Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Quitte-moi pendant la coupe du monde
Mère Mich'
Pour activer/désactiver le son, cliquez sur le haut-parleur, en bas à droite au lancement de la vidéo
Auteur-compositeur : Gérard Caillieux
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Ça s’entend pas, ça s’écoute !
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Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Les Chinois
Vincent Gaffet
Album : « Coton » – 2007
Articles apparentés
► 29.11.2014. Le Mot du Jour (barricadé)
► 02.04.2009. Le Mot du Jour (emprunté à un anonyme)
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Ça s’entend pas, ça s’écoute !
Critères de sélection :
Un texte en français, intelligible.
Une mélodie que l’on peut reprendre à capella venant modestement souligner le texte.
Un rythme marquant la mesure sans être assourdissant.
Cet arrangement au service de l'expression d'un sentiment, d'une idée, d'une situation ou d'une histoire originale.
Ces quatre exigences réunies, ce n'est pas si courant…
On peut commencer par un exemple intemporel et vous pouvez vérifier, tout y est !
J'préfère te prévenir
Lolywood et Francis Cabrel – 2016
Lolywood est un collectif composé de 3 amis de faculté (Manu, Hugo et Choopa). Ils publient des vidéos de sketches sur YouTube, Daily Motion et sur CStar (ex-D17).
Article apparenté :
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La Comédie-Française chante Georges Brassens
C'était hier soir, sur France 3, en deuxième partie de soirée, après le jeu de Nagui sur France 2, sans doute pour ne pas lui faire de l'ombre…
Présentation
Après Boris Vian, c'est au tour de Georges Brassens d'être repris en chœur par six comédiens chanteurs de la Comédie-Française.
De « La Mauvaise Réputation » à « Les Amoureux des bancs publics » en passant par une interprétation inoubliable de « Fernande », ce sont treize chansons de Brassens, plus ou moins connues, qui sont mises à l'honneur, dans un film musical enlevé, drôle et émouvant, où la complicité et l'amitié ne font jamais défaut. Treize incursions dans le riche répertoire du poète de Sète, pour faire découvrir une facette moins connue de son œuvre, devenue un élément du patrimoine musical français.
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Paris brûle-t-il ?
Pour vous mettre une valse en tête…
tout en vous épargnant Mireille Mathieu
René Clement – 1966
Musique Maurice Jarre
À force de puiser dans la cinémathèque personnelle du Mot du Jour, la B.O du Dimanche va bientôt l'épuiser et j'ai de plus en plus de mal à retrouver le souvenir de bobines dignes d'intérêt… Aussi, la B.O du Dimanche cèdera-t-elle progressivement la place au « Juke box dominical ». On y trouvera sans doute moins de rengaines entêtantes, mais il faudra parfois y prêter une oreille plus attentive… Merci de votre fidélité !
G.B
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Bagdad cafe
Pour un autre regard sur l’Amérique…
et la voix de Jevetta Steele
Percy Adlon – 1987
Synopsis
Le sable, la chaleur, aucune âme qui vive à des kilomètres à la ronde. Et pourtant, ce Bagdad-là se situe bien en Californie, quelque-part au milieu de nulle part, dans le désert de Mojave.
C'est l'histoire de Brenda, la propriétaire. Une femme à vif, autoritaire, désabusée. Elle vient de virer son paresseux bonhomme lorsque débarque cette grosse allemande très chic, à pied dans le désert brûlant, comme sortie de nulle-part. Tout sépare ces deux femmes.
Elles vont pourtant s'apprivoiser et l'étrange Jasmin Münchgstettner va progressivement organiser sa vie autour de ce hameau perdu, carrefour des « truckers », des routards, des artistes, des paumés, des saltimbanques et autres originaux en tous genres.
Le film est bercé par la voix envoûtante de Jevetta Steele interprétant « Calling You », une composition de Bob Telson nommée aux oscars en 1989.
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Les canons de Navarone
Pour tous ces films héroïques des belles années 60…
Jack Lee Thompson – 1961
Synopsis
En 1943, les forces de l'Axe tiennent la mer Égée, rendant impossible l'évacuation de deux mille soldats britanniques, bloqués en Grèce occupée sur l’île de Kéros.
