Catégories: "Amis" ou "Amis Besançon" ou "Amis Bretagne" ou "Amis Castelsarrasin" ou "Amis Lyon" ou "Amis Six-Fours" ou "Amis Vincennes"
La photo de la 3e est parue sur La Dernière Heure lyonnaise, le jeune Taravel, porté en triomphe par ses camarades, ayant gagné un concours du quotidien qui offrait à toute sa classe un voyage à la mer.
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Jean-François Prieur m'envoie un message sur copainsdavant : « Je crois bien qu'on était dans la même classe, si tu te souviens de mon nom. Je ne sais plus si c'était en première et/ou philo ». J'ai en effet fréquenté le lycée Hector-Berlioz à Vincennes,de 1961 à 1964. Moi aussi, je ne sais plus quelle(s) classe(s) nous avons partagées. Mais je le reconnais bien sur ses photos anciennes. Après Noël Larmaraud, il est mon deuxième copain retrouvé. Fantastique, copainsdavant
Je me suis inscrit sur copainsdavant. Peu de temps après, j'ai eu la surprise d'être contacté par un ancien élève de l'école primaire de la rue Tissot, à Lyon, que j'ai fréquentée de 1950 à 1955. Noël Larmaraud était dans la classe supérieure à la mienne, mais il est à peu près le seul dont je me rappelle, de cette lointaine époque, car il était le fils du directeur de l'établissement. Il se souvient que j'habitais rue Marietton. Des retrouvailles après bientôt 55 ans ! Nous ne devons pas être très loin du record du site.
La 7e photo mensuelle du hêtre conclut un bien triste mois d’octobre. Un drame est survenu chez mes amis de Besançon. Un mail de Michèle m’a annoncé la mort de son mari, Pierre, après une chute des remparts de la Ville Close, à Concarneau. Cette disparition brutale m’affecte beaucoup.
Nous avons beaucoup joué avec cette « carriole », Gérard Dantin et moi, dans les années 50. Il est ici le transporteur, je suis le passager. Gérard a été mon meilleur copain à Castelsarrasin, avant qu'il émigre à Paris avec ses parents. Je le retrouvais chaque année aux grandes vacances. C'est chez lui que j'ai écouté pour la première fois un 45 tours d'un chanteur prometteur, un certain Jacques Brel.
Ma tante de Castelsarrasin m'a donné son exemplaire d'un livre rare : « D 3, Maquis de la Vienne », de Jean Coste, publié en 1945 par la librairie Labouygue, de Poitiers. Rien ne pouvait me faire plus plaisir, mon exemplaire ayant disparu, à Lyon, en même temps que la plupart de mes livres d'enfance. L'ouvrage évoque notamment les actions de mon père, Étienne, à l'intérieur de ce maquis, à partir du 23 juillet 1944 et rappelle son activité clandestine antérieure, depuis 1940. A sa lecture, je me remémore nos jeux de guerre, quelques années plus tard, dans le jardin de Castelsarrasin, où mon copain Gérard et moi luttions contre lui, avec embuscades, prisonniers et mottes de terre pour munitions. Le ton du livre est un peu daté (on ne parle plus des Allemands comme ça) mais reflète bien l'esprit des maquisards. Ceux qui supportent mal les récits de bagarres devraient s'abstenir. Les autres, cliquez ici.
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Il y avait tata, tonton, du Rhône, mes amis Michèle et Pierre, du Doubs, et moi-même, du Nord-Finistère. Nous avons vu les rhododendrons géants, la fantaisie, la Roche percée.
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