Synopsis Le sable, la chaleur, aucune âme qui vive à des kilomètres à la ronde. Et pourtant, ce Bagdad-là se situe bien en Californie, quelque-part au milieu de nulle part, dans le désert de Mojave. C'est l'histoire de Brenda, la propriétaire. Une femme à vif, autoritaire, désabusée. Elle vient de virer son paresseux bonhomme lorsque débarque cette grosse allemande très chic, à pied dans le désert brûlant, comme sortie de nulle-part. Tout sépare ces deux femmes. Elles vont pourtant s'apprivoiser et l'étrange Jasmin Münchgstettner va progressivement organiser sa vie autour de ce hameau perdu, carrefour des « truckers », des routards, des artistes, des paumés, des saltimbanques et autres originaux en tous genres. Le film est bercé par la voix envoûtante de Jevetta Steele interprétant « Calling You », une composition de Bob Telson nommée aux oscars en 1989.
Synopsis En 1943, les forces de l'Axe tiennent la mer Égée, rendant impossible l'évacuation de deux mille soldats britanniques, bloqués en Grèce occupée sur l’île de Kéros. Le détroit de Navarone, leur unique issue, est sous le feu de deux gigantesques canons de marine, installés sur l'île de Navarone. La seule solution des Alliés est d'envoyer un commando de choc composé de soldats anglais et grecs, avec pour mission de les faire sauter.
La Boîte aux Lettres du Jour de samedi a rappelé à Jeff, attentif blog master du Mot du Jour, ce facétieux détournement qui a valu tant de déboires aux écoliers irrévérencieux qui osèrent le blasphème… et se firent pincer…
« Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet. Murs blancs, toit de bardeaux, Devant la porte un vieux bouleauchameau. Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet ».
— Dis bonne nuit à tout le monde. — On dirait tata Jeanne avec M. Sartet ! — Il est fou ! Qu'est-ce que tu vas inventer encore ? Vous n'allez tout de même pas croire un enfant ? — C'est vrai ! — Roberto arrête de dire des bêtises, c'est très vilain de mentir ! — C'est pas des mensonges ! Même que tata Jeanne m'a dit de ne rien dire. — Ça suffit maintenant, viens te coucher ! — C'est la vérité, ils étaient tous les deux sur la plage derrière le rocher comme le monsieur et la dame dans la télévision. — Mais enfin, vous voyez bien, qu'il dit n'importe quoi ! — Taisez-vous ! — (en italien) Aldo, fais-la sortir. — Aldo, tu sais que c'est faux. — Fous le camp ! — Vous m'avez toujours détestée. Alors bien sûr, les racontars d'un gosse, ça vous arrange. — (en italien) Emmène-le se coucher. — (en italien) Luigi, appelle Tony Nicosia à New York. On va gérer ça en famille. — Qu'est-ce que tu vas faire ?
Présentation de cette chanson sur bide-et-musique.com
Le titre est sorti de façon inaperçue au milieu des années 1990 après que notre ami Topa en eut fini avec ses déboires judiciaires et de manger son pain noir. Pas de single, pas de promotion, juste une discrète apparition sur un CD qui s'avère encore difficile à dénicher et sur lequel figurent quelques réorchestrations et des inédits dont ce titre écrit par Bob Brault du Martin Circus. Interrogé par notre équipe sur ce morceau-culte en 2001, Patrick révéla cependant qu'il s'agissait d'une mise à jour d'une vieille chanson (laquelle ? par qui ? ça, on ne sait toujours pas), ce qui explique en partie son rythme militaire et l'emploi de mots désuets (“rabougris”, "rastaquouères”) et l'utilisation de l'huile pour éclairer dans le train. Et par extension nos lanternes. Source : ► bide-et-musique.com
Tu viens c't après-midi à la crucifixion ? T'as qu'à venir avec moi, ça t'changera les idées ! Ta bergère est pas là, profite de l'occasion. Moi j'ai prévenu Lévy que je prenais ma journée J'y ai dit : "J'veux voir ça, et pis j'ai mes raisons !" Il a pas pu refuser, vu qu'il y va, cézigue !
Ça va ramener du monde et marquer la saison C't'affaire-là, tu vas voir. Mais le truc qui m'intrigue C'est qu'sur les trois clients qu'ils vont foutre au séchoir Y en a deux, paraît-il, qu'on a dû bien connaître Ils nous ont fait marron sur un coup d' marché noir On ira les regarder, ça les amusera peut-être
Quand on avait l'tuyau pour les surplus romains J'avais tout préparé, tout mâché la besogne. On était cinq sur l'coup, vraiment du cousu-main ! Quand ils nous ont doublés, on a passé la pogne Mais j'dois dire qu'aujourd'hui je vais bien rigoler ! Comme quoi, mon vieux cochon, y a tout d'même une justice. Comme disait mon vieux père : "Faut pas tuer ni voler À moins d'être certain que le coup réussisse !"
Le troisième, il paraît qu'il marche à la gamberge Il jacte à droite, à gauche, on l'a vu venir de loin. Il est pas vieux du tout, il n'a pas trente-cinq berges. On sait pas bien qui c'est, c'est pas un gars du coin, C'est un genre de rebouteux, il guérit les malades, Ça fait trois ans, guère plus, qu'il est sur le trimard. N'empêche que le Pilate et ses p'tits camarades L'ont prié d'obéir et d'arrêter son char
Comme disait mon vieux père : "La poisse, elle vient toute seule Mais plus tu veux jacter, plus qu'elle vient rapidement; C'est une belle qualité d' savoir fermer sa gueule" Mon père, pour un ivrogne, il n' manquait pas d'jugement !