Le détroit de Navarone, leur unique issue, est sous le feu de deux gigantesques canons de marine, installés sur l'île de Navarone. La seule solution des Alliés est d'envoyer un commando de choc composé de soldats anglais et grecs, avec pour mission de les faire sauter.
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Et la poésie, b… !
La Boîte aux Lettres du Jour de samedi a rappelé à Jeff, attentif blog master du Mot du Jour, ce facétieux détournement qui a valu tant de déboires aux écoliers irrévérencieux qui osèrent le blasphème… et se firent pincer…
« Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet.
Murs blancs, toit de bardeaux,
Devant la porte un vieux bouleau chameau.
Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet ».
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4 avril – En grève
Présentation de cette chanson sur bide-et-musique.com Le titre est sorti de façon inaperçue au milieu des années 1990 après que notre ami Topa en eut fini avec ses déboires judiciaires et de manger son pain noir. Pas de single, pas de promotion, juste une discrète apparition sur un CD qui s'avère encore difficile à dénicher et sur lequel figurent quelques réorchestrations et des inédits dont ce titre écrit par Bob Brault du Martin Circus. Interrogé par notre équipe sur ce morceau-culte en 2001, Patrick révéla cependant qu'il s'agissait d'une mise à jour d'une vieille chanson (laquelle ? par qui ? ça, on ne sait toujours pas), ce qui explique en partie son rythme militaire et l'emploi de mots désuets (“rabougris”, "rastaquouères”) et l'utilisation de l'huile pour éclairer dans le train. Et par extension nos lanternes. Source : ► bide-et-musique.com |
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Pour le verbe « gaylussaquer * »…
Tout le monde il est beau
tout le monde il est gentil
Jean Yanne – 1972
* Explication pour les moins de 60 ans :
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« Mon côté punk » – La crucifixion
Tu viens c't après-midi à la crucifixion ?
T'as qu'à venir avec moi, ça t'changera les idées !
Ta bergère est pas là, profite de l'occasion.
Moi j'ai prévenu Lévy que je prenais ma journée
J'y ai dit : "J'veux voir ça, et pis j'ai mes raisons !"
Il a pas pu refuser, vu qu'il y va, cézigue !
Ça va ramener du monde et marquer la saison
C't'affaire-là, tu vas voir. Mais le truc qui m'intrigue
C'est qu'sur les trois clients qu'ils vont foutre au séchoir
Y en a deux, paraît-il, qu'on a dû bien connaître
Ils nous ont fait marron sur un coup d' marché noir
On ira les regarder, ça les amusera peut-être
Quand on avait l'tuyau pour les surplus romains
J'avais tout préparé, tout mâché la besogne.
On était cinq sur l'coup, vraiment du cousu-main !
Quand ils nous ont doublés, on a passé la pogne
Mais j'dois dire qu'aujourd'hui je vais bien rigoler !
Comme quoi, mon vieux cochon, y a tout d'même une justice.
Comme disait mon vieux père : "Faut pas tuer ni voler
À moins d'être certain que le coup réussisse !"
Le troisième, il paraît qu'il marche à la gamberge
Il jacte à droite, à gauche, on l'a vu venir de loin.
Il est pas vieux du tout, il n'a pas trente-cinq berges.
On sait pas bien qui c'est, c'est pas un gars du coin,
C'est un genre de rebouteux, il guérit les malades,
Ça fait trois ans, guère plus, qu'il est sur le trimard.
N'empêche que le Pilate et ses p'tits camarades
L'ont prié d'obéir et d'arrêter son char
Comme disait mon vieux père : "La poisse, elle vient toute seule
Mais plus tu veux jacter, plus qu'elle vient rapidement;
C'est une belle qualité d' savoir fermer sa gueule"
Mon père, pour un ivrogne, il n' manquait pas d'jugement !
D'ailleurs, en fait d'jugement, c'est par là qu'ça commence.
Tu viens ?… Moi, j'm'en vais, je veux pas m'foutre en retard
Si tu veux venir, tu viens… J' te dirai c'que j'en pense !
