Faudra-t-il bientôt un permis de port d’arme ?
Var-Matin du jour
– et un coup de chapeau au dessinateur de ce croquis d’audience original !
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Faudra-t-il bientôt un permis de port d’arme ?
Var-Matin du jour
– et un coup de chapeau au dessinateur de ce croquis d’audience original !
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Irène ou irène ?
François Cavanna – que je tiens pour un érudit – orthographie « irène » sur ses pages titres et sur la couverture.
Je ne pense pas qu’il ait laissé passer une telle coquille. Dans son récit, il écrit Irène (avec majuscule) : « Irène, Basileus Autokrator, César Auguste d’Orient et d’Occident, Egal (masculin) des Apôtres, Suprême Pontife… Et bientôt sainte Irène ». (p. 131)
Je n’ai pas trouvé d’explication à cette anomalie orthographique ? Serait-ce une acception d’irène en tant que nom commun se substituant, dans le titre, à basileus ?
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Blasphème (pas encore un délit)
Un extrait de « La couronne d’irène » roman historique de François Cavanna. (Belfond – 1983)
Vers l’an 800, le chevalier Renaud, Raymond, son écuyer et un moine évangélisateur conversent :
Renaud : — Le Paradis Terrestre se trouve au fin fond de l’Orient (…) [Pour y accéder] on doit prendre bien garde d’éviter les redoutables Amazones, qui sont des femmes mangeuses d’hommes tout crus qu’elles dévorent après s’en être fait aimer charnellement. (…)
Le moine demande :
— Ces femelles sont païennes, sans doute ? Ou pour le moins hérétiques ?
— Manger chair de chrétien n’est certes pas le fait de créatures baptisées, dit Renaud.
— Comment, s’étonne Raymond, Dieu ne serait-il pas chrétien ? Or, ne le mange-t-on pas chaque dimanche à la sainte messe ?
Renaud fronce le sourcil :
— Je n’arrive jamais à savoir si tu blasphèmes ou non, tant tu frôles le sacrilège de près. (…)
ITE MISSA EST…
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Comme son nom l’indique !
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Salut Camarades !
Pas dans mes habitudes de vous interpeller de cette manière… Mais hier je suis allé au cinoche.
Le film s’appelle « Les neiges du Kilimandjaro ». Il ne restera pas à l’affiche pendant des semaines, et il est peu probable qu’il passe à la télé avant trente ans et à 2 h du mat.
On a tous porté un bleu et on sait tous ce que veut dire le mot « ouvrier » (qui va bientôt sortir du dictionnaire), puis on a tous tracé notre route… Pas mon habitude non plus de faire du battage, mais ne ratez pas ce film…
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Le poète et le déménageur
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C’était écrit !
Il ne pouvait y avoir meilleure maison d’édition pour cette ancienne horizontale !
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Un impact cancérigène ou cancérogène * ?
* Nouvelle lubie de nos « communicants » : remplacer l’usuel cancérigène par un plus savant (?) cancérogène…
Cancérogène c'est ce qui est à l'origine d'un cancer, alors que cancérigène favorise l'apparition d'un cancer.
Par exemple, les rayonnements ionisants au dessus d'un certain seuil sont cancérogènes car ils provoqueront de façon tenue pour vraie et obligatoire un cancer, alors que le tabac est cancérigène c'est-à-dire qu'il provoque l'apparition d'un cancer mais pas de façon obligatoire. (Internet)
Mais ça se discute…
Mort au verbe « impacter » ! (Charb)
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Les 9 propositions des amis du Mot du Jour
Dimanche 20 novembre
« La publicité c’est fait pour que des gens qui n’en ont pas les moyens,
achètent des choses dont ils n’ont pas besoin » (d’après Beigbeder)
La bonne réponse était la proposition « C – Des canapés »
Mais toutes étaient plausibles…
Voir ci-dessus les mises en images des alternatives proposées par des amis du Mot du Jour.
Et, pour contrôle, suivre :
http://www.roche-bobois.com/#/fr-fr/home
– Partagé à l'aide de la barre d'outils Google
Bon dimanche !
