Calandre et Torpédo. Une bourse d'échanges pour les propriétaires de véhicules anciens
La 4e édition de la Bourse d'échanges de l'association Caslandre et Torpédo m'a moins plu que la précédente en raison d'une présentation moins riche en véhicules anciens. |
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J'ai moins aimé cette 4e édition de la Bourse d'échanges de l'association Calandre et Torpédo que la précédente. La raison : moins de véhicules anciens présentés ou bien, à 15 h 15 ce dimanche, certains des meilleurs étaient partis les premiers. Je n'ai pas vu notamment la voiture la plus lente du monde dont le propriétaire, rencontré hier sur le parking du Casino de Plouigneau, m'avait indiqué qu'il allait participer à la manifestation.
Une exposition Renault a pris place dans la grande halle pour célébrer les 50 ans de la R5 et les 60 ans de la 4L. Une 4L, j'en ai utilisé une comme voiture de fonction au Télégramme, après la deudeuche. Je repense avec émotion à son levier de changement de vitesses à droite et au niveau du volant. Là encore, une exposition moins fournie que l'exposition Citroën de la 3e édition. Une édition moins attractive aussi pour le visiteur lambda, les stands d'accessoires « vintage » tels que treillis, rangers, chapeaux, sacs à main, vêtements d'époque, se faisant plus rares. Absents, les juke-box ; absente, la crêpière. La buvette, elle, connaissait son affluence habituelle.
En revanche, les propriétaires de vieux engins à roues (ce n'est pas mon cas, mais mon Toyota RAV4 atteindra les 30 ans requis en 2026) pouvaient trouver leur bonheur auprès des stands de pièces détachées et d’objets en rapport avec les sports mécaniques (affiches, revues, documents techniques, porte-clefs de voiture).
À 16 h, les propriétaires des voitures exposées à l'extérieur « remballaient ». Ce qui ne pouvait que renforcer ma déception.
Une exposition Renault a pris place dans la grande halle pour célébrer les 50 ans de la R5 et les 60 ans de la 4L. Une 4L, j'en ai utilisé une comme voiture de fonction au Télégramme, après la deudeuche. Je repense avec émotion à son levier de changement de vitesses à droite et au niveau du volant. Là encore, une exposition moins fournie que l'exposition Citroën de la 3e édition. Une édition moins attractive aussi pour le visiteur lambda, les stands d'accessoires « vintage » tels que treillis, rangers, chapeaux, sacs à main, vêtements d'époque, se faisant plus rares. Absents, les juke-box ; absente, la crêpière. La buvette, elle, connaissait son affluence habituelle.
En revanche, les propriétaires de vieux engins à roues (ce n'est pas mon cas, mais mon Toyota RAV4 atteindra les 30 ans requis en 2026) pouvaient trouver leur bonheur auprès des stands de pièces détachées et d’objets en rapport avec les sports mécaniques (affiches, revues, documents techniques, porte-clefs de voiture).
À 16 h, les propriétaires des voitures exposées à l'extérieur « remballaient ». Ce qui ne pouvait que renforcer ma déception.
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