J'passerai pour l'apéro, à sept heures, au plus tard.
Ça y est, me v'là revenu, j'en ai les jambes coupées
J'ai vu assez d'salauds pour le restant d'mes jours
Et c'est le genre d'histoire qui s'ra vite étouffée…
T'en entendras causer, crois-moi, pis même les sourds.
D'abord le tribunal, une vraie rigolade !
Les carottes étaient cuites, archi-cuites au début.
Le Pilate s'en foutait, mais les p'tits camarades
Ça gueulait maximum, aussi fort qu'ils ont pu.
Le mec, il était là, il a pas dit grand-chose ;
Et pis j'étais trop loin, j'ai pas bien entendu.
Tout l'monde braillait là-dedans mais pour plaider sa cause
Y a personne qu'a moufté… Ni l'avocat non plus.
D'ailleurs, y en avait pas ! C'était la mascarade !
Et j'suis sûr que le gars, il est blanc comme l'agneau !
Tu peux dire que l'Pilate et ses p'tits camarades
Ça fait avec nous autres une belle bande de salauds !
On a beau être des voyous, vivre comme des malhonnêtes,
Y a tout d'même des machins qui vous foutent le bourdon.
Tout était combiné ! Même la croix qui était prête !
Et quand on vous y colle, on sait que c'est pour de bon.
Et pis la croix maintenant, c'est toi qui te la coltines,
C'est nouveau, je te préviens, si ça t'arrive un jour.
Tout seul et ça sur l'dos jusqu'en haut d'la colline…
Il s'est juste arrêté pour faire un p'tit discours.
Il s'trouvait juste en face d'un ramassis de bonnes femmes
Qui chialaient comme des veaux, faut dire qu'y avait de quoi !
Il leur a dit comme ça : "Pour le salut de vos âmes
Il vaudrait mieux pleurer sur vous-mêmes que sur moi !"
Sa vieille, la pauv' mémère, elle était là toute seule,
Y aurait pas eu un type pour y donner la main
Surtout quand son fiston, il s'est cassé la gueule
Trois fois d'suite, sous les coups d'ces enfoirés de Romains !
Moi, ça m'a foutu le noir, pourtant j'suis pas sensible
Ça m'a tout barbouillé, j'en suis cœur sur carreau !
Faut dire que le populo, c'est vraiment des horribles
Ils sont pour la plupart plus fumiers que les bourreaux
Bref, je n'suis pas revenu pour gâcher la soirée.
Ils l'ont cloué là-dessus et tout l'monde est parti
Tu parles d'une journée …Moi j'en suis lessivé
Et tout l'monde est pareil… et pis c'est pas fini…
Les deux autres ? Ah ben oui, pardonne-moi si j't'excuse,
Eh ben, j'les ai pas vus, j'y ai même plus pensé !
Ils sont toujours là-haut, vas-y si ça t'amuse,
Pour moi, ça va comme ça, j'en ai vu bien assez !
Paulo, tu me connais bien, tu sais que les innocents
Je m'en fous complètement. Seulement pour le quart d'heure
Je dois dire que c'que j'ai vu, ça m'a tourné les sangs
Un mot que je dis jamais, Paulo : ça m'a fait peur !
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Deliverance
Pour la sonorité du banjo
John Boorman – 1972
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L’hôpital qui se moque de la Charité
« …un déchaînement de violence, d'insultes, une pluie de coups, aucune possibilité de discuter, de la violence, seulement de la violence, aucune écoute, aucun échange : bref, le retour au moyen âge ».
Ces paroles, reprises par plusieurs média, auraient pu être celles de Marie Trintignant si elle avait survécu. Mais ce ne sont que les jérémiades de l'homme qui l'a massacrée à coups de poing avant de la laisser agoniser et qui déplore ne pas être reçu sous une pluie de pétales de roses lorsqu'il vient rechercher les bravos de la foule…
Raccroche les gants, l'artiste !
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Merci facebook !
Encore un jour sans inspiration… Et puis Face Book me rappelle que j’avais posté ce clip il y a un an. Ça vaut bien une boîte aux lettres.
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