The Algerian community demonstrate in Place de la République in Paris on March 3, 2019, to support their compatriots in the country against the 5th presidential term of Bouteflika. The mass protests in Algeria have triggered a show of solidarity in France, which has a large Algerian population. A first Parisian rally against the country’s long-term leader took place on February 24. On Saturday, a rally organised by Bouteflika supporters in central Paris drew only about thirty people. The rally comes as Algeria’s deadline for candidates to file an application for the April 18 presidential election expires on March 3 at midnight.
Prise de vue: Dimanche 3 mars 2019, à 12nbsp;h 00. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
En soutien au mouvement en Algérie contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, des membres de la communauté algérienne en France se sont rassemblés dimanche 3 mars 2019 Place de la République, à Paris, aux cris de « Algérie libre et démocratique ». « Le peuple ne veut ni Bouteflika ni Saïd » ont-ils scandé, en référence à Saïd Bouteflika, le frère du président. Alors que le président se fait soigner en Suisse, les dépôts de candidature pour la présidentielle du 18 avril 2019 seront clôturés à minuit ce dimanche, une journée déterminante pour l’avenir du pays. Samedi, le président Abdelaziz Bouteflika a remplacé son directeur de campagne, l’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal. Un signe qui démontre la volonté du président de maintenir sa candidature malgré les contestations de centaines de milliers d’Algériens. Source : france24.com, voir l'article sur newsimages.
C’est le seul dans la garde rapprochée à avoir eu un mandat électif. Porte-parole, chargé de la riposte, il a rejoint Emmanuel Macron fin 2015. Il participait alors aux premières réunions préparatoires. Diplômé de Sciences Po et d’HEC, ancien strauss-kahnien passé par le cabinet de Marisol Touraine, il a été vice-président du
Conseil général de Saône-et-Loire et vice-président de l’agglomération de Châlons-sur-Saône. Il a aussi fait un passage dans le privé à Unibail. Par son biais, on apprend qu’Emmanuel Macron est un grand lecteur de la presse régionale, à laquelle il accorde un entretien à chaque déplacement.
La maire EELV de Montreuil, Dominique Voynet, a annoncé le 26 novembre 2013 qu’elle ne briguerait pas en 2014 un nouveau mandat à la tête de cette ville populaire de la banlieue est de Paris, dans une lettre transmise par son cabinet. « J’ai pris la lourde décision de ne pas me représenter en mars. Parce que je souffre profondément de la dégradation de la vie politique et du climat qui conduit, à Montreuil comme ailleurs, à englober tous les politiques d’une même suspicion, et de plus en plus souvent d’un même mépris, ceux qui ne cumulent pas comme ceux qui cumulent, ceux qui sont intègres comme ceux qui sont corrompus, ceux qui brossent leurs clientèles dans le sens du poil comme ceux qui refusent d’accorder des passe-droits, y compris à leurs plus proches amis », écrit l’ancienne ministre dans sa lettre. Voynet, seule maire écologiste d’une ville de plus de 100.000 habitants, ajoute qu’elle « refuse de ‘rendre coup pour coup’, d’user du mensonge, de la calomnie et de l’insulte (…) de la démagogie la plus abjecte et d’arguments aux relents lepénistes ». Défendant longuement son bilan à Montreuil, elle affirme être « en pleine forme » et annonce qu’elle assumera sa mission jusqu’à la fin de son mandat.