mais par le biais de la retransmission de l'image de l'écran du smartphone d'un témoin de la scène…
Pourquoi me priverais-je du plaisir de rajouter un étage à ce mille-feuilles en vous infligeant moi-même, à travers l'écran de votre ordinateur, la capture d'écran de la télé montrant l'évènement à travers l'écran du smartphone d'un témoin que l'on qualifiera peut-être d'oculaire ?
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