D'ailleurs, en fait d'jugement, c'est par là qu'ça commence. Tu viens ?… Moi, j'm'en vais, je veux pas m'foutre en retard Si tu veux venir, tu viens… J' te dirai c'que j'en pense ! J'passerai pour l'apéro, à sept heures, au plus tard.
Ça y est, me v'là revenu, j'en ai les jambes coupées J'ai vu assez d'salauds pour le restant d'mes jours Et c'est le genre d'histoire qui s'ra vite étouffée… T'en entendras causer, crois-moi, pis même les sourds.
D'abord le tribunal, une vraie rigolade ! Les carottes étaient cuites, archi-cuites au début. Le Pilate s'en foutait, mais les p'tits camarades Ça gueulait maximum, aussi fort qu'ils ont pu. Le mec, il était là, il a pas dit grand-chose ;
Et pis j'étais trop loin, j'ai pas bien entendu. Tout l'monde braillait là-dedans mais pour plaider sa cause Y a personne qu'a moufté… Ni l'avocat non plus. D'ailleurs, y en avait pas ! C'était la mascarade ! Et j'suis sûr que le gars, il est blanc comme l'agneau ! Tu peux dire que l'Pilate et ses p'tits camarades Ça fait avec nous autres une belle bande de salauds !
On a beau être des voyous, vivre comme des malhonnêtes, Y a tout d'même des machins qui vous foutent le bourdon. Tout était combiné ! Même la croix qui était prête ! Et quand on vous y colle, on sait que c'est pour de bon. Et pis la croix maintenant, c'est toi qui te la coltines, C'est nouveau, je te préviens, si ça t'arrive un jour. Tout seul et ça sur l'dos jusqu'en haut d'la colline…
Il s'est juste arrêté pour faire un p'tit discours.
Il s'trouvait juste en face d'un ramassis de bonnes femmes Qui chialaient comme des veaux, faut dire qu'y avait de quoi ! Il leur a dit comme ça : "Pour le salut de vos âmes Il vaudrait mieux pleurer sur vous-mêmes que sur moi !"
Sa vieille, la pauv' mémère, elle était là toute seule, Y aurait pas eu un type pour y donner la main Surtout quand son fiston, il s'est cassé la gueule Trois fois d'suite, sous les coups d'ces enfoirés de Romains !
Moi, ça m'a foutu le noir, pourtant j'suis pas sensible Ça m'a tout barbouillé, j'en suis cœur sur carreau ! Faut dire que le populo, c'est vraiment des horribles Ils sont pour la plupart plus fumiers que les bourreaux
Bref, je n'suis pas revenu pour gâcher la soirée. Ils l'ont cloué là-dessus et tout l'monde est parti Tu parles d'une journée …Moi j'en suis lessivé Et tout l'monde est pareil… et pis c'est pas fini…
Les deux autres ? Ah ben oui, pardonne-moi si j't'excuse, Eh ben, j'les ai pas vus, j'y ai même plus pensé ! Ils sont toujours là-haut, vas-y si ça t'amuse, Pour moi, ça va comme ça, j'en ai vu bien assez !
Paulo, tu me connais bien, tu sais que les innocents Je m'en fous complètement. Seulement pour le quart d'heure Je dois dire que c'que j'ai vu, ça m'a tourné les sangs Un mot que je dis jamais, Paulo : ça m'a fait peur !
La pince à cornichons. Un ustensile tombé en désuétude. Un ustensile que les aînés de notre Designer fou, avec la complicité de la plasturgie, ont condamné à l'extinction en inventant l'épuisette à cornichons. Et puis le Designer fou à voulu apporter sa touche personnelle. Notre ami est un esthète, et il a jugé que le simplissime bocal à cornichons en verre cylindrique déparait le décor de nos cuisines. Son truc à lui, c'est la douceur des courbes, les galbes harmonieux. C'est ainsi qu'il s'est inspiré des rondeurs de l'amphore antique pour créer le bocal moderne. Et voilà pourquoi nos cornichons, qui sont loin de l'être, se dérobent à nos fourchettes en se glissant habilement sous l'épuisette par l'espace créé au niveau du plus gros diamètre de l'amphore.
On notera que, pour la démo de sa « Puisette », Maille à choisi un pot bien cylindrique.
Cet article a été ajouté à la version livre (en pdf) de ► Le Designer fou a encore frappé dans Chapitre 3. À table les contenants Les liens vers Les séries de Guy (en pdf) sont dans la colonne de droite de cette page.
Ce samedi matin, un Toulonnais de 69 ans est décédé par arme à feu lors d'une battue aux sangliers… Une quinzaine de chasseurs, tous expérimentés participaient à une battue réglementairement déclarée. La victime qui comptait une trentaine d'années de pratique de la chasse, était en poste dans un mirador de chasse en bois perché à quelques mètres de hauteur. Cet homme, plombier de profession, a été mortellement touché par un tir reçu dans la poitrine.