People hold signs as they take part in a rally against antisemitism, at Republique square in Paris, on February 19, 2019. A flare-up of anti-Semitic acts culminated in a violent tirade against a prominent writer during "yellow vest" anti-government protests last weekend. 96 Jewish graves were also vandalised in the village of Quatzenheim, close to the border with Germany in the Alsace region on February 19, 2019, on the day of nationwide actions against a rise in anti-Semitic attacks.
Prise de vue: Mardi 19 février 2019, à 19 h 10. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 4000, Compensation: -5/3. Flash: non
Résumé : 323 mots. Des milliers de personnes ont commencé à affluer mardi 19 février 2019 au soir place de la République à Paris pour dire non à l’antisémitisme, à l’appel d’une cinquantaine de partis, associations, mouvements. Un périmètre de sécurité a été délimité par des barrières au centre de la place noire de monde, où les responsables politiques ont commencé à se presser vers 19 heures. Face à la recrudescence des actes antisémites, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, avait lancé la semaine dernière un appel d’abord signé par quatorze partis, rejoints depuis par de nombreuses autres organisations. La maire de Paris, Anne Hidalgo, le chef de file de Génération·s, Benoît Hamon, la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, des députés LREM et des représentants de la France insoumise ont notamment été aperçus. L’ancien président socialiste François Hollande, arrivé vers 19 h 30, a fait valoir que « l’antisémitisme, c’est un fléau, c’est une attaque contre la République ». « Nous devons ici, au-delà des sensibilités, des fonctions occupées, des responsabilités exercées, être là pour que les Français puissent être eux-mêmes là ». Le président de LR, Laurent Wauquiez, a pour sa part lancé : « Ça suffit les croix gammées, les insultes », dans une allusion à la profanation d’un cimetière juif mardi, en Alsace, et aux insultes proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut samedi, en marge d’une manifestation de « Gilets jaunes ». « C’est un sursaut républicain mais cela ne peut pas suffire non plus. On a besoin d’actes, de vraies décisions. Avant de changer la loi, commençons déjà par l’appliquer ». « Derrière les actes antisémites, il y a la question de l’islamisme intégriste », a poursuivi Laurent Wauquiez. Ian Brossat, le chef de file du PCF pour les Européennes, est venu avec Lassana Bathily, le héros de l’Hyper Cacher parisien. Source ; https://www.lepoint.fr, lien à la fin de l'article complet.
A view taken on January 9, 2018 shows the Promo & Destock store, a French kosher grocery store in Creteil, south of Paris, after it was destroyed in an arson attack which has revived fears over anti-Semitism. Prosecutors said the store in the southern Paris suburb of Creteil had caught fire overnight, days after it was hit by anti-Semitic graffiti. The Promo & Destock store was one of two neighbouring kosher shops in Creteil that were daubed with swastikas last January 3. The fire comes on the third anniversary of the attack on January 9, 2015, at a kosher supermarket in northern Paris by a jihadist gunman, who killed three customers and a Jewish employee.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 9 janvier 2018, à 13 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/4, ISO 12800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 95 mots. Déjà ciblée par des tags antisémites il y a quelques jours, une épicerie casher de Créteil a été incendiée dans la nuit du lundi 8 au mardi 9 janvier 2018. Une enquête a été ouverte pour dégradation volontaire par incendie. Cet acte a eu lieu trois ans jour pour jour après l’attentat de l’Hyper Cacher perpétré par Amedy Coulibaly à la porte de Vincennes à Paris, au cours duquel quatre personnes avaient été tuées. L’enseigne, située dans un centre commercial de Créteil, avait été recouverte de cinq croix gammées le 3 janvier…
Les organisations CAPJPO-EuroPalestine et Droits Devant ont appelé à manifester le 1er avril 2017 à Paris pour « célébrer la résistance palestinienne à l’occupation et à la colonisation de l’occupant israélien » et « exiger des sanctions » contre l’État hébreu. La mobilisation s’est déroulé sur la place du Châtelet, où quelques centaines de manifestants pro-palestiniens ont déployé des banderoles sur lesquelles on pouvait lire : « Non à la collaboration avec l’occupant israélien ». À quelques mètres du rassemblement, des contre-manifestants,
tenus à l’écart par un important dispositif policier, ont scandé des slogans hostiles au mouvement Boycott-Désinvestissement-Sanctions (BDS), qui prône notamment le boycott des produits israéliens afin de protester contre la politique de colonisation menée par l’État hébreu en Cisjordanie. La maire de Paris, Anne Hidalgo, avait appelé à interdire la tenue du rassemblement pro-palestinien, assurant que celui-ci reprenait « les pires clichés antisémites » et constituait une menace de « troubles à l’ordre public ».
A man speaks to police officers as both supporters and opponents of the Israeli occupation of formerly Palestinian land gather at Place du Chatelet to demonstrate on April 1, 2017 in Paris, France.
Des inscriptions à caractère raciste et antisémite ont été découvertes dimanche 25 décembre 2016 sur le portail de l’école maternelle publique portant le nom d’Anne Frank à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Les inscriptions « Juden verboten », « sales juifs et Roms », ac-
compagnées d’étoiles de David et de croix gammées ont été découvertes dans l’après midi sur le portail d’entrée et la boîte aux lettres de cette école par des agents municipaux. La ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem a indiqué sur Twitter qu’un tel acte ne resterait pas impuni.
A graffiti reading 'Juden verboten' (Forbidden to Jews) is seen on a school portal in Montreuil, near Paris on December 26, 2016.