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Une devinette
Nous n’en avions pas eu depuis lurette…
Une pleine page de publicité
plutôt esthétique dans Var-Matin
Mais que veux donc bien nous faire acheter cette sublime rousse ? *
– A – Des miroirs grand siècle
– B – Des robes de pu cocktail
– C – Des canapés
– D – Des perruques
– E – Des poufs
– F – Des pouffes
– G – Des escarpins vert
– H – Du shampoing
Réponse dans les jours à venir.
Faites-moi profiter de vos hypothèses !
Merci !
* La rousse redevient mode ces derniers temps, chez les publicitaires, vous trouvez pas ?
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Celtique
« Femelle à bord provoque le sort ».
« Mieux vaut noire tempête que blanche fillette ».
« Femme à bâbord, voie d’eau à tribord ».
« Baise à terre, crache en mer ».
« Qui embarque femme dodue périra par le cul ».
« Jupon sur bateau, la mort du matelot ».
« Petit pied de fille peut fendre la quille ».
Proverbes celtes mis dans la bouche de patron Raël, pirate Britton d’Armorique par François Cavanna dans « Le dieu de Clotilde » (Albin Michel - octobre 2000)
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Ce que l’on aurait préféré entendre
hier au « 20 h » de TF1
Ce qui s’est réellement passé dans la suite 2706 du Sofitel New York, et comment cela aurait dû se terminer si « la victime » de Nafissatou avait eu au moins l’élégance de comportement (!) de ce dépravé de commissaire San-Antonio !
« Dans tous les hôtels, qu’ils fussent le Waldorf Astoria ou celui des Voyageurs de Saint-Locdu-le-Vieux, c’est toujours la chanson d’un aspirateur qui m’éveille. (…)
La femme de chambre aspiratrice toque un coup bref à ma lourde et l’ouvre dans la foulée. C’est une petite brune dont l’origine portugaise se dilue dans du sang jaune. (La scène se passe à Macao)
Vingt-cinq ans, mais bien conservée pour son âge. Ses cheveux appartiennent à la partie ibérique de son personnage : ils sont flous et gonflés. Me constatant nu, elle ne marque aucune gêne ; au contraire, ses yeux descendent jusqu’à ma chopine matinale en train de battre la mesure à quatre temps. Bien élevée, la fille m’adresse un sourire complimenteux ; je l’en remercie en flattant la bête dodelinante pour attiser son aspect gaillard.
– Very nice ! elle dit alors, Maria.
Elle a déjà vu le loup péter sur la pierre en bois car, loin de s’effaroucher, elle accorde une caresse affectueuse à la bestiole. Laquelle ne se sent plus de joie et dilate en adoptant des teintes tourmalines.
Poliment, je m’informe « d’est-ce qu’une pipe de bon accueil l’intéresserait » ? La môme décline une offre aussi alléchante (et à lécher), alléguant qu’une telle pratique lui donne mal au cœur. Réponse discourtoise s’il en est.
Je veux répondre à l’affront par l’exemple et m’apprête à lui déguster le bigornuche lorsque je suis stoppé dans ce bénévolat par la mauvaise tenue des lieux. Je sors de cette impasse en lui dévoluant un bank-note qui lui permettra d’acquérir les accessoires indispensables pour faire de son cul douteux un objet de convoitise.
Elle me remercie et se retire sans avoir « aspiré ma chambre »…
San-Antonio in «Ne soldez pas grand-mère, elle brosse encore », 1997
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Bonjour ! et bonne traversée (du week-end) à toutes et à tous !
Ben trovato
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En forme d’ex-voto
Et, comme le fait justement remarquer Claude, à qui nous devons cette anecdote, l’histoire ne dit pas si le chauffeur rescapé était lui aussi un pèlerin en mal de reconnaissance…
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Grand-messe aux JMJ de Madrid
Sous la rubrique « Du curé au menu » je vous propose cette friandise
concoctée par Luz illustrant Patrick Pelloux dans Charlie-Hebdo n° 1000
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